jeudi 31 mai 2018

dimanche 27 mai 2018

18-05-27 de Cuxac à Cenne-Monestiés

En 2003 mon ami Larry et moi avons parcouru les 1863 kilomètres entre mon ancien domicile à Bruxelles jusqu'à mon nouveau à Cenne-Monestiés. 85 jours de marche, 91 jours de voyage..
Et hier, nous avons refait la dernière étape de Cuxac à Cenne. En 2003 nous étions à 20 au départ, hier à 21. En 2003 nous étions à 25 à l'arrivée, hier à 18.
J'étais très heureux que Larry avait choisi ce moment pour venir nous rendre visite.
Et j'étais très heureux que tant d'amis du SEL sont venu refaire cette étape avec nous. Dont Jacques qui l'avait fait avec nous le 8 août 2003!

Et la rando même, elle était très jolie. Nous n'avons presque pas eu de goudron. Toujours des sentiers et des petits chemins. Ces chemins passaient sous une canopée d'arbres entre les champs, avec beaucoup de jolies fleurs. Il a fait un peu couvert, peu de soleil, mais juste assez chaud. J'avais eu des plus jolies vues des Pyrénées quand nous avions fait la reconnaissance à quatre, mais c'était toujours joli.

Nous avons quitté Cuxac sur un chemin particulier: l'ancien route de Carcassonne à Mazamet. C'est Gérard qui me l'a raconté. Cela fait toujours plaisir de marcher le long d'anciennes routes, que l'homme a parcouru depuis longtemps. Et ceci n'était pas une exception. Puis nous l'avons quitté pour plonger vers Brousses, que nous avons traversé pour arriver en lisière du Villaret. De là le chemin nous a laissé descendre vers Montolieu, que nous avons contourné en passant sur un joli pont sur l'Alzeau et en remontant vers le château Villeneuve.

Nous nous sommes arrêtés pour manger un peu après la route de Saissac. Et qui dit manger dit aussi Sieste - sur 21 marcheurs, plus de la moitié ont fermé l'œil après avoir mangé.
Mais il fallait bien continuer et nous avons continué vers Villelongue où Anne est venue récupérer trois d'entre nous qui préféraient une rando un peu moins longue.
Nous avons continué en montant le rampaillou de la Jambe de l'Homme pour passer par le Devès.
Un peu plus tard, au tournant d'un chemin nous avons aperçu le clocher de Cenne pour la première fois.
Et puis après le domaine de Garrigue, une propriété privée dont les propriétaires me laissent toujours passer avec les amis, nous sommes descendus vers Cenne et la fin de notre périple.
Nous avons tous pris un verre ou deux ensemble et puis j'ai conduit les 5 chauffeurs à Cuxac pour récupérer les voitures.
Et au retour c'était la fin du périple.

Merci mes amis de l'avoir fait avec moi. Comme je l'ai dit au début ce fût une très grande joie pour moi.

Et dans le programme du dernier trimestre je mettrai l'autre partie de la rando - de Bruxelles à Cenne.

Amitiés

John

Mes photos, avec celles de Larry, Daniel, Jean-Yves et Françoise:


Les photos de Jean-François:





Mes photos de la reconnaissance:
​ ​
https://photos.app.goo.gl/bbqq0E7MyHXtOraZ2

jeudi 24 mai 2018

18-05-24 Salsigne

Une belle journée pour cette belle rando. Pardon, pour ces belles randos. Car il y en avait deux: la grande menée par Guy et Francis avec 25 participants et la petite menée par Renée avec 8 participants. Et, je crois que je peux le dire, tous les 33 étaient contents de leur sortie. Moi en tout cas je l'étais.
Le payasage autour de Salsigne est très calme et paisible; nous sommes passés par des petits chemins et sentiers, et même quelquefois juste au bord d'un champs ou d'une vigne où il n'y avait pas de vraie trace. L'inconnu, cela donne d'autant plus de plaisir. Le soleil était avec nous mais il ne faisait pas trop chaud. Très agréable même.

Merci à Guy, Francis et René pour ces jolies randos

Amitiés

John


vendredi 18 mai 2018

18-05-20 Caudebronde



Il n'a pas plu. Non ... il... n'a ... pas ... plu.

Du moins pas avant 11 heures.
Et pas après 12 heures non plus.
Entre les deux, oui il a plu un peu. Juste de quoi nous mouiller un peu
Beaucoup
Passionnément
A la folie.
Des trombes d'eau quoi. Des cordes. Des hallebardes. En anglais on dit qu'il a plu des chats des chiens et des petits poissons. En Belgique on dit qu'il drache. En France il pleut comme une vache qui pisse.
Mais pas avant 11 heures
Et pas après 12 heures non plus.
C'était une jolie rando quand même. Tout le paysage était bien lavé. Tout propre. Et par terre aussi, très bien lavé. Et on avait prévu des petits torrents sur les chemins pour bien laver nos godasses.
Et j'ai redécouvert pourquoi je n'aime pas la cape. La pluie tombe sur la cape, dégouline par devant et tombe sur mes jambes nues (car je suis évidemment en shorts) ruisselle le long de mes jambes et
​entre ​
dans mes godasses
​ par en haut​
. Donc après 12 heures j'ai marché dans deux petites baignoires, une sur chaque pied.
​ Même que mes chaussures sont imperméables!​

Ce n’était point la première fois et ce ne sera surement pas la dernière.

Mais cela ne m'a pas enlevé le plaisir de la rando. Cela faisait une rando différente. Une petite préparation pour l'Ecosse dans quinze jours.

Merci à Béa de nous avoir si gentiment mené et à Festi-Rando pour avoir organisé cette sortie.
​Et si j'ai dit qu'il n'a pas plu, la rando, elle, a plu!​



Quelques photos de John​, de Larry (mon copain américain)​
et de Geneviève​S: ​https://photos.app.goo.gl/sXpWsotNoUAzSI9p1

jeudi 17 mai 2018

mercredi 16 mai 2018

18-05-16 Tour Madeloc

Nous avions dormi sur place, à la villa Camille. Les autres avaient randonné la veille de Banyuls à Port Bou, mais moi je ne les avais rejoints que le soir pour manger ensemble.
Et ce matin, après un petit déjeuner aussi copieux que nous voulions, avec les picnics dans les sacs nous sommes partis en voiture jusqu’à Collioure.
C’était une belle journée ensoleillée déjà. Au parking Roger nous a montré la Tour Madeloc, là-haut sur la montagne. On allait monter là-haut ? Eh bien oui.
C’était en fait une montée régulière et pas trop difficile, à part une petite portion en rampaillou près de l’Ermitage .Mais assez long quand même.
Mais il y a un avantage à un rampaillou – on voit les fleurs de très près. Il ne faut pas se baisser pour les voir – elles viennent à toi.
Et elles étaient belles ces petites chéries. Et tellement nombreuses. Il y en avait partout. La montagne n’était pas verte ou grise mais jaune, bleue et blanche. Mais surtout jaune, car le genêt dominait par la quantité. Mais il ne fallait pas chercher pour voir les autres : cystes de plusieurs sortes, véroniques, pâquerettes, quelques asphodèles, boutons d’or, gueules de loup, glaïeuls, et j’en passe et des plus belles. Sur l’album tu verras, cher lecteur / chère lectrice un petit échantillon de ces fleurs, soit en détail, soit en amas magnifique.
Et souvent nous avons eu de ces parfums de fleurs. Le soleil évidemment les faisaient émettre leurs petites odeurs pour attirer les abeilles et autres insectes pollinisateurs – et aussi pour notre plaisir.
Il y avait un peu de vent, des bourrasques même par moments le matin, mais juste de quoi nous rafraichir. Car le soleil a brillé toute la journée, nous donnant des vues superbes de tous les côtés. Tout au long de la montée nous avions la mer à notre gauche, avec Collioure et Port Vendre qui nous montraient leurs ports et leurs vielles villes. Puis Banyuls un peu plus tard. Et évidemment d’en haut, la vue est très belle aussi – et le vent le plus fort aussi. Et nous sommes donc descendus jusqu’au Fort 500 pour piqueniquer. Et faire une petite sieste – bien sûr !
Pour commencer la descente nous étions derrière la Tour – en fait nous l’avons entièrement contournée. Et notre vue c’était vers l’Espagne et Llanca (je crois). Puis par un petit col nous avons croisé notre chemin de montée et nous sommes descendu jusqu’à Collioure, une longue descente avec la mer en face de nous et le port de Collioure et son palais des rois de Majorque. Une petite montée de 100 mètres pour passer au Puig de les Daines et ensuite la descente jusqu’au port, jusqu’à une terrasse de café et un barman sympathique et accueillant – et qui plus est qui nous a servi à boire !
Nous l’avions mérité !

Merci Roger pour cette formidable balade .Merci Yves pour l’organisation du séjour. Nous vous retenons pour l’année prochaine !


Photos de John et de Jean-Yves: https://photos.app.goo.gl/PzUvfJ5DYzX6NqkU2

mardi 15 mai 2018

18-05-15 Banyuls

 C'est à la gare de Banyuls que nous nous retrouvons pour ce premier jour de randonnée organisée par Roger et Yves sur la Cote Vermeille .
Nous sommes douze . Le vent aussi est au rendez vous, empêchant la pluie de s'installer, et nous laissant espérer quelques rayons de soleil .  Alors, c'est plein d'entrain et de bonne humeur que nous descendons dans les petites ruelles de Banyuls pour gagner le sentier côtier .
    La mer moutonnée couleur gris ardoise, s'éclate sur les falaises déchiquetées, et borde d'écume blanche les criques de graviers roulant sous les vagues .
Et ainsi, de Banyuls a Cerbère nous longeons cette cote rocheuse faites de nombreux méandres , de tours et de détours  , de montées et de descentes .........Par endroit  le vent nous coupe le souffle et soulève nos chapeaux ,  quelques gouttes de pluie perlant sur nos sacs à dos .
   Cerbère à vue ne parait pas bien loin ....mais avant d'y arriver il nous faut passer le Cap de la Vella et de Rederis ,  la plage de Peyrefite  , l'anse de Terrimbo et le Cap de Canadell , pour enfin nous poser sur la plage de Cerbère et tirer nos pic -nics de nos sacs à dos .
Magnifique..                Époustouflant sentier ........et en ce jour, aussi soufflant  ......qu'époustouflant !!!!!!!! .

L'après midi Roger et Yves nous emmènent sur les hauteurs de Cerbère . Nous marchons le long de la crête frontalière en dominant d'un coté l Espagne et Port Bou  et de l'autre la France et Cerbère . Le vent s'étant quelques peu apaisé , le soleil nous a permis de profiter de ce magnifique panorama et de la couleur bleue turquoise de la mer s'étendant à notre vue . Nous randonnons jusqu'à l'ultime promontoire , lieu dit Cava Foradada , pour redescendre jusqu'au phare du Cap Cerbère .

Avant de rejoindre la gare de Cerbère pour prendre le train qui nous ramènera à Banyuls , nous faisons un " arrêt obligatoire " au seul café ouvert de la ville .......mais abrité de quelques bourrasques persistantes .
Et c'est en dix minutes que le train de 17 h 37 nous ramène à notre point de départ .   Ici nous quitte notre Président  Jacques qui rentre sur Carcassonne ; Mais nous "récupérons " notre Secrétaire John , venu partager notre soirée et la journée du lendemain .

Mais cela est une autre histoire ........et ici se termine notre premier jour........ sans oublier le petit verre de Banyuls indispensable et réconfortant après les efforts de la journée . Petit déjeuner prévu à 7h 30 le lendemain matin ......." Bon Pieds , Bon œil ."  Merci à Roger et Yves pour cette superbe première journée .

Jean-Yves et Françoise

Album des photos de Jean-Yves, de Nicole et de Simone: https://photos.app.goo.gl/xcfpeBCet5wZc2QK8

18-05-15 Séjour Benyuls

Jour 1: 
Jour 2: 

dimanche 13 mai 2018

18-05-13 Conques

Notre sortie à Conques , qui a remplacée, au dernier moment la sortie de Termes.
Nous avons marché jusqu’a 11 heure 45 ,sans pluie.

dimanche 6 mai 2018

18-05-06 Cabezac

 Télégramme au Secrétaire du SEL

Rando Cabezac super.stop.
21 participants randonneurs...stop.
Chaleur estivale....stop.
Aucune perte ,aucun blessé....stop.
Sieste méritée...stop.
Buvette au terminal assurée....stop.
Adishatz...stop.
les guides Escargots....STOP.
Amitiés
John
(le Secrétaire)


jeudi 3 mai 2018

18-05-03 Castans

Nous étions à 28 pour cette jolie rando dans les bois et les collines au-dessus de Escandelle, un des hameaux de Castans. Le temps n'était pas fameux, mais il n'a pas plu - la météo, les météos, s'étaient trompés de nouveau et heureusement! Les bois étaient belles dans leur habit de printemps, couleurs claires, légères. Et beaucoup de fleurs. Nous étions en altitude et donc des fleurs qui étaient finies en plaine s'ouvraient joyeusement pour nous.

Les pentes étaient faciles, longues peut-être mais faciles. Et des vues - magnifiques.

Et que dire de la compagnie? C'était le SEL, ce qui est tout dire. La meilleure compagnie qui puisse être!

Merci à Monique qui nous a mené sur cette rando avec son ami Claude.

Et en rentrant en voiture, Maurice et moi nous avons vu une biche sur la route, une biche apeurée qui ne trouvait pas de percée dans les clôtures le long de la route et qui est restée devant nous pendant 5 bonnes minutes.


Mon album de photos: https://photos.app.goo.gl/aiF4Od7c4CZchCro1


Amitiés

John



PS. Mais il n'y avait pas de dieux ou de déesses grecs.

Du moins nous n’en avons pas vus!