dimanche 31 octobre 2021

2021-10-31 Dourgne

Balade dans les hauts de Dourgne, la Capelette et le Désert de Saint Ferréol dans les pas de Dom Robert …

Une nouvelle fois, nous sommes 19 pour cette balade du S.E.L, conduite par Michel. Il est un peu plus de 09h00 et le ciel commence à se dégager lorsque nous commençons notre montée vers le versant nord de la Montagne Noire.

La montée le long d’un torrent est relativement facile jusqu’à une chapelle dédiée à Notre Dame de Fatima ou nous faisons une courte pose. A partir de là, la pente devient plus dure et, par une joli forêt de hêtres nous arrivons au point de vue de Saint Stapin. Saint Stapin était un évêque de Carcassonne, chassé par les Sarrasins, il est mort à Dourgne en 720.

Le monument qui lui est dédié est très curieux et évoque une fusée spatiale. De ce magnifique point de vue nous apercevons de nombreux villages qui autrefois faisaient parti du Pays de cocagne(*). Le vent est maintenant très violent mais,  il faut monter par une sente devenue relativement difficile pour gravir les derniers hectomètres qui nous conduisent au point le plus haut de cette randonnée, à la côte 594.

Nous poursuivons à travers forêts de hêtres et de pâturages où paissent de grands troupeaux de moutons gardés par de jolis patous. Au détour du sentier nous abordons vers 12h30, le chemin de Dom Robert. Dom Robert, nom religieux de Guy de Chaunac-Lanzac, né le 15 décembre 1907 à Nieuil-l'Espoir et mort le 10 mai 1997 à Dourgne, est un moine bénédictin, peintre et peintre cartonnier de tapisserie, français.

Là, en bordure d’un joli bois, nous décidons de faire la pause casse croûte, suivie pour certains de la traditionnelle petite sieste. Il est un peu plus de 14h00 lorsque nous reprenons notre marche en direction du désert de Saint Ferréol et la chapelle de la Capelette. Partout des «massifs» de fleurs jaunes : du séneçon du Cap ou de Mazamet, cette plante particulièrement envahissante et très nocive qui gagne toujours du terrain dans nos campagnes.

Une nouvelle courte halte avant de commencer la descente vers la plaine et Massaguel, un haut lieu historique tarnais. Plusieurs jolies tapisseries de Dom Robert ornent l’église du village. Nous devons, pendant quelques hectomètres prendre une route goudronnées, avec beaucoup de circulation pour rejoindre En Calcat. Majestueuse et grandiose, située sur la commune de Dourgne l’abbaye a été fondée en 1890. Outre Dom Robert, plusieurs artistes peintres, musiciens y ont séjournés.

La visite des lieux a ravi tout le monde et nous reprenons notre cheminement vers Dourgne après un nouveau petit détour par l’abbaye de moniales bénédictines Sainte-Scholastique. Comme pour En Calcat, la construction débute en 1890 avec le monastère et s'achève en 1923 avec la consécration de l'église.

Après un peu plus de 17 km et un dénivelé positif de 656 mètres, il est 16h30 et nous prenons notre traditionnel dernier verre dans un petit bar du village en observant les gestes barrières. 

Merci Michel pour cette jolie balade.


(*)  Le Pastel des teinturiers ou guède est une espèce de plantes herbacées bisannuelles, de la famille des Brassicaceae, qui pousse à l'état sauvage en Europe du Sud-Est ainsi qu'en Asie Centrale et en Asie du Sud-Ouest. La cocagne est la boule séchée et durcie obtenue à partir de feuilles de pastel broyées (plante tinctoriale), la cocagne était concassée et utilisée comme teinture bleue.  

Le pastel a donné du XV ème au XVI ème au Lauraguais, notamment à Revel, une richesse inégalée et a permis la construction, d’églises, châteaux et de beaux hôtel particuliers …


Compte rendu de Jean-François. Ses photos ici

Photos de John ici

Photos de Patrick ici

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Photos de Christophe ici



jeudi 28 octobre 2021

2021-10-28 Aragon

Une rando splendide par un après-midi rayonnant dans un coin enchanteur.
JacquesC nous a mené sur cette rando. Départ le parking d’Aragon avec des vues fabuleuses du village. Nous avons traversé le village pour ensuite remonter la première des trois vallées de la journée. La vallée du Ruisseau de la Combe Petite. Pendant plus d’une heure nous l’avons remontée, en fil indienne car le sentier était étroit entre les arbres et les buissons. Des échappées tout autour des falaises de chaque côté et les arbres aux feuilles aux couleurs d’automne tout autour.
En fait tout au long de la rando, les feuillages des arbres étaient resplendissants avec les rouges, oranges et jaunes de la saison, éclairés par ce soleil d’automne et souvent éclairés de derrière, ce qui les rendaient translucides et encore plus belles. Les quelques vignes que nous avions longées montraient ces mêmes caractéristiques aussi. Des feuilles de vigne aux nuance de cette belle demi-saison. Tout simplement glorieux !
Arrivés en haut de la vallée ; nous avons traversé un petit plateau avant de descendre la deuxième vallée, celle du Ruisseau de Grimbaud. Jacques nous a fait crapahuter un peu, mais sans vraie difficulté. Les sentiers ont un peu disparu depuis que le pont a disparu sur le Ruisseau de Trappel, vallée que je n’ai pas compté puisque nous n’avons fait que la traverser pour remonter sur la crête que nous avions suivie pendant un bon kilomètre pour ensuite la quitter pour descendre dans la vallée du Ruisseau de la Valette que nous allions suivre jusqu’au parking.
Avec de nouveau ces vues sur le village, toujours éclairé par le soleil couchant.
Merci Jacques de nous voir fait découvrir de nouveaux chemins dans ce coin que nous pensions bien connaître.
Et bienvenue à une nouvelle recrue, Isabelle, qui nous a trouvé sur ce blog et qui s’est inscrite tout de suite.
Mes photos ici

dimanche 24 octobre 2021

2021-10-24 Forêt d'en Malo

Il y avait deux randos SEL aujourd'hui, une de difficulté moyenne à Brugairolles menée par Jeff, une autre un peu plus dure à la Foret d'en Malo menée par Yves.

Voici le Compte Rendu d'Hélène sur la Rando à la Forêt d'en Malo

Ce dimanche matin, 7 courageux randonneurs se sont levés tôt pour une randonnée au départ du Caunil, hameau de Salvezines, vers la forêt d'En Malo. Il a fallu aussi affronter la fraîcheur du matin avec l'onglet au bout des doigts pendant la première heure de marche.

Je crois pouvoir affirmer après coup que personne n'a regretté ces efforts.

La matinée pourrait s'intituler "A la recherche du trou perdu" !

Eh oui, outre une belle montée depuis le Caunil vers les sommets boisés - avec juste quelques arbres en travers du sentier pour pimenter l'exercice - un des points d'intérêt de cette première partie de randonnée était, paraît-il, "le Barrenc de la Néou", autrement dit, un aven, un trou.

Malgré tous les efforts de nos guides Roger et Yves, malgré une battue en règle de nous 7 sous la futaie jardinée de sapins, puis encore l'entêtement des 4 hommes pour chercher encore (pendant que les 3 randonneuses, ayant capitulé, bullaient sous les feuillages), ... Bref, malgré tout, rien, point de Barrenc, rien du trou !

Cette péripétie ne risquait pas d'entamer notre enthousiasme et notre bonne humeur -au contraire on en a bien ri ! - soutenus par les couleurs d'automne, l'air qui se réchauffait juste assez, la petite brise et bientôt, des vues magnifiques vers les pics alentours et le piémont pyrénéen.

Lorsque l'appétit s'est fait sentir, nous nous sommes mis en quête d'un endroit pour pique-niquer : une belle pente herbeuse et ensoleillée face aux montagnes (la Ventaillole, peut-être le pic Fourcat, ...) et la compagnie furtive des oiseaux : pinsons remontant vers les sommets, casse-noix mouchetés - nous a dit Jean.

L'après-midi, nous avons longtemps longé la crête rocheuse au Nord de la forêt, avec ses pentes vertigineuses (même pas peur !) et de magnifiques trouées dans les arbres qui nous laissaient voir, à nos pieds, le château de Puylaurens, le Pech de Bugarach, les gorges de l'Aude ...

Ensuite, nous n'avons plus eu qu'à descendre, sous le vol des vautours fauves qui planaient près des falaises, reprendre les voitures, nous reposer un peu au bistro et revenir vers Carcassonne.

Merci à Yves d'avoir proposé cette belle randonnée ! 

Photos d'Hélène ici

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Photos de Chantal et le tracé ici

Photos de Patrick ici


2021-10-24 Brugairolles

Il y avait deux randos SEL aujourd'hui, une de difficulté moyenne à Brugairolles menée par Jeff, une autre un peu plus dure à la Foret d'en Malo menée par Yves.

Voici mon Compte Rendu de la Rando à la Brugairolles 

Nous avons passé une excellente journée à randonner dans les collines du Razès par un temps splendide. Le soleil nous a accompagné pendant toute la journée, éclairant les paysages d’une lumière automnale douce mais très claire. Les vignes avec leurs couleurs jaunes, oranges, rouges étaient très belles. Les arbres aussi, leur feuilles prenant aussi les belles couleurs automnales. A Routier, il y avait un mur de lierre d’un rouge bordeaux éclatant. Ci et là des fleurs, notamment un tournesol isolé a milieu d’un champ en friche. C’était magnifique.

Et au loin, les Pyrénées. le Bugarach, le Canigou, le Madres, le Carlit, le Tarbésou, le Soulairac et le Saint Barthélémy étaient tous au rendez-vous, bien visible pour une bonne partie de la rando.

C’était une rando paisible. Pas de grosses montées, une distance plus qu’honnête (vingt kilomètres) et une compagnie agréable. Que fallait-il de plus.

Nous sommes partis de Brugairolles dans la fraîcheur (trois degrés) mais au soleil qui nous a vite réchauffés. Nous sommes passés par Routier avec son mur clocher toulousain, visible et reconnaissable de loin et par Alaigne, village circulade avec une jolie place au milieu. Nous avons cueillis des raisins laissés lors de la vendange, très sucrés quoique quelques uns commençaient à vinifier déjà sur le vigne. Nous avons mangé sur deux tables de pique nique à Cazes, bien au soleil comme toute la journée et nous avons pris notre temps. Jean-François nous avait apporté de l’Avèze comme apéro et du rouge pour accompagner le repas ; A entendre les rires autour de moi, c’était fort apprécié – moi, malheureusement, je suis toujours sans alcool.

Et finalement de retour à Brugairolles Jean-François et don épouse Geneviève nous sont offert un le verre d’amitié. Une belle fin pour une belle journée.

Merci Jean-François pour cette belle journée.

Photos de Jean-François ici

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jeudi 21 octobre 2021

2021-10-21 Alairac

Une rando simple et agréable dans les bois autour d’Alairac. La journée était maussade et la rando nous a fait beaucoup de bien. Regis connaît bien les chemins et les sentiers autour de son village et nous y a menés avec aisance. A un moment donné il a demandé « Un kilomètre de route ou un rampaillou ? ». Et la réponse était unanime – le rampaillou. C’est vrai qu’il n’’y avait qu’une personne qui a répondu, moi. Toutes les autres se son abstenues. Nous avons escaladé le rampaillou!

Mais il n’état pas long. Un bon exercice cardio-vasculaire.

Merci Régis pour nous avoir fait une belle balade dans ton pays.

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dimanche 17 octobre 2021

2021-10-17 La Clape

Une magnifique randonnée dans la Clape.

Nous étions vingt puis très rapidement dix-neuf au départ (André a décidé de faire cavalier seul. Nous l’avons rencontré au milieu de la rando). Partis du Parking des Auzils, nous avons remonté la petite vallée du Rec, heureusement à sec, dans les pinèdes pour déboucher, après un rampaillou ou deux où nous avons dû crapahuter, sur le plateau et la garrigue de Figuières. Une traversée aisée et courte et nous voilà avec un point de vue magnifique sur une vigne proche, l’étang de Bagès et Bagès et les collines en face, le village lui-même étant illuminé par le soleil pendant quelques minutes. C’était très beau et nous avons pris le temps d’admirer.

Puis une descente courte où il fallait de nouveau se tenir avec pieds et mains et ensuite un sentier qui serpentait juste en dessous de la falaise, avec la pinède et garrigue qui descendait à gauche. Et ensuite il fallait remonter sur le plateau, remontée courte et sans histoires. De nouveau en haut de belles échappées sur l’étang de Bages. La traversée d plateau s’effectue sans problèmes et nous arrivons à notre lieu de pique nique. Une place pierreuse mais confortable. J’ai mangé, le vin a circulé, j’ai fait la sieste pour être réveillée avec trois desserts sur ma poitrine. Très bonnes ces gentillesses. 

Et puis les bons-bons d’Yves nous annonçait le départ et nous descendons vers la piste où, après cent mètres nous rencontrons André. Et nous passons quelques instants à papoter, bien sûr.

Un petit sentier qui serpente aussi et nous contournons les Gueites et nous arrivons à la Vigie. Un endroit bien connu ; nous y sommes passés souvent. Nous avons même pique-niqué ici il y a quelques années.

Et comme toujours la vue est belle. Gruissan plage en dessous de nos pieds, Narbonne plage un peu plus loin. La pinède toute proche et la mer plus loin. C’est une mer automnale, partiellement éclairée par le soleil, partiellement voilée par les nuages, créant ainsi un effet magnifique de jeux de lumières. J’aurais pu la regarder pendant encore un bon bout de temps.

Mais il fallait continuer. Nous avons descendu la piste pour retrouver notre point de rencontre avec André, puis un peu plus loin la Chapelle des Auzils. Un lieu magique cette chapelle. D’après le site de la ville de Gruissan, 

plusieurs significations sont données au nom de la chapelle Notre Dame des Auzils.

« Auzils » peut venir du mot latin « Auzel » qui signifie oiseau ou « auxilium » traduit par « aide ou secours ». Cette seconde étymologie convient mieux à Notre Dame qui est censée porter aide et secours aux marins.

Mais, une autre interprétation fait planer le doute.

En occitan, « Auzina » signifie chêne vert. Et, cet arbre est très présent dans le massif de la Clape.

Quelle qu’en soit la véritable signification, il faut aussi rappeler que « les Auzils » ne désigne pas seulement la chapelle mais aussi un lieu. Déjà en 1305, un document parle de la « Clap (montagne ou tas de cailloux) des Auzils ».

Une visite de la chapelle s’impose pour admirer les images et bas-reliefs de bateaux perdus en mer, et pour lire quelques unes des histoires des marins perdus en mer, sans tristesse car en relisant les histoires ces marins revivent.

Nous descendons le chemin des cénotaphes, l‘allée des naufragés. Encore des moments pour lire les récits de ces capitaines et matelots perdus en mer.

Et revoici le parking et les voitures et bien sûr André.

Une partie du groupe nous dit aurevoir et les autres se suivent jusqu’à Gruissan et le Café de la Paix, une bière bien méritée, les souvenirs de la journée et d’autres randos et randonneurs que nous avons connus.

Et ainsi se termine une très belle journée de rando.

Merci beaucoup Gérard et Marie-Claire pour nous y avoir guidés


Photos de John, Martine, Christophe avec une chacun de JF de Roger et de Chantal ici

Photos de Jean-François ici

Photos de Roger ici

jeudi 14 octobre 2021

2021-10-14 Notre Dame du Cros

Une rando très intéressante et très jolie. Pas longue (huit kilomètres) pas trop de dénivelé (250 mètres) et pas de rampaillou (du moins positif). Mais une montée continue pendant une bonne heure. 

Le soleil a brillé, le ciel était sans nuage, les Pyrénées étaient visible de bout en bout. Le paysage changeait tout le temps. D’abord la vallée du Cros près de la chapelle, puis les bois en montant avec déjà des vues près de la carrière, encore quelques bois et puis la garrigue. La garrigue et des vues encore et encore de plus en plus lointaine. Nous dominions la vallée du Cros d’en haut avec la rivière qui scintillait en bas et avec ces Pyrénées magnifiques au loin : Canigou, Madres, Carlit, Bugarach, St Barthélémy, Soulairac. Le Tauch aussi montrai son dos plat. C’est chaque fois le même plaisir et un plaisir nouveau, renouvelé que de les voir?

Nous avons crapahuté sur un sentier qui longeait la vallée avec toujours es belles échappées à gauche. Et puis tournant à droite, nous avons vite trouvé la piste et le chemin en face qui nous mena d’abord à la Matte, maison encore habitée et bien entretenue et ensuite Biot, ancien moulin partiellement restaurée – et en restauration depuis longtemps. Le permis de construire avait déjà quatorze ans !

Et ici ; comme à plusieurs fois pendant la rando Josy a fait une halte pour nous expliquer ce que nous voyions, son histoire, ses caractéristiques. Très intéressant, comme toujours.

Nous avons quitté Biot par le vieux chemin de charrette qui descendait vers la vallée et surprise, surprise, encore des vues magnifiques. 

Le petit rampaillou en descente et nous revoilà sur la poise qui allait nous ramener au départ – sauf certains qui ont pris un raccourci scabreux par un petit sentier en principe interdit.

Et à la chapelle, Marie-Chantal, épouse de Bernard qui randonne avec nous depuis un an ou deux, nous attendait. Et quelques amis aussi qui était venu pour l’exposé que Marie Chantal nous a donné de la chapelle, de ses origines, les légendes ainsi que la vérité .Et les origines et les significations des tableaux et des sculptures de cette chapelle dédiée à la Vierge Marie ;

Merci beaucoup Marie-Chantal pour cette exposée qui nous a ravie ;

Et merci Josy pour cette belle rando et tes explications fascinantes.


Les photos de John, Christophe, de DanielC et de GenevièveS ici


dimanche 10 octobre 2021

2021-10-10 Villasavary - La boucle des Paysages

Au parking du stade de Villasavary nous sommes 19 marchoteurs. C’est avec plaisir que nous retrouvons les anciens du dimanche et ceux du jeudi, attirés par la boucle des paysages proposée par Jocelyne et Martine d’une distance de 15km et d’un dénivelé de 390 m.

Nous découvrons un nouveau parcours rebalisé en 2020 par les bénévoles de la maison de la randonnée de Villasavary qui aménage les chemins de la commune. Nous traversons le village et allons voir le joli moulin de Roques qui a fonctionné jusque dans les années 50, le dernier meunier l’a cédé à la commune dans les années 80 et a été entièrement restauré. Nous remontons le long d’un ruisseau bordé de saules pleureurs et franchissons la voûte des Canonges, bel ouvrage d’art en brique rouge bâti entre 1775 et 1778 lors de la création de la route royale de Castelnaudary à Limoux. Montées et descentes à travers bois parmi les cèdres, pins et cyprès et les champs de tournesols sont mûrs pour la récolte. On grimpe sur le plateau des communaux pour gagner un joli belvédère sur le Lauragais et sur ce sentier historique, nous marchons sur les traces de Théodore Denille, représenté par une silhouette métallique, ancienne figure locale, agronome de métier, qui fonda au XIXe siècle une des plus prestigieuses fermes-écoles de France, par les panneaux il conte l’histoire des paysages environnants. Il est 13h et on fait la Pause aux tables de pique-nique. Nous revenons sur la piste afin de gagner les tables d’orientation, une est disposée côté Pyrénées et on distingue le Bugarach dans la brume et de l’autre le côté la Montagne noire. On redescend doucement sur le village et le stade est plus animé que ce matin, le match de foot va commencer.

Merci Jocelyne et Martine pour ces paysages qui dégagent quelque chose de reposant. A reprogrammer au printemps pour voir les tapis d’orchidées. Et il y a encore beaucoup de boucles à expérimenter dans le Lauragais.

Compte rendu de Cathy

Photos de Jocelyne ici

jeudi 7 octobre 2021

2021-10-07 Trassanel

Photos de DanielC ici

2021-10-07 La Jonte J3 – Liauscou et Eglazine

Aujourd’hui je n’étais pas en forme. Fatigué. Cela arrive quelquefois à l’approche de la trentaine. J’ai commencé la rando avec le groupe mas j’ai très vite décide de faire cavalier seul et les laisser partir, après avoir informé notre guide, Roger, bien sûr.

Nous étions venus en convoi depuis l’hôtel avec tous nos bagages, car nous allons rentrer à Carcassonne après la rando. Photo de famille en bonne et due forme et nous voici partis. Nous avons traversé le village très joli de Liauscou avec ses petites ruelles pavées, ses maisons proches et nous avons entamé le sentier. Sentier qui montait doucement à travers les champs et puis dans le bois.

Mais pour moi, la cadence aujourd’hui était trop soutenue et je n’avais pas envie de me forcer. Alors profitant d’un arrêt, j’ai dit à Roger et aux autres de continuer sans moi. J’allais poursuivre le sentier pendant un certain temps, sans doute jusqu’au village et puis faire demi-tour.

Et c’est ce que j’ai fait. J’ai donc échangé le plaisir de la rando en groupe avec de bons amis contra la rando en solo. Et c’était très agréable aussi. Je pouvais m’arrêter quand je voulais – et ce fut souvent. Je pouvais m’asseoir et me reposer. J’ai pris le temps de prendre des photos. J’ai regardé le paysage magnifique, le soleil le rendant très beau. J’étais sur le flanc de la montagne, avec une descente bien profonde à droite et une montée vertigineuse à gauche. Au dessus de ma tête il y avait ces contreforts rocheux magnifiques, qui surplombait la vallée, celle du Tarn. En face c’tait similaire. C’était là que nous étions hier – et que nous regardions par ici.

A un moment donné, j’ai vu un vautour qui planait loin en dessous de moi, et qui tournait en cercles paresseux avant de remonter et de passer au dessus de moi. J’étais prêt, mon appareil de phots en mains et j’ai pu prendre quelques photos de la fauve. Quelques minutes plus tard un autre (ou peut-être le même) tournoyait encore et passa encore plus près de moi. Je voyais clairement ses énormes ailes, foncés à l’avant, claires à l’arrière. Mais il était à moitié caché par les feuillages des arbres et donc la photo n’état pas possible.

Mais c’était enregistré dans ma tête. Pour toujours.

J’ai continué mon chemin. J’ai croisé quelques autres randonneurs et j’ai échangé quelques mots chaque fois. Comme on fait en montagne.

Et je suis arrivé au village d’Eglezine, un vieux village autrefois abandonné, mais en reconstruction par quelques bénévoles. Je me suis reposé au soleil et j’ai regardé les vielles maisons, et la vue toujours aussi belle.

Et après un repos bien mérité j’ai fait demi-tour.

Le retour était toujours aussi beau. Le soleil brillait, la vallée était belles, les arbres partout et les rochers toujours au dessus de ma tête. Tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Et comme je n’avais pas encore mangé, quand j’ai vu à ma gauche (côté vallée, puisque j’avais fait demi-tour) une place bien plate avec un point de vue, je m’y suis mis. Je me suis allongé à moitié, j’ai bu un peu d’eau et j’ai déballé mon sandwich. Qu’il était bon. Pain, beurre et jambon du pays, douce, délicieuse. Ensuite une orange, encore un peu d’eau, quelques morceaux de confit de gingembre et il était plus que temps pour la sieste.

Ah oui la sieste, dans le calme complet. Elle était bonne. Et j’ai bien dormi une demi-heure.

Puis en me réveillant j’ai regardé encore autour de moi. Toujours aussi beau, toujours aussi magnifique.

J’ai donc traîné, à rien faire, à regarder passer le monde. Qui en fait ne passait pas. Tout était calme, magnifiquement calme. Très reposant de regarder rien passer devant moi.

Et enfin j’ai décide de continuer mon petit bonhomme de chemin jusqu’aux voitures. Il fallait quand même que j’y arrive avant les autres ! Ce que j’ai fait, mais de peu. Peut-être une trentaine de minutes.

Et en effet, les voilà qui arrivaient, contents de leur journée aussi, me racontant ce qu’ils avaient fait, le village en restauration qu’ils ont visité bien plus que moi car un des bénévoles leur a tout expliqué. Ensuite le cirque de St Marcellin et le tour qu’ils ont fait pour compléter la boucle.

Et déchaussée, décontractées, nous nous sommes séparés pour retrouver nos domicile sou pour poursuivre d’autres aventures.

Une très belle fin à un très beau séjour.

 

Mes photos (de ma rando) ici

Les photos de Jocelyne ici

mercredi 6 octobre 2021

2021-10-06 La Jonte J2 – Le Rozier et Corniche de Méjean

Le jour ne pointe pas encore quand je me réveille. Il est temps de se lever et d’aller au petit déj. On se retrouve autour de la table, on mange, on boit un jus et/ou du café ou du thé. Des croissants, du pain etc etc. Classique. Et bon

Les pique niques sont préparés pour nous et nous les mettons en sac et nous voilà partis pour l’aventure. Un quart d’heure de route jusqu’au Rozier et la rando commence. Et elle démarre sur les chapeaux de roues. Une ascension rapide, un tout petit plat, une autre ascension et puis une troisième. En moins d’une demi-heure nous avons escaladé plus de deux cents mètres. De temps en temps nous prenons le temps de regarder autour de nous car le paysage en vaut la peine. Nous sommes au confluence de la Jonte et du Tarn, et ces deux rivières sont toutes les deux dans des gorges assez spectaculaires. Ce ne sont pas des gorges étroites comme nous connaissons à Galamus, mais un plus ouvertes et très hautes. Et très belles. J’en reparlerai.

Et nous voici au pied du Rocher de Capluc, un piton surmonté d’une croix blanche. Pour y monter un chemin en escalier, avec des main courantes côté falaise, et puis une première échelle. La moitié du groupe, prudente, s’arrête là. Mais moi je continue. Une première échelle donc, puis des échelons à même le rocher et puis deux autres échelles. Et me voici tout en haut avec les autres. Comme c’est beau. On se croirait sur la proue d’un grand bateau par la forme. Non je ne pense pas au Titanic ! Mais la forme est la même.

Les vues sont incroyables. 360 degrés bien sûr. Les deux vallées en amont , et le Tarn en aval. Des collines tout autour avec leurs forteresses de falaises entourés de forêts.

Mais le vent souffle, il ne fait pas chaud et nous avons encore des kilomètres à parcourir et d’autres vues à voir.

Le sentier continue en corniche pendant longtemps .Tantôt on monte, tantôt on descend, et puis on remonte. Il y a quelques passages où on a besoin des mains pour se hisser ou pour ralentir la descente. Les vues sont époustouflantes.

Et puis tout à-coup, nous montons ferme et nous arrivons au dessus. Un chemin large dans une pinède. Tout à fait différent. Et ce sera ainsi pendent une bonne demi-heure. Puis un autre chemin, on commence à descendre et on reprend un autre petit sentier en corniche, encore plus petit. Il monte il descend, il remonte, il redescend. Des vues toujours entre les arbres, quelque fois tout à fait à découvert. Nous sommes dans la vallée du Tarn. Auparavant noue étions dans la vallée de la Jonte.

Et voilà enfin un endroit idéal pour un pique nique.

Je dois admettre que n’importe quel endroit aurait été idéal pour le pique nique. J’avais une faim de loup. Et une petite sieste, trop petite, m’a fait du bien aussi.

Nous continuons et peu après nous arrivons à un très beau point de vue, le Cinglegros. Nous admirons. En face c’est la rando de demain. Cela promet d’être une belle rando aussi.

Mais la suite de notre rando aujourd’hui a changée. C’est une descente vertigineuse et après une dizaine de mètres périlleuse nous décidons de remonter et de trouver un autre chemin. Il vaut mieux être prudent, toujours.

Alors nous revenons par notre chemin en corniche, les vues sont similaires mais différents quand on parcourt le même circuit en sens inverse.

Et revoici le chemin que nous avions quitté. Il s’en va à droite, large, boisé. Une descente facile et agréable. Ah que je suis bon en descente.

Toujours de belles vues sur les gorges du Tarn et les collines en face.

Nous retrouvons notre chemin de l’aller et bientôt nous revoici aux voitures. Fatigués mais contents de la journée.

On embarque et vite nous sommes à l’hôtel. Une petite verre avant la douche, cela fait toujours du bien. Dans mon cas, une Jupiler sans alcool.  Elle est décidément bonne. La « Jupe » a toujours été une de mes pils (bières de tous les jours) préférées, mais c’est la première fois que je goût son sans alcool.

La douche, les vêtement propres et à dix-neuf heures trente nous revoici réunis pour l’apéro a resto. N kir cette fois, mais pas pour moi. Moi je prend encore une Jupiler zéro .Et elle est toujours bonne.

Et nous voici à table ; Et voici la soupe, au vermicelle cette fois. Et toujours bonne. Je prends une deuxième assiette.

La première entrée aujourd’hui, c’est une terrine au foie de porc et au foie de volaille. Délicieux avec quelques cornichons, du pain et du beurre.

Et la deuxième entrée c’est une bonne surprise : une omelette aux cèpes. Copieuse, délicieuse, cuite comme il faut et les cèpes au point. Et le garçon, Alexis je crois, reviens avec une deuxième tournée. Que la plupart entre nous acceptent avec joie. Il propose une troisième tournée ; mais là on crie assez ; même de bonne choses .car il y encore le plat !

Et là nous avons droit au navarin d’agneau accompagné d’un excellent Aligot.

Quoiqu’Alexis nous en offre encore, je dois refuser.

Et voilà qu’arrive une surprise. Une des nôtres a taquiné Alexis en lui disant qu’il manquait le plat poisson. Et le voilà qui arrive avec une truite meunière qu’il lui présente. Elle a goûté un peu, car elle n’avait plus fort faim. Je ne sais pas pourquoi. Mais heureusement pour nous car beaucoup d’entre nous, dont moi, ont pu avoir un petit morceau.

Le fromage est arrivé. Le Roquefort comme hier. Apparemment il ne faut pas l’appeler le Bleu. J’ai fait une gaffe. Je ne le referai plus. Et un petit chèvre délicieux et un très bon fromage de laits de vache, de brebis et de chèvre. A déguster.

Et en finale une Flaune. Un dessert du coin. Un gâteau avec repasse de lait de brebis avec du fleur d’oranger. Une nouveauté pour moi, et je crois pour tout le monde. (Quand on a trait la brebis à la machine, on termine à la main – et c’est la repasse)

Et voilà, le repas est fini. Mais non, voici Alexis qui reviens avec une grande bouteille de digestif, qu’il offre à tout le monde. Je suis un des rares qui refuse. D’après mes amis, ce n’était point mauvais !

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Les photos de Jocelyne ici

mardi 5 octobre 2021

2021-10-05 La Jonte J1 – Viaduc de Millau

Et voilà le grand jour était arrivé. Jour du départ pour le premier séjour SEL depuis trop longtemps. Les différentes voitures sont parties séparément pour se retrouver en dessous du Viaduc de Millau. Et par hasard trois ou quatre voitures se sont retrouvées à l’aire du Caylar.

Et puis rendez-vous au Parking du Rocher à Peyre. Par deux et par trois et par quatre nous nous sommes ainsi retrouvés et nous avons mangé nos pique niques.

Et déjà les vues du Viaduc de Millau sont belles. Nous allions en profiter pendant toute la rando. Au furet à mesure nous allions le voir, nous surplombant de très haut, soit à découvert, soit aux trois-quarts caché par les arbres.

Et parla brume et le crachin, car le soleil s’était caché pendant le pique nique et nous avions tous endossé anoraks, KaWés ou ponchos. Mais nous n’étions pas vraiment mouillés, heureusement.

Nous sommes passés en dessous du Viaduc, en plein milieu d’un des pylône, entre les deux jambes de celui-ci. Une photo de famille s’imposait près de cette œuvre d’art.

Et le chemin continuât. Nous sommes remontés presque jusqu’au niveau de la route, car nous y sommes passés en dessus par un passage. Et maintenant on regardait le viaduc d’en haut.

Il est quand même beau ce viaduc. Avec ses sept pylônes il traverse la vallée, la route suspendue par des haubans de ces pylônes.

Et ces haubans, et ces pylônes, dans le brouillard, faisaient penser à un grand voilier qui voguait sur ces nuages. Très joli !

De retour aux voitures, nous sommes partis en convoi jusqu’à notre hôtel près d’une heure de route. Et le voici, blotti dans la gorge, Hôtel Restaurant de la Jonte - Les Douzes. Un petit hôtel en bord de la Départementale, avec un annexe en face. Et c’est là que sont les chambres. Très vite nous sommes installés. Et puis douchés et reposés nous voici au restaurant pour l’apéro, offert par l’hôtel. Un apéro de pression de coings macéré dans de l’alcool. Délicieux m’a ton dit, car moi, pour des raisons médicales, je ne peux boire des boissons alcoolisés pendant six mois. J’espère que cela me permettra de me guérir de cette foutue polynévrite qui m’incommode depuis bien longtemps. Mais j’accepte avec plaisir un jus d’orange.

Et enfin nous voici à table, une grande table pour tout le monde, huit d’un côté, neuf de l’autre et deux à chaque bout. Une table bien joyeuse.

Et le repas commence. D’abord une soupe délicieuse .On nous offre un deuxième bol, j’accepte volontiers.

Puis une tranche de jambon, délicieuse, douce, tendre. Miam miam. Avec du pain et du beurre, que faut-il de plus comme entrée.

Mais ce n’est que la première entrée. Ensuite vient une salade de gésier. Une petite assiette bien remplie. Or moi je ne raffole pas du gésier, mais celui-ci était si bon et la préparation en salade si délicieuse. Je suis converti. Encore Miam miam.

Et voilà le plat principal. Des tranches de rôti de bœuf dans une sauce au roquefort accompagné d’une pomme dauphinoise et de tomates à la provençale. Tendre, juteux, cuit comme je l’aime (à peine rosé).

Miam miam est encore de rigueur je pense.

Ensuite d fromage .Trois beaux fromage, un roquefort, un St Nectaire et un fromage de brebis .Tous très bons – et c’est là qu’un petit verre de rouge me tente .Mais je résiste, je résiste.

Et finalement le dessert. Un baba au rhum. Qu’évidemment je dois refuser. Mais on me suggère une pâtisserie au chocolat et au café que je ne peux refuser.

Et devinez quoi ? Miam miam

Et ainsi se termine la première journée de notre petit séjour.

Mon album de photos ici

Les photos de Jocelyne ici

2021-10-05 -07 La Jonte Séjour complet du SEL

 Après deux ans de rester chez soi, le SEL a pu enfin faire un petit voyage, aux gorges de la Jonte à la limite de l'Aveyron et du Lozère. (carte ici)

Vingt et un participants, trois randos menées avec son brio habituel par Roger et un hotel incroyable choisi et réservé par Jacques.
Merci Roger pour les randos et merci Jacques pour la logistique . Vous avez rendu cette escapade très mémorable. 

Les photos du séjour complet:
Roger ici
Marie-Claude ici
Marie-Christine ici
Michel et Geneviève et deux photos de Chantal ici

Comptes Rendu et photos des trois randos et des deux soirées à l'hôtel
Mardi 5 octobre 
depuis Peyre pour admirer le Viaduc de Millau et le paysage autour 
Compte Rendu ici
Photos de Jocelyne ici
Photos de John ici
Mercredi 6 octobre
depuis le Rozier pour aller voir le Rocher de Capluc et les Causses de Méjean 
Compte Rendu ici
Photos de Jocelyne ici
Photos de John ici
Jeudi 7 octobre
depuis Liaucous pour visiter le village des troglodites Eglézian et le Cirque de Saint Marcellin 
Compte Rendu ici
Photos de Jocelyne ici
Photos de John ici

dimanche 3 octobre 2021

2021-10-02 Camurac Le tour du Boum

Sous la houlette d’Yves et d'Alain Bergua c'est une dernière randonnée de moyenne montagne de la saison qu'ils nous proposent, c'est  une boucle du Pays de Sault au départ de Camurac.

Nous sommes huit au départ du village de Camurac, quatre nouveaux  Alice et Bernard, Christian et Patrick et quatre anciens du SEL, mais où sont ils tous passés? est-ce à cause du mauvais temps ou ceux qui sont inscrits à la Jonte sont restés sur la jante pour ne pas venir à la rando au grand dam de Yves!

Malgré les nuages menaçants il fait doux ce matin et sommes confiants. Nous traversons le village de Camurac encore fleuri et sur la route on aperçoit au loin le village de Montaillou. On quitte la route pour prendre la piste forestière assez longue qui nous mène à Comus. Alice et Bernard nous abandonnent c'est un peu trop soutenu pour une première randonnée. Mais on espère les revoir à la randonnée de dimanche prochain qui sera plus cool. On continue sur une autre piste jusqu'au col de la Gargante et descendons au Pla du Boum constitué de murets de pierres qui servent aux pâturages. On accélère le pas car l'averse tant attendue commence à tomber. On atteint la piste montante qui mène au belvédère, une petite éclaircie nous permet une vue exceptionnelle sur les gorges de la Frau  qui tiennent leurs noms du mot "effroi" du temps où ce passage était un coupe gorge où sévissaient les bandits de grands chemins et  la table d'orientation  pointe au loin les sommets des Pyrénées ariégeoises. Arrive l'heure de la pause au milieu d'une exploitation forestière où il y a une petite aire de pique nique que les garçons apprécient, Martine et moi préférons un tronc d'arbre. Le brouillard arrive et on ne s'attarde pas. On retraverse le boum où de magnifiques chevaux paissent et viennent nous voir.

C'est une première on arrive à Camurac à 14h30 mais il recommence à pleuvoir. Yves s'adapte à la météo il n'y aura pas d’arrêt au café.

C'est une belle rando sans difficulté et sans variante de 17km et d'un dénivelé de 461m 

Merci Yves et Alain.

Compte rendu de Cathy

Photos de Patrick ici

Photos de Cathy ici