dimanche 25 septembre 2022

2022-09-25 Villeneuve Minervois – Les Virades de l’Espoir

Nous étions une trentaine du SEL à faire une des trois randos proposées par les organisateurs. Mais en tout il y avait bien 450 à 500 randonneurs, cyclistes et traileurs.

Après les retrouvailles au départ, les inscriptions et les préparations nous voici partis, tous ensemble dans un immense crocodile. Le soleil a décidé de nous sourire, contrairement à ce qu’avait prévu les diverses météos, et le paysage du Minervois était bien joli. Mais je l’ai peu regardé car il y avait aussi le plaisir de bavarder avec l’un, l’une et l’autre .Après tout, ce sont des retrouvailles, des amis que nous n’avions pas vus depuis belle lurette, surtout moi qui a du m’abstenir depuis l’été.

Et le crocodile serpente parmi les vignes et les champs et monte doucement. A un carrefour, la rando forte, celle des onze kilomètres d’en va à la Montagne. Avec une amie j’attends les derniers car je ne fais que la moyenne. Nous voici donc à dix, juste nous. Après la cohue de la grande masse, il y a aussi le plaisir d’un petit groupe allant à un rythme moins soutenue. Après tout, nous avons moins à faire.

Après un kilomètre, voici encore un partage des chemins. Deux des nôtres d’en vont par le chemin rapide pour l’arrivée, tandis qu’à quatre nous repartons sur une petite montée dans les bois.

Mais voilà que nous arrivons à une propriété – en cul de sac. Ce n’est pas le tracé que nous voulions. Nous faisons demi-tour et je sors la carte pour voir où nous aurions pu nous tromper ;Ce n’était pas trop loin et nous reprenons aussitôt le bon chemin.

Encore quelques méandres et nous redescendons vers Villeneuve pour y entrer par la route de Cabrespine. Nous traversons les rues et les ruelles de cette jolie ville pour retrouver l’arrivée.

Et là, nous avons le temps de retourner aux voitures, d’enlever les chaussures de marche, de nous débarrasser des sacs et de nous restaurer à l’aubette des Virades en attendant les autres.

Et les voilà, une demi-heure après nous. Ils ont fait bien plus, mais ils ont aussi randonné plus vite que nous. Et voilà que d’autres viennent nous joindre pour l’apéro et pour le repas. Nous sommes bien une trentaine à table à attendre le paella traditionnel.

Et le repas se passe très bien dans la cohue et la bonne compagnie.

Et après un petit café, et un petit Génépi offert par une randonneuse bien sympathique, nous nous séparons avec des promesses de nous revoir rapidement – et surtout avec le rendez-vous des Virades de l’Espoir 2023.

PS Une nouvelle recrue est venue faire un essai du SEL. Bienvenue Nathalie, et à bientôt.

Photos d'Armand et les tracés ici 

jeudi 22 septembre 2022

2022-09-22 Cuxac Cabardes

 Page en construction

Les photos de Roger ici

dimanche 18 septembre 2022

2022-09-18 Castans

En ce 18 septembre, nous sommes 5 participants au départ de cette randonnée qui nous fera découvrir de beaux paysages tout au long d’un parcours en dents de scie, passant par le Cun de San Marti, le Pic de Rey, le Roc du Tonnerre et le Quiersboutou.
C’est par le traditionnel verre de l’amitié que nous concluons cette belle journée.
R. C.

Photos de Roger ici
Photos de Christophe ici

jeudi 15 septembre 2022

2022-09-15 Salsigne

Cette fois-ci, c’est une rando découverte que nous a concoctée Jacques. Nous sommes 21, prêts à se lancer dans cette nouvelle aventure.  Nous avons le plaisir d’accueillir 3 nouvelles recrues après leur passage au stand du forum des associations le 10 septembre : Bruno, Christine et Simone. Geneviève quant à elle est déjà conquise.

Renée, encouragée par son époux Françis et son frère Jacques s’est décidée à faire cette rando en répétant souvent « ils m’ont dit que je l’ai déjà faite, qu’elle est facile… »  cette répétition donne le ton du degré de facilité… surtout lorsqu’il a fallu gravir un rampaillou digne de ce nom…. encombré de caillasses, de ronces et de mattes d’asperges… chacun a fait comme il a pu, mais tout le monde a grimpé cette difficulté joyeusement….

Arrivés au sommet, Jacques s’exclame, « ça y’est, je pense que j’ai retrouvé le bon chemin »…et la petite troupe, confiante, est repartie d’un bon pas en admirant les paysages alentours, le Bugarach qui se détache sur le beau fond bleu de la chaîne des Pyrénées, les champs d’oliviers, les vignes fraîchement vendangées… nous croisons une machine à vendanger…

Jacques emprunte un sentier de traverse sur lequel il a gambadé jadis lorsqu’il était enfant mais le sentier n’a pas été entretenu et nous avons dû rebrousser chemin car les ronces étaient vraiment trop agressives. Qu’a cela ne tienne, nous enjambons des fossés soutenus par Bernard, Jean-Claude et Roger.

Au bout de quelques kilomètres, à un petit croisement, un petit groupe décide de descendre vers Salsigne tandis que l’autre groupe suit Jacques jusqu’à Villanière. La descente, très agréable, nous conduit jusqu’aux vestiges de la mine de Salsigne où un « mémorial » a été mis en place exposant les différents outils de travail des mineurs.

Enfin, nous arrivons sur le parking de la cave coopérative où nous terminons cette belle matinée par un pique-nique avec apéro offert par Jacques.

Encore une belle rando. Merci Jacques

Compte rendu réalisé par Ginette

Photos de Roger ici

dimanche 11 septembre 2022

2022-09-11 Moulin Neuf

Le S.E.L en balade «historique» depuis Moulin-Neuf à Roumengoux en passant par le château de Lagarde …

Ce matin, nous sommes 15 au départ de la salle des fêtes de Moulin-Neuf pour une rando d’un peu plus de 18,500km avec environs 470 mètres de dénivelé positif. Parmi nous, la jeune Margot et ses parents venus de Guadeloupe ainsi que trois randonneuses carcassonnaises à qui nous souhaitons la bienvenue et espérons revoir …

Après avoir contourné l’église du village, emprunté une partie de la voie verte et une longue montée en sous bois nous parvenons au hameau de Cazals des Faure où un vieux monsieur nous conte l’histoire de Moulin-Neuf.

La Constituante de 1789 réorganisa profondément l'organisation territoriale de la France. Des paroisses l'on passa aux communes. La commune du Cazal des Faures fut créée en détachant de la paroisse Saint-Martin de Tréziers, le Cazal des Faures proprement dit, les hameaux des Bessèdes et de la Douce, la métairie de Fontcau. On prit aussi à la commune de Roumengoux, le Moulin Neuf (ancien moulin banal du seigneur de Lévis sur l'Hers), la métairie de La Redonde. La commune changea de nom en 1876 pour devenir Moulin Neuf. 

Moulin-Neuf constitue en outre un ancien carrefour ferroviaire, puisque se croisent ici la ligne de Pamiers à Limoux, d'axe ouest-est, prolongée à Belvèze du Razès par une ligne allant vers Bram  et la ligne de Moulin-Neuf à Lavelanet.  Ces lignes ont perdu le trafic voyageurs dans la première moitié du XXe siècle, puis le trafic marchandises en 1973.

Nous traversons le hameau et continuons par un sentier dans les bois et en balcon sur la vallée de l’Hers. La randonnées mérite bien son nom de : «Boucle panoramique et historique en Pays de Moulin-Neuf». En effet d’ici, la vue est magnifique sur le château de Lagarde et, au loin la chaîne des Pyrénées, les Monts d’Olmes et Montsègur. Au troisième km, virage à 180 degrés pour descendre dans la vallée.

Nous atteignons Trèziers au lieu dit Hercule où se trouve une curieuse croix de rogation, traversons le village et prenons la route en direction de Corbières.  Quelques centaines de mètres plus loin nus descendons vers le Ruisseau de Lorgadil qui est à sec. Nous suivons le ruisseau pendant environs 1,55 km, prenons à gauche par une nouvelle route goudronnée  et, enfin à nouveau une partie le voie verte jusqu’à proximité de l’ancienne gare de Lagarde. 

Avant de traverser l’Hers quelques uns d’entre nous se délectent de figues. Nous sommes non loin du château, un mur se dresse devant nous, 750 mètres avec une pente moyenne de 13 pour cent avec un passage à 21 pour cent. Les amateurs de cyclisme peuvent apprécier… Il est un peu plus de 12h00, nous pouvons faire la pause casse-croute bien méritée. 

Le château est une imposante bâtisse médiévale dont la construction a débuté au XI éme siècle par l'édification d'une première tour carrée (1063-1065) par Ramire 1er de Navarre roi d’Aragon comte de Barcelone. Puis au XII iéme siècle entre 1176 et 1180 le château s’agrandit à 4 tours carrées avec hourds et couverture en ardoise, une poterne d’entrée rectangulaire avec porte en bois et herse, pont-levis et fossé au pied des murs, cet ensemble est relié par des murs avec meurtrières à sabot en partie basse, crénelage en partie haute avec derrière une circulation en bois. Au milieu de la très belle cour pavée de galets de rivière se trouvait déjà le puits circulaire, encore en place aujourd’hui, de 62 mètres de profondeur et 2 mètres de diamètre en très belle pierre taillée dont la maçonnerie fait 1,20 mètre d’épaisseur. C’est Alphonse II « le chaste » roi d’Aragon (1152-1196) fils de Raimond Bérenger II de Provence et de Pétronille d'Aragon, qui fit construire cet imposant château, gardien de la vallée de l’Hers, voie très importante de communication.

Simon IV de Montfort attribua le « village » de Lagarde et son château à Guy Ier de Lévis, lieutenant de son armée, en 1212, après que Simon de Montfort ait convoqué à Pamiers une assemblée générale de nobles, de prélats et de bourgeois notables, où l’on rédigera pour l’administration du pays conquis un statut comprenant 46 articles. Entériné par le Traité de Paris, signé le 12 avril 1229 sur le parvis de Notre-Dame, il est stipulé entre autres dans les textes que la seigneurie de Mirepoix est donnée à Gui Ier de Lévis, qui devient vassal du Roi de France « Louis IX ou Saint-Louis », et se voit décerner le titre héréditaire de Maréchal de la Foi, il prend officiellement à ce moment le nom de Gui Ier de Lévis Mirepoix.

Depuis 1990, divers groupes et associations de bénévoles se relaient pour œuvrer à la restauration du château.

A environs 1 km, au sud de Lagarde se trouve le magnifique Château de Sibra où nous étions passé il y quelques mois au cours d’une très longue randonnée au départ de Saint Quentin. Randonnée pendant laquelle nous étions passés par 5 châteaux et notamment par celui de Léran, le Versailles ariégeois. Claudine nous avait fait alors bénéficier de ses connaissances sur le département de l’Ariège.

Vers 13h15, nous reprenons la route. Par un petit sentier bien ombragé, une montée en sous bois nous parvenons au chemin qui mène à Roumengoux. Souvent en tête, Annick mène la cadence. Il fait très chaud, à l’entrée du village, à une fontaine nous pouvons nous rafraîchir et remplir nos gourdes.

Par le passé, Roumengoux  a été un des hauts lieux de la tragédie cathare. Aujourd’hui ce coquet village, situé sur le GR 7 est devenu un petit village résidentiel où vivent de nombreux artistes, peintres et musiciens. Sur la commune un sentier de randonnée permet de voir les nombreuses fontaines qui sont sur la commune. Nous avons pu en apercevoir deux. 

La visite du village terminée nous redescendons dans la vallée afin de rejoindre nos voitures. Nous y sommes à 15h30, Margot, ses parents et les trois randonneuses préfèrent rejoindre Carcassonne. C’est donc à 9 que nous allons prendre un verre sous les couverts de Mirepoix (Maison des Consuls). 

Photos de Jean-François ici 

Photos de Patrick ici

jeudi 8 septembre 2022

2022-09-08 Notre Dame du Cros à Caunes Minervois

Aujourd’hui, 8 septembre, ce sont 20 randonneuses et randonneurs dont 2 Nouvelles, Suzanne et Geneviève à qui nous souhaitons la bienvenue, qui se sont retrouvés à Notre-Dame du Cros pour une sortie dans les magnifiques pinèdes de Caunes-Minervois. Il faisait beau et nous avons apprécié les ombrages tout au long du parcours.

Après la visite d’une carrière de marbre, nous nous sommes retrouvés au parking ou nous nous sommes séparés. Certains sont rentrés chez eux, d’autres ont prolongé la matinée par un agréable pique-nique sous les platanes.

Merci Martine pour cette jolie balade.

R. C.

Photos de Roger ici 

dimanche 4 septembre 2022

2022-09-04 Les Cammazes

Sous la conduite de Jacques, une balade «mouvementée» du S.E.L du côté des Cammazes et de Durfort …
Il y a déjà plusieurs mois que nous n’avions pas fait de rando dans la Montagne Noire. (Voir nota) Ce matin, au départ de l’église des Cammazes, nous sommes douze au départ pour une jolie randonnée dans la Montagne Noire. Jacques est notre guide du jour.
Les Cammazes sur la rivière le Sor est un joli village situé entre le village de Saissac et le bassin de Saint-Ferréol. Le petit village et ses environs offrent aux amoureux de la nature et aux randonneurs, ses forêts, son patrimoine, héritage de Riquet et de Vauban. 
Après avoir traversé le village, nous prenons à gauche un joli chemin, sous les hautes frondaisons de magnifiques sapins. Sur notre droite nous laissons la Voûte Vauban ou Tunnel des Cammazes puis nous suivons la Rigole de la Montagne.
Le tunnel voûté construit entre 1686 et 1688 est long de 122 mètres et large de 3 mètres. Il permet aux eaux de la rigole de la montagne de rejoindre le réservoir de Saint-Ferréol. Partie constituante de l'immense édifice du canal du Midi il est à ce titre classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1996 et inscrite au titre des monuments historiques en 1997. Il a été conçu par Vauban dans un mémoire du 5 mars 1686, pour faire passer les eaux de la rigole de la montagne Noire de la vallée du Sor vers la vallée du Laudot, sous «l'arreste de la montagne d'Escammase ». Pierre-Paul Riquet, qui avait un temps songé à ce projet, était mort, avant d’avoir vu son œuvre terminée, en 1680. 
La Rigole de la Montagne commence à la prise d'eau d'Alzeau sur la rivière Rougeanne (altitude 645 m) à Lacombe, dans la montagne Noire où elle détourne une partie du cours de l'Alzeau puis elle capte les eaux du versant sud de la montagne Noire en coupant différents ruisseaux, dont la Vernassonne, le Lampy et le Rieutort. Tous ces cours d'eau rejoignent naturellement le Fresquel, cours d'eau du versant méditerranéen, alors que la rigole amène les eaux collectées sur le versant océanique. Dans sa configuration initiale, la rigole de la montagne se jetait dans le Sor au lieu-dit Le Conquet sur la commune de Saissac. Au lieu-dit Pont-Crouzet, en amont de Revel, les eaux du Sor étaient ensuite captées pour alimenter la rigole de la plaine et le canal du Midi. Depuis, grâce au prolongement de la rigole et au creusement de la percée des Cammazes réalisés par Vauban à la fin du xviie siècle, l'eau de la rigole de la montagne est redirigée vers le réservoir de Saint-Ferréol en empruntant le lit du Laudot.
Depuis la construction, dans les années 1950, du barrage des Cammazes sur le Sor, la rigole longe au sud le lac de retenue du barrage. En période de crue, le déversoir du Conquet évacue le trop plein de la rigole vers le Sor en amont du lac, alors que, plus en aval, une prise d'eau sur le lac permet de soutenir le débit d'étiage de la rigole. La Rigole de la Montagne est longue de 25 km de la prise d'Alzeau jusqu'à la percée des Cammazes. La rigole est classée au titre des sites naturels depuis 1996 et, comme partie du canal du Midi, au patrimoine mondial depuis 1996.
Nous continuons le long de la Rigole pour atteindre le barrage des Cammazes où Michel nous fait part du fonctionnement du barrage. Notre marche se poursuit le long du Sor que nous traversons sur une petite passerelle. Nous commençons une très longue montée, dans des jolis sous bois de sapins et de hêtres, avec de forts pourcentages. Vers 11h0 nous sommes au point culminant de la balade à la côte 666 mètres (personne n’est superstitieux). Nous sommes sur la commune de Sorèze.
Tous au long du parcours nous rencontrons de très nombreux randonneurs, joggeurs et surtout des vététistes (une course, la Sorèzienne, est organisée sur ce même parcours). Il nous faut faire attention, en particulier dans la longue et difficile descente caillouteuse vers la vallée du Sor et le village de Durfort, aux quelques 400 participants. 
Vers le milieu du sentier nous sommes agressés par de nombreux frelons excités par le passage des vététistes. Christine et surtout Patrick sont piqués ; Roger fait un détour en jouant au sanglier. Plus loin, vers la fin du sentier, un vététiste vient de faire une très grave chute. Les secours sont en place. Nous avons appris par la presse du lendemain qu’il est malheureusement décédé.
Vers 12h30 nous traversons le coquet village du Durfort. Longeons à nouveau le Sor et commençons la remontée vers les Cammazes.
Village des chaudronniers et des artisans du cuivre, Durfort doit sa prospérité à la proximité de la rivière Sor qui alimentait ses marteaux industriels (martinets). Le vieux village avec ses ruelles parcourues par un ruisseau central, ses maisons à colombages et ses fresques Street Art est très touristique. 
A l’approche du km 13, il est un peu moins de 13h00 nous décidons de faire une longue halte la pause casse- croûte. Le repas fini, Patrick, suite à ses nombreuses piqures se sent fatigué et préfère arrêter. Je l’accompagne jusqu’ à Dufort. Là, à la terrasse d’un café, au bord la rivière nous attendons que l‘on vienne nous récupérer en voiture.
Les dix autres randonneurs continuent leur chemin vers Les Cammazes. La montée vers les Cammazes, tant redoutée par Jacques, s’est finalement avérée être de difficulté tout à fait moyenne. Nous retrouvons la conduite forcée qui descend du barrage des Cammazes puis, dans la forêt de l’Aiguille, les charbonnières métalliques qui témoignent de l’activité forgeronne de la Montagne Noire. André nous donne alors de précieuses informations sur cette activité. 
Nous rejoignons le village des Cammazes par un beau sentier en tranchée dans les arbres, avec une petite halte à l’oratoire que nous indique André.
Arrivés aux voitures, André va récupérer Patrick et Jean François à Durfort tandis que les autres se rafraîchissent au café du village.
Merci à Jacques pour cette belle rando et à Michel pour ses précieux commentaires sur la région et sur ses connaissances en hydrologie. 
Jean François et Michel.

Photos de Jean-François ici
Photos de Roger ici
Photos de Michel ici

Nota: En fait il y a eu plusieurs randos d'été SEL dans la Montagne Noire en juillet août. Mais des randos de jeudi.


jeudi 1 septembre 2022

2022-09-01 St Martin le Vieil

1 septembre – la rentrée

Début de la saison SEL d’automne 2022

22 randonneurs au lac de St Martin le Vieil

Journée maussade au début – ensoleillé ensuite.

Départ du lac – remontée le long d’une petite route

Le village, l’église, et une vue en balcon … de champs de tournesol et oignon sans soleil

Derrière le village, petites cultures individuelles

Première vigne

Dans les bois pour remonter vers Ficelle

Le Farigoule – Un petit zone de Landes

Un pied sur le territoire de Cenne-Monestiés – la plupart des randonneurs (dont moi) ne se rendent même pas compte !

Des bois encore

Nous marchons sur le chemin des immigrés – de Bruxelles à Cenne le 8 août 2003. John et Larry. Accompagnés par Jacques et beaucoup d’autres du SEL et ailleurs. Vingt six en tout pour terminer ce périple pédestre pendant plus de 3 mois.

Descente par la Jambe de l’Homme (pourquoi ce nom ?) vers l’abbaye d Villelongue

Deux vues de l’Abbaye

Passage en sous-bois – puis au soleil pour une montée. Pourquoi le soleil a-t-il attendu ce moment-là pour sortir ?

Une montée encore plus rude. Mais tout est relatif

Le « sommet » et puis la descente

Nous contournons le lac – les voitures sont au fond et il n’y a pas de passeurs. Je propose de nager, mais il n’y a pas de preneurs.

Les voitures. Le déchaussement. Le pique-nique. 

L’automne 2022 du SEL a bien commencé.

PS mené par votre humble serviteur, JT.

Photos ici