lundi 31 juillet 2023

2023-07-31 Fontargente

Ce 31 juillet, ce sont 9 randonneuses et randonneurs dont un nouveau, (C. P.) à qui nous souhaitons la bienvenue, qui se préparent pour passer une journée dans le site des étangs de Fontargente en Ariège.
La météo est excellente et après s’être équipés, nous prenons le sentier qui, progressivement, nous amène au pied d’un rempaillou sous les étangs. Là, un étroit passage entre 2 rochers nous permet d’accéder au 1er étang, puis un peu plus loin, au grand étang de Fontargente. Après une pause pour les photos, nous décidons de monter jusqu’ au Port de Fontargente qui marque la frontière avec l’Andorre. Il est 12 h 30, nous décidons de pique- niquer sur place.
Il est temps ensuite de redescendre aux étangs et d’emprunter le sentier en direction du refuge de Rulhe. Ce sentier qualifié de sportif, se faufile parmi des éboulis, des descentes et des remontées, et c’est avec plaisir que nous arrivons au refuge où nous décidons de prendre le verre de l’amitié, avant de faire la descente finale par la cabane de Garsan, où paissent tranquillement vaches et chevaux de Mérens.
Encore un petit effort, et nous voici aux voitures, contents de cette belle journée passée en agréable compagnie.
Roger.

Roger a mené la rando. Merci à lui. Photos de Roger
Photos de Patrick

jeudi 27 juillet 2023

2023-07-27 St Denis

Nous sommes 24 au départ pour cette rando-fraîcheur d’une fin juillet. Le ciel est bleu, le soleil brille, heureusement c’est la forêt qui nous attend. 
Nous nous retrouvons au barrage de Saint-Denis : c’est une étendue tranquille et silencieuse où se reflètent en s’inversant les grands arbres qui l’entourent. Mais dès que l’on s’avance sur la chaussée de la retenue,  nous sommes accompagnés par le bruit de l’eau qui dévale en cascades en-dessous et qu’on aperçoit à travers les hampes de grandes fleurs roses.
Nous franchissons le barrage puis nous nous enfonçons dans les sous-bois. Sous de grands chênes, puis de grands pins, puis des épicéas, il y a encore beaucoup de fleurs, des centaurées bleues, de grandes ombrelles blanches, la bruyère rose, alternant avec des jaillissements de fougères bien vertes. Et le soleil nous émerveille de ses jeux de lumière dans les hautes futaies.
Et puis c’est la Rigole et une admiration sans cesse renouvelée. C’est si beau qu’on oublie que c’est la main de l’homme qui a créé ce paysage qui paraît éternel. C’est toujours cette eau qui coule tranquillement, scintillant dans les rayons de soleil qui traversent les grands arbres, les minuscules cascades générées par une pierre, les ronds qui se multiplient en s’élargissant au contact d’une libellule… On n’en finit jamais avec la sérénité de ce chemin.
On arrive au bout de la Rigole, ou plutôt à son début, puisqu’on l’a prise d’aval en amont. Un massif d’hortensias bleus sous des arbres immenses, cèdre et épicéas, annonce la prise d’Alzeau. Le monument à Riquet, le petit pont et le torrent qui dévale sur de grands rochers, nous suivons désormais le cours de l’Alzeau en montant vers le barrage de la Galaube.  Ce n’est plus le cours tranquille de la Rigole, c’est l’eau vive, les cascades sur les rochers et ce vacarme continu et si agréable...
Nous atteignons le barrage -un petit bout  de cheminement  dans le grand soleil- , un barrage qui est venu, dans les années 2000, compléter le système hydraulique initié par Riquet il y a trois siècles et demi avec la retenue de Saint-Ferréol. À la redescente, une rencontre avec des ânes puis avec un « arbre aux papillons » plein de papillons (le buddleia). Et nous retrouvons très vite les belles forêts et les frais sous-bois. Nous sommes toujours dans le berceau du canal du Midi et Michel nous montre les vestiges de la « rigole d’essai », celle que Riquet a fait creuser en « test » et qui lui a permis de s’apercevoir qu’il était parti trop haut. Puis un beau cheminement dans la forêt de la Montagne noire, le cours de l’Alzeau toujours à portée de pas avec ses passages précipités, ses gros rochers engendrant des cascades et des portions calmes à peine troublées par quelques insectes au-dessus de l’eau et par quelques poissons au-dessous. Nous sommes dans des hêtraies magnifiques, des alignements de troncs très droits et très hauts qui vont chercher le soleil, un soleil qui joue avec les feuilles, nous offrant de véritables tableaux d’ombre et de lumière, tandis que nos pieds foulent un tapis de feuilles mortes très doux à la marche. Et toujours des fleurs qui viennent égayer les étages inférieurs, et aussi des buissons de ronces pleins de mûres pas encore mûres.
Puis l’Alzeau devient lac, ses eaux prennent la couleur des feuilles qui s’y reflètent. Nous longeons les rives du bassin de Saint-Denis avant de retrouver la chaussée de la retenue et de surplomber le ruisseau redevenu sauvage ; le soleil joue avec ses eaux qui cascadent et lorsqu’elles inondent des rochers moussus, elles en deviennent vert émeraude derrière leur écran de grandes fleurs roses. 
C’est un bonheur toujours renouvelé de cheminer dans ces forêts illuminées par le soleil d’été, illuminées mais juste ce qu’il faut pour jouir de leur fraîcheur tellement appréciée, tout en s’imprégnant du miracle que représente aujourd’hui encore le rêve dont Paul Riquet a su faire une réalité.
La rando idéale des jours d’été… Merci à Jacques et Michel qui nous y ont menés.
Après quoi nous rejoignons le Villaret et la chaleur de l’accueil de Jacques et de Paule. D’autres Sélois nous y attendent et les retrouvailles sont, comme toujours, un moment  de plaisir et d’amitié. Nous sommes donc une trentaine à nous attabler sous les grands arbres. Et, comme d’habitude, il ne manque rien ! Blanquette et rosé, melon, charcuteries, biscuits au poivre, quiches, crudités… puis un beau barbecue de saucisse et de coustelous offerts et préparés par le maître de maison, avant une « farandole de desserts » comme on dit dans les grands restaurants : tartes, clafoutis, moelleux, cakes, biscuits… et bien sûr les fameuses oreillettes de Jacques.
Bref, un moment intensément festif au cœur de l’été. Merci, un grand merci à Paule et à Jacques, c’est toujours un bonheur immense de venir chez vous… 

Photos de Marie-Christine
Photos d'Armand
Photos de Roger

dimanche 23 juillet 2023

2023-07-23 le Roc Blanc

Aujourd’hui, nous sommes 10 pour une randonnée montagne qui nous mènera, depuis le refuge de Laurenti, au Roc-Blanc qui culmine à 2542 m.
Après une longue piste en très mauvais état, nous arrivons au refuge du Laurenti. Nous nous équipons, et après la photo, nous attaquons la montée à l’étang qui se trouve dans un site remarquable. Petite pause, et nous repartons vers le fond du cirque à partir duquel nous allons attaquer les choses sérieuses : traversée d’un éboulis, puis la montée qui nous mènera au sommet, en passant par le col de Laurenti, côté 2400 m. Encore un bon raidillon, et nous voici au pied du pic que nous escaladons parmi les éboulis, et nous voici au sommet d’où la vue est impressionnante. 
Il est l’heure du casse-croute, et nous choisissons de nous installer à la base du pic avec vue plongeante sur l’étang.
Maintenant, il est temps de redescendre par le même sentier difficile car très pentu… et nous retrouvons les berges de l’étang que nous contournons par la droite, afin d’éviter le chaos d’éboulis du matin.
Afin de terminer cette belle journée, dans les meilleures conditions, nous faisons la halte rituelle du pot de l’amitié à Axat.
A la prochaine.
Roger.

Photos de Roger
Photos de Christophe
Photos de Patrick

jeudi 20 juillet 2023

2023-07-20 Sentier de la Rouge - Rigole

Une jolie balade ombragée. Nous étions à dix, non onze car une retardataire – ou une égarée comme on préfère, a couru après nous. Nous l’avions attendu un peu et donc elle n’a pas eu loin à courir !
Nous avons longé la rigole en admirant les effets des rayons de soleil qui perçaient la canopée de feuillage au dessus de nous. C’était fort jolie. La rigole nous a étonnée, car elle était très basse. Mais toujours les eaux ondulantes attrapaient des reflets du soleil.
Arrivés au début du sentier, nous avons quitté la rigole pour y descendre. Des pancartes tout au long de ce sentier nous informent sue le sentier même et sur la faune et le flore autour de nous. Mais elle ne disaient pas d’où venait le nom « La Rouge » .e n’était pas le ruisseau que nous allions rejoindre car lui s’appelait la Vernassonne. Nous étions dans la forêt départementale de la Rouge. Mais encore, ce nom ? En regardant la carte IGN j’ai vu que nous passions près d’une campagne que s’appelait La Rouge. Un pas en avant, mais d’où venait ce nom ? Mystère et boule de gomme.
Nous nous sommes avancés sur ce petit sentier pendant tout un temps et nous avons aperçu cette campagne, sans savoir à ce moment là que c’était La Rouge. Nous avons traversé la Vernassonne qui était là très petite. Elle prend sa source à Arfons, passe à Saissac où nous l’avons retrouvée, contourne l’Abbaye de Villelongue où nous la connaissons bien pour se jeter dans le Fresquel à Alzonne.
Et l’ayant traversé, nous l’avons remonté lentement pour retrouver la rigole que nous avons suivi jusqu’aux voitures où une partie de la troupe a pique-niqué au bords de la rigole.
Et j’ai omis de dire que sur cette balade nous avons aussi retrouvé deux revenantes, Chantal et Geneviève, que nous n’avions pas vu depuis trop longtemps.

Photos de John - augmentées de celles de Marie Christine et de Nicole

jeudi 13 juillet 2023

2023-07-13 Cavanac et la Colline sans nom

Nous étions à onze pour cette jolie rando à partir de Cavanac. J’avais choisi de la faire aujourd’hui car il faisait moins chaud et nous n’avions pas besoin de la fraîcheur de la Montagne Noire. Et en effet il faisait un temps confortable pour la rando.
Nous sommes partis dans les petites ruelles de Cavanac que nous avons traversé jusqu’au bout avant de prendre une petite route qui nous menait dans les champs. Beaucoup de fleurs partout sur le bord de la route ce qui enjolivait notre balade. Quelques vignes aussi et il y aura plus de celles-ci vers la fin de la balade. 
Tout doucement, pas à pas nous nous approchons des collines et on me demandait où était ce petit rampaillou que j’avais promis dans l’email. Patience répondais-je – cela viendra. 
Nous continuons, la ^petite route devient chemin, le chemin devient sentier. 
« Voilà le rampaillou » « Mais non, ça ce n’est qu’une petite montée »
Nous continuons le chemin et enfin nous le voyons ce rampaillou. Il n’y a pas moyen de se tromper. Un rampaillou, comme il se doit, ca grimpe fort. Mais comme c’est un petit, ce n’est que deux mètres tout au plus.
Et puis, o joie, un autre petit rampaillou. Ca grimpe autant et c’est aussi deux mètres tout au plus. Et puis vingt mètre plus loin un troisième de même suivi de peu d’un quatrième. Et après cent mètres de montée graduelle une petite montée qui pouvait peut-être porter le sobriquet de rampaillou mais tout juste. Elle ne montait pas assez fort, à mon avis, pour être un rampaillou. Mais libre à chacun de le désigner ainsi ou pas. Mais les quatre premiers l’étaient, ca c’est sûr. Et j’assurait mes amis que quoique dans le programme un rampaillou était annoncé, les trois (ou quatre) autres étaient compris dans le prix et qu’il n’y avait donc pas de supplément !
Et ayant escaladé ces quatre ou cinq rampaillous nous voici en haut de notre colline sans nom. Pourquoi sans nom ? Je n’es sais rien. Sur la carte IGN c’est juste un point avec un côte d’altitude, 323 mètres. Sans nom. D’où ma nomination la Colline sans Nom.
Mais cette colline n’a peut-être pas de nom, mais elle a une vue splendide. La vallée de l’Aude et Carcassonne, la cité dans un coin, et la Montagne Noire en face. Après l’avoir admiré, j’ai amené mes amis par un petit sentier qui descendait un peu pour remonter vers une autre petite colline d’où la vue était de l’autre côté – direction la haute vallée et par temps plus clair les Pyrénées. Même sans les Pyrénées, que l’on devine dans le lointain, la vue est aussi très belle.
Retour à notre colline sans nom et nous entamons la descente dans les bois et les sous bois. Et puis c’est fini la garrigue nous sommes dans les cultures, blé d’abord et ensuite vignes. Nous prenons une petite route où nous trouvons un figuier qui a des figues délicieuses. Pur miel me dit-on. J’en ai mangé trois, quatre te tous ont fait de même.
Nous quittons la petite route pour prendre un chemin et là c’est d’abord des prunelliers, dont le fruit est bien trop amer que pour manger, et ensuite deux types de pruniers – certains avec des petites prunes rondes jaunes bien sucrées et d’autres avec des petites prunes rondes rouge foncé, presque noires. Et bien sucrées aussi.
Et voilà Cavanac et nos voitures. Certains nous quittent car ils ne mangent pas avec nous et à sept nous descendons la rue pour trouver un coin avec une table pique nique au soleil et des arbres pour donner de l’ombre. Chacun trouve son bonheur avec ce choix. Et chacun se régale de son pique nique.
Et nous nous quittons avec le promesse de se revoir bientôt sur les sentiers ;

Photos de John

jeudi 6 juillet 2023

2023-07-06 St Martin le Vieil

Et voici la première rando de l’été, des randos un peu moins organisées, souvent sans reconnaissance préalable.
Et ce fut le cas aujourd’hui. Je pensais connaître St Martin le Vieil et ses environs comme ma poche et donc il me suffisait de me rappeler de quelques anciennes randos, d’en choisir une et de le raccommoder un peu. J’avais choisi de partir en longeant le Lampy pour le traverser à la passerelle du Moulin de Mestre ! Ce fut une jolie bakalde jusque là. Nous avons longé et puis traversé le Lampy, nous l’avons retraversé pour remonter dans le village et nous l’avons traversé une troisième fois par le pont <<romain » au nord de la ville. En route j’avais instruit mes amis sur les vestiges de l’ancien train qui passait par là – la TVA (Compagnie des tramways à vapeur de l'Aude) qui roula de 1905 jusqu’aux années trente. Un peu plus loin Guy nous a parlé des roches et des huîtres fossilisés que nous voyions le long du Lampy. 
Et puis nous nous sommes engagé sur le chemin vers la dernière traversée du Lampy. Quand il avait acheté le Moulin de Mestre il y a une quinzaine d’années, le nouveau propriétaire voulait fermer le chemin public qui passait le long de sa maison et la séparait de ses terrains en face. Les 3 communes, car ce chemin passait par Cenne-Monestiés, Saint Martin le Vieil et Carlipa y étaient d’accord de le dévier à condition qu’il construise une passerelle pour permettre au chemin de traverser le Lampy à un autre endroit. Ce qu’il a fait, en achetant le terrain, en y faisant construire une belle passerelle et en donnant le tout aux trois communes. Et c’était un beau chemin. Plusieurs fois j’y ai amené le SEL en rando depuis St Martin ou depuis Cenne. Las, j’avais oublié qu’il y a quelques années la crue du Lampy avait enlevé cette passerelle ! Il restait juste un pilier en béton ! Et comme personne ne voulait se dévouer pour porter ses amis sur le dos, nous avons fait demi-tour. 
C’était quand même un beau chemin, et j’avais vite fait de penser à une alternative. Mais très vite on m’appelait de derrière car il y avait un problème. Le genou de Christian avait flanché et il étain en difficultés. Après beaucoup de discussion, et comme il pouvait encore marcher, quoiqu’avec difficulté, je lui ai proposé de continuer un peu jusqu’à la route de d’y prendre une décisions de continuer, de retourner directement aux voitures ou d’y attendre que l’on aille chercher. Nous avons continué jusqu’au pont où nous nous sommes assis pour en décidé. Et la décision sage était qu’il rentrerait par la route, car il pouvait encore marcher, mais sans excès. Et que son épouse fidèle l’accompagnerait.
Et donc revenus à la route, ils nous ont quitté et nous l’avons traversée pour retrouver notre chemin.
Mais jamais eux sans trois. Aux trois quarts de la montée, on m’appelle encore que l’on s’arrête. Marie Claude avait perdu son téléphone portable, probablement au pont. Elle est allée le chercher, accompagné de Jean Claude. Nous avons continué un peu pour l’attendre à l’ombre, car il commençait à faire chaud !
Et après une longue attente, ils nous ont rejoints avec le portable – mais non sans aventure. Ils ne l’ont pas trouvé au pont, ils ont cherché, ils ont finalement abandonné les recherches et étaient sur le chemin pour nous rejoindre quand un passant avec un chien, voyant qu’ils cherchaient, leur a demandé si ce téléphone portable n’était pas le leur ! Et oui !
Et donc nous avons poursuivi notre chemin, mais avec un raccourci car il était 10h45 et nous n’avions fait que 3km500. J’ai donc improvisé pour nous amener par Ficelle, par Frigoule, en passant par le chemin des immigrants – ce grand chemin où pendant des années des hordes d’immigrants sont descendus de Bruxelles à Cenne ! Oui c’est par là que je suis passé avec mon copain Larry au bout de 1800 kms parcourus à pied. Et pour cette dernière journée nous étions accompagnés de 24 amis de l’Aude et de Bruxelles !
Finalement, après beaucoup d’aventures, nous avons retrouvé les voitures, nos amis Christian et Ginette et nos pique niques. 
Et là ,dans la bonne humeur nous avons mangé, et bu , ensemble avant de se quitter.
PS : Christian fera faire des radios de son genou – et puis on verra pour la suite. Ce n’est pas anodin !

Photos de John et GenevieveJ

samedi 1 juillet 2023

2023-07-01 Repas de fin de saison au Villaret

Il n’a pas fait beau en ce premier jour de juillet, et pour notre repas de fin de saison Jacques a dû change le lieu depuis son jardin .Mais, prévoyant comme toujours, il nous avait réservé le foyer du Villaret et c’est là que nous nous sommes réunis.
Mais quand même dix sept courageux se sont retrouvés plus tôt pour faire une jolie rando où, finalement, il n’a pas plu du tout. Tant pis pour ceux, qui comme moi, n’y sont pas allés !
Donc par deux et par trois, seuls ou par quatre nous nous sommes retrouvés au foyer. Les tables étaient déjà mises – oui il y avait une nappe sur chacune des longues tables, car c’était nous qui avions apportés les couverts, les verres et les assiettes. Et peu à peu les tables se sont remplies de tous ces ustensiles. Tables oui, mais pas encore les chaises. Nous nous sommes réunis debout pour parler, causer, discuter, s’entretenir avec nos amis, quelques uns que nous avions vu récemment, quelques uns que nous retrouvions ici, comme chaque année.
Jacques est arrivé, d’abord avec la Blanquette et puis avec tous les petits amuse-gueule fait avec amour par le traiteur en ville, les Trenels. Et assez rapidement il n’y avait plus d’amuse-gueule et beaucoup moins de Blanquette. Mais le bruit des voix était toujours aussi haut, car nous papotions beaucoup.
Puis nous nous sommes assis et Jacques a amené le Couscous – un plat de poulet et deux d’agneau. Que c’était bon. Et malgré que très vite nous avons mangé, le bruit des discussions n’a pas diminué. Est-ce que nous aurions parlé la bouche pleine ? Sûrement pas.
Et puis c’était le moment du dessert, que tout un chacun avait apporté. Et ces dames, et ces messieurs, sont passés le long des tables pour nous tenter avec un morceau de tarte, de clafoutis ou de gâteau. Ils étaient tous plus appétissants les uns que les autres – et je crois bien que tout est parti, malgré qu’il y en avait bien beaucoup !
Et puis nous nous sommes séparés, pour nous retrouver vite sur les sentiers !
Merci Jacques pour cette magnifique réunion et ce bon repas. Tu as vraiment l’art de faire des miracles!
Et bien venu à Marie-Hélène, une nouvelle randonneuse qui commence chez nous par le repas !

Photos de John

Photos de la rando de Roger