dimanche 19 août 2018

18-08-19 Pic d'Ourtiset

Aujourd'hui, les montagnes n'étaient pas visibles quand je suis monté sur la crête en quittant Cenne pour rejoindre les randonneurs à Limoux. Mais sur la route entre Prouille et Limoux ils ont apparus. Pas l'Ourtiset bien sûr, mais le Bugarach y était dans toute sa splendeur.
Retrouvailles à Limoux et enroute pour Mazuby.
Godasses chaussées, cannes réglées, sac à dos mis et hop nous sommes partis pour une longue mais pour la plupart facile montée vers le sommet. Il y avait un premier rampaillou de 50 mètres après une heure - et qui semblait être au moins 100 mètres. (Savez-vous comment oin dit Rampaillou en anglais? Rrrampaillou, mais avec un accent anglais). Et le deuxième au sommet - les derniers 2 à 300 mètres. Mais lentement mais sûrement nous les avons escaladés;
Le chemin était très très chouette; Soit dans le sbois, soit sur le flanc de la montagne avec des vues splendides vers le nord surtout. Puis finalement au sommet il y avait des vues à 360°. Absolument magnifiques. La dernière fois que j'avais été ici la vue était cachée par les nuages. C'était le dimanche 8 juillet 2007, une rando de 24 personnes menées par GuyV depuis Campagna de Sault.
Nous avons mangé au sommet, j'ai fait une toute petite sieste et nous sommes redescendus de l'autre côté. Toujours bien, un peu moins de vues jusqu'à l'arrivée avec le clocher de l'église qui pointait entre les arbres.

Et un petit arrêt au Terminus à Quillan s'imposait au retour;

Merci Roger et Yves pour cette belle journée

Un album de photos demoi-même et de Nicole. https://photos.app.goo.gl/H6gyi2sSovTn4fs78

jeudi 16 août 2018

18-08-16 St Martin le Vieil

Ce  fut une très agréable randonnée. St Martin le Vieil, nous y avons été souvent, et pourtant il y a des choses que l’on peut découvrir ou redécouvrir. Il y a des endroits où on a oublié y être déjà passé. Pourtant.

Nous étions à 13. Mes deux voisins de l’autre côté de la Bézou (le ruisseau qui longe ma maison) et leur fils nous ont rejoints – et cela leur a fait grand plaisir de découvrir des coins près de chez eux qu’ils ne connaissaient pas – et le SEL.

C’était une rando un peu à la découverte – je la connaissais mais il y avait quelques passages que je n’avais pas parcourus depuis un certain temps. Mais ça c’est un des plaisirs des randos d’été. Au prix de quelques jambes égratignées (les miennes).

Nous avons longé le Lampy par des petits sentiers (très petits sentiers) avec la petite falaise à notre gauche. Nous avons traversé la rivière au nouveau pont qui permet de contourner le Moulin de Mestre et nous sommes passés par deux belles campagnes, Bérot et Galibert, pour arriver aux vignes de Cenne sur un grand plateau avec une très large vue. C’est vrai que la vue était belle aujourd’hui. La lumière était étonnamment claire, très inattendue en été. Les Pyrénées étaient bien visibles, et Roger m’a montré où était le Fourcat que nous avons escaladé (moi partiellement) dimanche passé. Mais bien sûr Bugarach, Canigou, Madres, St Barthélémy étaient aussi visibles comme silhouette à l’horizon. Et du côté Montagne Noire, Saissac et Villemagne

Nous avons parcouru le chemin des migrants à l’envers pendant une paire de kilomètres pour descendre sur Villellongue. Et puis nous avons traversé bois et vignes pour retrouver le lac de St Martin et notre picnic.

Pour ma part j’étais content de ma rando. Et je crois que tous les participants aussi.

Album de mes photos avec celles de DanielC

https://photos.app.goo.gl/Tg872L9V9csSKZM26

dimanche 12 août 2018

18-08-12 Le Fourcat

Je me suis levé de bonne heure car les randos Pyrénéennes recommençaient. Aujourd’hui le Fourcat. En quittant mon village, je monte sur une petite crête et voilà les Pyrénées devant moi, un peu brumeuses, mais d’autant plus mystérieuses. Le St Barthélémy se distinguait clairement, mais je n’étais pas sûr où était le Fourcat – je savais que c’était dans la même direction. Mais peu importe. Je le verrais plus tard
J’ai rencontré Jacques à Bram et avec plaisir j’ai vu Michel et Geneviève sortir de la voiture. Ensuite à Fanjeaux Martine nous attendaient et peu après deux voitures de carcassonnais nous ont rejoints. Nous étions donc à 14. Et  hop, en voiture, il fallait y arriver.
Je me suis réveillé peu avant l’arrivée – il faut toujours profiter de tout moment pour dormir – c’est l’adage du vieux soldat – que je ne suis pourtant pas. Mais un bon adage est toujours utile à avoir dans son sac.
Une dame très aimable nous a montré où nous pouvions garer les voitures dans son champs et une fois les godasses aux pieds, nous voilà partis. En montée directement.
Mais une montée agréable, par sentiers et chemins, sans marches abruptes. Et surtout dans une forêt magnifique dont les arbres, assez fins montaient tout droit au ciel. Jolis, mais surtout cela nous protégeait du soleil, qui commençait à taper déjà. Nous avons fait une courte halte après une heure et nous étions tous surpris de savoir que nous avions déjà monté 300 mètres. Une heure plus tard, nous sortions de la forêt pour une première vue du Fourcat, d’abord entre les arbres, puis tout seul dans sa grandeur.
Nous avons fait une petite halte à la cabane de Coulobre et puis nous avions commencé la vraie montée, très agréable, quoique dure, sur l’herbe direction le sommet, qui était bien en vue. Et ainsi nous sommes montés jusqu’aux Trois Cairns, trois cairns imposants, plus qu’hauteur d’homme et qui semblaient surveiller la montagne en dessous.
Là j’ai pris une décision difficile mais raisonnable, car j’étais fatigué : m’arrêter là et les attendre au retour. Marie Christine était du même avis et nous avons donc laissé partir les autres, avec quand même un certain regret. Nous avons bavardé, nous avons regardé la vue, nous avons observé un troupeau de vaches blanches et nous avons écouté leurs cloches quand elles bougeaient. Nous avons piqueniqué et moi j’ai fait une belle sieste.
Nous avons bavardé avec des randonneurs qui montaient, et nous avons de nouveau regardé la vue, qui était quand même exceptionnelle. Quelques petits oiseaux nous sont passé au-dessus de nos têtes, et près du sommet nous pouvions voir un ou deux grands oiseaux, probablement des vautours.
Ensuite nous sommes descendus bien à notre aise, pour trouver un coin agréable où j’ai fait une deuxième sieste. (Vieil adage …). Et ensuite nous sommes allés jusqu’à la cabane attendre les autres. Les vaches étaient partis chercher de l’ombre, pas bêtes ces bêtes-là. Et nous avons regardé un troupeau de moutons amusants qui couraient en fil indienne d’un côté de la crête jusqu’à l’autre.
Les autres nous ont enfin rejoints – ils avaient fait une très belle escalade. Jaques s’est plaint qu’il n’avait pas pu faire la sieste, ma deuxième c’était donc pour lui. Que ne ferions-nous pas pour notre président.
Très vite nous étions de retour dans la forêt, toujours aussi magnifique, et curieusement plus facile à parcourir qu’à la montée. Les voitures, enlever les godasses – le plus grand plaisir et la vraie raison de faire de la rando et nous voilà repartis pour Lavelanet et un  café bien sympathique et des bières (Estrella Damm) et autres boissons rafraîchissantes. La deuxième raison de faire de la rando.
Merci Yves d’avoir tout organisé, merci Roger de nous avoir si bien menés. Ce fut encore une très belle rando.

mes photos (il y a deux tracés; le mien jusqu'aux trois cairns et celui de Jaques pour le grand complet): https://photos.app.goo.gl/68bEoJezjZKwaTp26

jeudi 9 août 2018

18-08-09 Villemoustaussou

Rando d’été, rando douce.    C’est très agréable de randonner bien à son aise par une matinée ensoleillée. Mais elle a tourné à la pluie en plein rando  - et je n’avais ni cape ni KaWé. Mais qu’importe il n’y avait que quelques gouttes et j’étais à peine mouillé quand la pluie d’est arrêtée.
Christian nous avait préparé un joli parcours, d’abord à travers Villemoustaussou, puis à la campagne, et puis le long du canal du midi. Les 4 écluses promises n’étaient en fait que  
 Et un sas – mais  mètres plus loin il y’avait une autre écluse – et donc la promesse était tenue.
Le retour nous a mené le long du Fresquel et nous étions vite chez Christian pour un piquenique bien sympathique dans son jardin.
Merci Christian pour cette jolie balade.



jeudi 2 août 2018

18-08-02 Cenne-Monestiés

Ah ce fut une belle rando. Je ne devrais peut-être pas le dire, puisque je l’ai menée. Mais d’autres me l’ont dit.
Nous sommes partis à 8 vers les hauteurs de la Cresse, qui longe Cenne sur plusieurs kilomètres. La montée était à l’ombre, et ensuite une  bonne partie du chemin aussi. Nous sommes revenus par Cornac, une bien belle campagne, et puis nous avons admiré les vignes de Henri et Julien Deveyer qui commencent à mettre Cenne sur la carte œnologique. Puis encore de petits chemins qui serpentent à travers les bois pour finalement arriver au village. Et là nous apercevons une randonneuse SEL qui était partie seule faire la rando douce. Et comme elle se sentait en forme et comme il n’y avait plus que 4 kilomètres, elle a fini le parcours avec nous. Ensemble nous avons monté la Grand’Rue, nous avons admiré les sculptures de Claude Tarlier devant la Filature et nous sommes descendus par la « nouvelle » usine. Puis par le Paradis nous avons gagné les hauteurs suer un chemin ombragé ouvert par les chasseurs il y a trois ans avant de redescendre par l’ancien chemin de Saissac jusqu’à chez nous (Anne et moi).
Et là d’autres nous ont rejoints dans notre petit bois pour un piquenique convivial à 13. Et puis certains ont profité des hamacs (j’en ai 5 – ça ronflait fort dans ce coin).
Et voilà. Et a la setmana que ven – Villemoustaussou. Les infos suivront.

Amitiés
Voici le lien pour l'album