mardi 31 mai 2022

2022-05-31 Oléron Séjour Jour 4 Groupe 1 – Mardi – Château Salmonard

Départ en car à 8h30 pour notre groupe.

Guy nous dépose près de Boyardville et nous sommes vite partis dans les forêts.

Un court arrêt sous les arbres pendant que Manu nous montre le chemin prévu sur sa carte qui étend au sol. C’est une belle façon d’envisager notre périple.

Un eu de bois et puis ‘est la plage qui s’étend devant nous. Et sur la plage des filières, ces fils sur lesquels les moules grandissent. Ils sont actuellement presque entièrement hors de l‘eau car la marée est basse. Plusieurs hommes, venus en tracteurs adaptés à la pêche aux moules sur la plage, y travaillent. La moitié du groupe, dont moi, enlève les godasses pour se promener pieds nus sur le sable. C’est agréable.

Nous longeons la mer pendant deux kilomètres avant de nous rechausser pour retrouver la forêt et bientôt un camping au bord duquel il y a des tables publiques à l’ombre. Idéal pour le piquenique. Et le sol à coté est herbeux et se prête admirablement à la sieste.

Nous continuons ensuite dans la forêt avant d’en sortir pour faire une incursion plus à l’intérieur des terres pour voir le Marais du Douhet et beaucoup d’oiseaux.

Et nous retrouvons Guy avec le car et l’autre groupe pour un court parcours pour aller visiter une saline. Je ne peux pas en parler parce que moi, avec quelques autres, j’ai préféré rester assis à l’ombre d’un parasol de taverne en dégustant un bon petit cidre breton.

lundi 30 mai 2022

2022-05-30 Oléron Séjour Jour 3 Groupe 1 – Lundi – Château d’Oléron

Nous nous sommes réunis à neuf heure au car, une heure très raisonnable à mon avis, car je ne suis pas matinal, sauf pour les randos. Et c’était une rando, mais pas trop matinale. C’est un bon début de la journée.

La on nous a annoncé un changement de programme, nous n’allions pas partir avec le car, mais directement du village de vacances, menés par Manu, notre guide pour la semaine. Donc à vingt et un nous sommes partis dans les bois vers le nord, direction Château d’Oléron, notre but de la journée, et ou notre car allait nous attendre.

C’était une belle journée et une balade très agréable et très intéressante. D’abord sous les arbres de la Forêt Domanial de St Trojan. Deux ou trois petites haltes pour que Manu nous raconte les différents types d’arbre que nous rencontrons. Et puis nous passons d’un univers vers un autre. Fini la forêt, à nous les cieux ouverts des salins, et du Port des Salins pour être plus précis. Nous passons par des petites routes, des chemins des sentiers entre les marais et les salins. Nous voyons partout les cabanes des ostréicultures, car, faut-il le dire, il y a des huitres sur l’ile d’Oléron. Nous en avons gouté hier soir et elles étaient bonnes !

A plusieurs reprises, Manu nous arrête pour nous décrire le travail du fermier d’huitres, depuis sa naissance, sa croissance lente, le travail pour les brasser régulièrement pour qu’elles grandissent bien charnues, mmmmm, et finalement l’affinage à la fin pour enlever la vase et diminuer la salinité pour qu’elles soient non seulement bonnes mais aussi saines. Quel travail. Il serait mal poli de notre part si on ne saluait pas ce travail et dégustant encore le produit de tout cela. Je crois que c’est prévu au programme.

Vers midi, un coin calme, plat, herbeux, sous un arbre pour ce qui voulaient de l’ombre, nous nous sommes arrêtés pour manger le petit piquenique que nous avait préparé le village. Je dis petit, mais c’est un petit d’appréciation, car il était copieux. D’ailleurs je n’ai pas pris tout avec moi.

Et après le piquenique est-ce que je vous étonnerais, douce lectrice et ami lecteur en vous disant que j’ai pris une sieste. Et je pense que je n’étais pas le seul.

Nous avons continué notre chemin le long de la côte. La mer était loin car la marée était basse. D’énormes bancs de sable et/ou de boue s’étendaient à vue d’œil. La mer a dû être là, au loin, d’ailleurs on la voyait, mais la limite entre terre et mer était difficile à déterminer.

Et puis nous avons vu au lointain le château. Nous nous en sommes rapprochés et Manu nous a mené par les petites rues de cette petite ville pour entrer au château par une des deux premières portes. Pour y arriver, nous sommes montés su la digue de mer avec de nouveau ces belles vues lointaines de la terre et la mer au loin.

Et puis le château lui-même que nous avons traversé avec toutes sortes d’explication intéressantes. Un petit tour du port et qu’est-ce que nous voyons ? Un café, bar. Avons-nous hésité. Non. Absolument pas. Résolument nous y sommes entrés, nous avons pris des tables et nous avons commandé à boire. Nous l’avions bien mérités non ?

Et en plus nous avons retrouvé l’autre groupe qui était venu en car. Retrouvailles joyeuses, on se racontait chacun sa journée. Et le retour doux en car.

A demain.

Mes photos, avec j'espères certains d'autres aussi, ici

dimanche 29 mai 2022

2022-05-29 Pic Fourcat

Le Pic Fourcat par Prades.
Nous étions cinq au départ de Carcassonne, Chantal, Roger, Yves,
Christophe, et moi même . Nous avons récupéré  Alain et Martine à Limoux
. Nous nous sommes mis en route pour l'ascension du mythique Pic
Fourcat. Tous et toutes arnachés
comme de vrais et valeureux randonneurs et randonneuses. Au départ de la
randonnée, nous admirons un bouquet de lys des Pyrénées, ce qui fait le
charme du village de Prades. Nous grimpons à travers bois, la
progression est lente régulière, enfin
par un chemin herbeux nous arrivons au col de la Gardie.  Après une rude
montée, courte heureusement, nous escaladons le rocher de Mounégou
(certains s'entrainent pour le Carlit hi hi hi ) Nous cheminons à
travers le lieux dit Sarat de la
Coumette. Nous marchons sur un tapis de fleurs admirées de tous. Nous
arrivons au Pic Fourcat pour le pique nique, les Pyrénées sont au rendez
vous à 360 degré, du Pic du Midi de Biguorre en passant par le Soulairac
Le St Barthélémy le Vallier le
Rhule la Porteille d'Olu  le Tarbésou  L'Ourtiset et le Bentaillole sans
oublier la montagne de la Frau et le Bugarach. La météo est avec nous,
il fait très beau, une petite brise nous réconforte. Nous entamons la
descente par l’incontournable
Scaramus. Nous regardons l'immensité de cette masse rocheuse puis c'est
un dédale de verdure encore une fois fleurie, une petite montée, une
petite descente tout en zigzaguant dans cette prairie colorée nous
arrivons au Pla des
sept Cases. Encore quelques petites montées et descentes au frais à
l'ombre. La descente se fait progressivement, nous découvrons Prades,
encore quelques pas c'est l 'arrivée, et le moment de se désaltérer.
  L'itinéraire choisit nous a permis d'arriver différemment au Pic
Fourcat, que du bonheur. Ce fut comme toujours une journée apaisante,
fleurie, bucolique, merci à nos mentors Roger et Yves, organisateurs de
cette randonnée.

Photos de Jocelyne ici 

Photos de Roger ici

Photos de Chantal ici

jeudi 26 mai 2022

2022-05-26 Pennautier

Pour l’Ascension, nous avons fait une ascension à Pennautier. Oh, pas bien grande, 98 mètres de dénivelé, aussi bien positif que négatif. Mais c’était un peu plus que prévu, presque 10% de plus.

C’était en fait une rando facile. Et très agréable.

Nous nous sommes retrouvés à 21 sous les platanes du parking à l’entrée de Pennautier. Après la photo de famille devenue traditionnelle j’ai mené notre petit groupe à travers les rues de Pennautier pour nous trouver très vite à la campagne, dans les champs et les vignes. Au début nous avons longé le Fresquel et puis nous l’avons quitté pour traverser les vignes en montant lentement. C’est à partir de ce moment que nous avons commencé à voir plus de fleurs, car on avait fauché tout au long du début du parcours et les fleurs n’avaient pas encore eu le temps de repousser. Je dois dire que j’en étais déçu, car quand j’ai fait cette rando l’année passée à cette époque, juste avant la reprise des randos SEL, je l’avais appelé la rando à Coquelicots.

Mais patience. Un peu plus loin nous sommes sortis des vignes pour marcher dans les champs de blé. Et là, là mes amis, il y avait des coquelicots. Et des camomilles (blanches), et des miroirs de vénus (bleues) et d’autres encore. Ces jolies fleurs poussaient au milieu du céréale et faisaient un tableau extrêmement enchanteur. Un peu de vent et on croirait à une vue de la mer, car le blé (et les fleurs) dansaient en vague, poussés par le vent. De là haut aussi, il y avait des vues sur des collines de l’autre côté du Fresquel et de l’Aude, des vues resplendissantes.

Finalement la descente vers Pennautier, la traversée du centre du bourg par ces petites  ruelles étroites, le pont sur le Fresquel et nous voici aux voitures. C’est l’heure du départ, des au revoir et à la prochaine.

Mes photos avec celles de MartineP ici

dimanche 22 mai 2022

2022-05-22 Sorèze

Nous nous retrouvons ce dimanche à dix-neuf devant l’abbaye-école de Sorèze.

Il fait encore relativement frais et, par un chemin ombragé, nous commençons une belle montée régulière vers l’oppidum de Berniquaut.  De part et d’autres du chemin des fleurs, des fleurs, des fleurs, des tapis de trèfle jaune, des vipérines bleues, des marguerites, des cistes… Puis la montée se fait plus raide, les vipérines dévalent les pentes  et, pour les dernières dizaines de mètres, il faut mettre les mains sur les rochers. Mais là-haut, là-haut quel émerveillement… Un panorama à 360 °. D’un côté, loin en bas, Durfort et ses maisons serrées le long du Sor, dans un écrin de montagnes boisées, de l’autre Sorèze, son abbaye, son cœur ancien, son clocher, un peu plus loin Revel et la plaine tarnaise, d’un côté le paysage sauvage de la Montagne Noire, de l’autre les terroirs cultivés. 

L’histoire habite le paysage, une histoire millénaire toute entière à portée de vue. Sur ce petit plateau-promontoire, loin au-dessus des vallées, des hommes ont vécu durant ce qu’on appelle la protohistoire, l’époque celte ou gauloise. Le mot d’oppidum désigne un habitat fortifié, qui bénéficiait généralement de défenses naturelles induites par sa localisation en un lieu difficile d’accès, le plus souvent une position en surplomb. Celui-ci s’appelait à l’origine Verdun - un beau nom gaulois- et dominait la voie commerciale qui reliait la Méditerranée à l’Atlantique. Il fut occupé jusque vers 50 avant notre ère ; à cette époque, profitant de la « paix romaine », la population descendit vers la plaine où se développaient les activités agricoles et artisanales. Dans des temps redevenus difficiles, le lieu fut réoccupé à l’époque féodale, on le qualifiait alors de castrum (c’est l’équivalent médiéval de l’oppidum) et on le nommait désormais Berniquaut. L’abbaye de Sorèze fut fondée à son pied, au IXe siècle. Au XIIe siècle, la seigneurie de Berniquaut était partagée entre les Trencavel, vicomtes d’Albi et de Carcassonne, et les Bénédictins de Sorèze. Le village comptait alors plusieurs centaines d’habitants - on a peine à y croire.  Il fut  progressivement abandonné au XIIIe siècle: c’est un mouvement général qui a fait quitter les châteaux haut perchés et les bourgs qui les entouraient, quasi-inexpugnables mais tellement difficiles d’accès, pour des terroirs plus faciles à vivre et à exploiter. Sur ce promontoire si dur à atteindre, on pense à ces hommes et à ces femmes qui résidaient là-haut, vivant de quelques lopins de terre et de quelques troupeaux…

Après une pause bienvenue qui nous a permis d’admirer ce paysage extraordinaire et d’envisager avec incrédulité ce que pouvait être la vie en un tel lieu, nous redescendons à travers la hêtraie, avec un petit détour par les ruines de maisons médiévales. Après un chemin de crête et des vues plongeantes sur des carrières, nous cheminons dans un sous-bois où des orchidées pyramidales et les grandes hampes des digitales pourprées émergent d’un foisonnement de fougères. Une voie carrossable qui dessert des fermes, le carrefour du Montagnet avec une croix de fer très bellement ouvragée, puis une piste au milieu des grands hêtres. Il commence à faire bien chaud quand on se trouve à découvert et c’est avec plaisir qu’on arrive au site de Saint-Jammes. Là, nous découvrons un hêtre « multiséculaire » (« multi », c’est bien vague, deux siècles ou dix ?) et «  remarquable » ;  remarquable, il l’est, tellement immense qu’il a fallu poser un étai pour soutenir ses branches basses. À côté, ce qui reste d’une église ( les fondations …); elle avait accueilli jusqu’à la Révolution des cérémonies paroissiales puis avait disparu sous la végétation avant d’être dégagée récemment. La belle prairie ombragée qui l’entoure est jugée digne d’être notre lieu de pique-nique et de sieste, des tâches que nous assurons avec une grande application.

Après quoi il fait chaud, vraiment chaud, malgré un ciel couvert. Toujours une profusion de fleurs pour nous rafraichir la vue sinon le corps, des orchidées roses, des vipérines bleu violet à profusion, des pelouses de trèfle jaune (je ne garantis pas l’identification…), des églantines rose pâle, des cistes blancs, des ancolies bleu profond, des anthémis blanches au cœur d’or, des chardons rose vif tout neufs et tant et tant d’autres…

Puis c’est la découverte du « sentier karstique », un très beau circuit bien documenté de panneaux qui, à travers un petit causse croulant, lui aussi, sous les fleurs de toutes les couleurs, nous mène de dolines en gouffres, en failles, en grottes et en site minier médiéval. Un point de vue plongeant sur Sorèze avec table d’orientation et bancs où nous nous affalons parce que là, il fait encore plus chaud, vraiment plus chaud. Et c’est la descente finale sur Sorèze, un petit sentier  creux très ombragé, ce qui nous requinque, mais ça descend, ça descend, ça descend…

Sorèze est là, en bas, qui nous attend paisiblement. Nous empruntons les vieilles rues du centre ancien, bordées de belles maisons avant d’arriver devant l’abbaye-école, qui mérite quelque rappel historique. Ruinée par les guerres de religion, l’abbaye médiévale fut relevée au XVIIe siècle par les Bénédictins de Saint-Maur. En 1682, sous le règne de Louis XIV, l’abbé y fonda un collège. La qualité de l’enseignement y était telle que le roi Louis XVI en fit en 1776 une école militaire où les jeunes aristocrates étaient formés physiquement autant qu’intellectuellement. L’école fut supprimée comme ses semblables en 1793 ; elle fut reprise en 1854 par les Dominicains sous la houlette du Père Lacordaire et fonctionna jusqu’en 1991, formant dans une atmosphère sévère et militaire des générations d’élèves dont beaucoup firent de brillantes carrières dans l’armée, la diplomatie, la haute fonction publique mais aussi, plus étonnamment, … dans la chanson (Claude Nougaro, Hugues Aufray). « Sorèze est une école où la religion, les lettres, les sciences et les arts se partagent les heures d’un jeune homme afin de jeter en lui les fondements d’une vie d’homme » (Père Lacordaire).

Il faut bien reconnaître toutefois que nous sommes plus assoiffés de liquide que de savoir et nous finissons avec béatitude, non dans l’abbaye, mais attablés dans un café des belles allées de Sorèze.

Merci à Jocelyne et à Martine P. de cette belle rando pleine de découvertes et de ravissement des yeux.

Compte Rendu de Claudine

Photos de Roger ici 

Photos de Jocelyne ici

Photos de Catherine ici

jeudi 19 mai 2022

2022-05-19 Montclar

Un bel après-midi pour une rando épatante. Yves nous a mené sur un des sentiers bien connus mais toujours différents depuis Montclar. C’est un paysage rural, calme, verdoyant, fleuri et une rando qui monte et qui descend par des petites routes, des chemins plus petits et des sentiers qui, automatiquement, sont encore plus petits. Des paysages doux où on entrevoit des collines arborisées autours de champs verdoyants. Et comme c’est toujours fin printemps, début été des fleurs. Toujours des fleurs. J’en ai vu trois nouvelles aujourd’hui, c’est-à-dire nouvelles cette année pour moi : Glaïeuls de moisson, Chèvrefeuille et Campanules. Et une qui est je crois une toute nouvelle pour moi : une Limodore aux feuilles avortées, une Orchidée à tige dure, des fleurs violettes avec un centre jaune, et pas de feuilles. Oui, une fleur qui n’a pas de feuilles et pas de chlorophylle pour transformer l’énergie solaire en combustible. Mais comment vit-elle, je vous entends demander. Eh bien elle est une parasite. Elle vit soit de matière décomposée sous terre, notamment des champignons, soit de racines des arbres. C’et quelque chose que j’ai découvert aujourd’hui en essayant d’identifier la fleur à partir de ma photo et en lisant les textes abondants sur Google.

La nature est fascinante.

Mais revenons à notre rando. Nous nous sommes donc baladés dans les collines du Razès, en montant un peu, un peu plus, en descendant un peu et encore un peu plus, en serpentant entre les arbres et les buissons au hasard du chemin. Je dis au hasard, pour treize d’entre nous s’était au hasard, mai pour notre guide intrépide ce n’était point au hasard. Yves connaît ce coin et nous y a amenés avec son brion habituel.

Merci Yves pour cette balade bucolique.

Mes photos ici

dimanche 15 mai 2022

2022-05-15 Marsa

Aujourd’hui, nous sommes 7 participants à cette rando au départ de Marsa dans la vallée du Rebenty.

Nous partons vers Quirbajou ou nous faisons une première halte, puis nous repartons en direction du col du Camelier, et, par une montée soutenue, nous arrivons au point haut de notre rando : le Picoulet de Quirhaut (1280 m), ou nous faisons la pause casse -croute face au Roc Blanc, Dent d’Orlu et Soulayrac.

En cours de repas, nous avons droit à 3 coups de tonnerre, mais ce n’est qu’un nuage de passage….

Le reste de la rando se déroulera en descente par des sentiers ombragés, et nous retrouvons les voitures à 17 h .

Au retour, arrêt rituel pour le verre de l’amitié.

Merci à Yves et Alain, pour cette belle sortie.

R. C.

Photos de Roger ici 

Photos de Patrick ici

samedi 14 mai 2022

2022-05-14 Assemblée Générale

Enfin, après deux années consécutives de Covid et de confinement et de distanciations sanitaires, nous avons pu tenir une assemblée générale. A la grande joie de tous les présents.

Car nous étions nombreux. Nous étions à plus de 59 adhérents (mon compte n’est probablement pas correct) et plusieurs époux et conjoints qui sont venus pour l’occasion.

Les Cabanes dans les Bois nous ont très bien accueillis. La salle était confortable, l’installation technique pour les micros, vidéos et son était excellente. Ils nous ont accueillis avec cafés, jus et viennoiseries de sorte que nous n’avions presque pas envie de commencer l’assemblée. Mais il le fallait bien. Après tout c’était l’excuse pour cette réunions festive.

L’Assemblée s’est bien tenue. D’ailleurs le compte rendu sera envoyé à tous les adhérents. Jacques a accueilli tout le monde avec un petit discours, Ginette a lu les rapports moral et d’activité qu’elle avait soigneusement préparés et Jean-Jacques a présenté le Bilan Financier. Après une courte discussion, ces rapports ont été acceptés à l’unanimité. John a présente les orientations pour l’année à venir ainsi que le projet de budget. Et eux aussi ont été acceptés. Le tiers du Conseil d’Administration a été renouvelé comme c’est précisé dans les statuts. Quelques minutes de discussion et Jacques a clôt l’Assemblée.

Puis le nouveau Conseil d’Administration s’est réuni et a élu en son sein président, vice-présidente, trésorier et secrétaire ainsi que les responsables des programmes et des adhésions. Sans surprise. Comme j’ai déjà dit, le Compte Rendu officiel suivra d’ici peu.

Puis nous avons projeté des films de nos efforts depuis l’AG précédente. Deux films de Jacques et ChristianR sur les voyages en Sicile et au Pays Basque, des montages de John sur l’année 2021, le séjour à la Jonte et les fêtes du mois de juin et un film de MichelV sur la balade patrimoine à Brousse.

Et voilà la partie officielle finie. Nous nous sommes retrouvés à l’air pour nous dégourdir les jambes, pour papoter, pour dire au revoir à ceux qui ne restaient pas manger avec nous et pour accueillir ceux qui nous avaient rejoints justement pour manger ! Et nous y étions à 69.

Et après une petite déambulation préprandiale, nous nous sommes retrouvés à l’intérieur, près du bar, où le personnel des Cabanes nous avait préparé une amuse-bouche / entrée délicieuse. Toutes sortes de petits mets que l’on prend avec les doigts et que l’on mange en une ou deux bouchées .Miam ! Et arrosés, bien sûr d’une blanquette, d’une blanquette Campari, jus de fruits – et sans doute autre chose mais moi, toujours sage, je me suis arrêté à la blanquette. Mais que j’ai dû essayer trois ou quatre fois pour vraiment apprécier combien il était bon ! Ah là, un contrôle de qualité continu c’est le devoir du Secrétaire du SEL !

Après nous être goinfrés ravis de toutes ces petites choses, nous sommes sorties sous les arbres pour la pièce de résistance : une souris d’agneau délicieux avec un petit rouge (je savais que c’était du rouge, c’était écrit en grand sur la bouteille – très pratique pour moi qui suis daltonien.)

Et puis il y avait du fromage. Et une tarte au citron. Et un petit café (ou deux).

Et tout était très bon.

Et après avoir encore bavardé pendant tout un temps, chacun est parti de son côté pour retrouver ses lares et ses pénates ou tout autre endroit finalement.

A l’année prochaine – on remet ça.


Un album de photos ici

Le Compte Rendu ici

jeudi 12 mai 2022

2022-05-12 Castans - Laviale

Est-ce que j’y allais, est-ce que je n’y allais pas. 400 mètres c’est trop pour moi, Je n’y vais pas .Mais c’est bon pour moi, la marche c’est la meilleure remède après une opération du dos, et c’était il y a quand même six semaines. J’y vais.

Non je n’y vais pas. Si j’y vais. M’enfin John tu es fou. Tu n’y vas pas.

Finalement j’y suis allé – et c’était formidable. (Et je n’étais pas fou)

Pour rassurer tout le monde, je vais très bien. La sciatique est partie et je n’ai plus d’effets de l’opération, si ce n’est un peu de fatigue et un manque de forme. 

Qui reviendra !

Nous étions dix sept en plein milieu de la Montagne Noire, à Laviale pour être précis. Laviale c’est un des cinq hameaux qui forment la commune de Castans. Wikipédia nous dit « La commune de Castans a été formée par des pasteurs qui ont élevé du bétail sur le point le plus haut de la Montagne Noire. »

Et il faisait beau. La matinée a été maussade et je craignais pour la rando, mais arrivé là-haut, c’était plein soleil. Du moins le soleil était au dessus des arbres, car nous avons passé un après-midi dans la forêt. Mais il éclairait cette forêt et ces arbres er ces sous-bois pour notre plaisir.

Claude et Monique nous ont menés par le Sentier des Ruisseaux, « sentier dédié à l’eau et qui franchit deux fois la rivière (La Clamoux), et flâne de ruisseau en ruisseau, de fontaine en fontaine. Sentier ombragé, qui serpente en forêt parmi les châtaigniers, les chênes et les hêtres. » Je me suis inspiré, non j’ai franchement copié dans la brochure "Balades & Randonnées en Haut Minervois" éditée par la Communauté de Communes du Haut-Minervois.

Et aujourd’hui nous avons de la chance avec ce temps. Il faisait magnifique. Le soleil éclairé les feuillages par derrière, un effet spectaculaire qui nous a accompagné tout au long de la balade. Toujours le même ce spectacle, mais toujours changeant car les positions des arbres sont différents, les feuilles, toujours ces verts clairs de la nouvelle feuillaison (peut-on dire cela ? Ou l’ai-je inventé par similitude avec floraison) qui laisser passer un peu de lumière feuille par feuille

Et les fleurs – Waouh. Décidément le mois de mai c’est le meilleur moment pourvoir les fleurs. Et bien sût le soleil après un peu de pluie les a encouragées. Nous avons vu par moments des pans entiers de Véroniques, des petites fleurs d’un bleu éclatant, qui massées formaient des tableaux incroyables. Et puis des Ancolies, aussi en grand nombre, presque toujours bleues foncées, mais de temps en temps bleu clair. Ces fleurs sont élégantes, uniques dans leurs formes. En Anglais elles s’appellent Colombines – et dans certaines régions de la France de même. Pour moi cela me fait penser à la Colombine de la comédie italienne, tour à tour la maîtresse et la femme d'Arlequin, ou de Pierrot, elle est toujours une soubrette vive, vêtue de blanc, coiffée d'un petit bonnet et portant le tablier vert qui la fait reconnaître. Et cette jolie fleur porte très bien son nom.

Et encore, des orchidées tout plein, rien de spéciale, mais jolie et les bien venues car elles étaient aussi partout. Et des Pâquerettes, quelques Pensées, des Boutons d’Or, des Pervenches, une ou deux Ficaires. Quand je suis rentré à la maison j’ai pris mon Flore et j’ai essayé de me rappeler celles que j’avais vues aujourd’hui. J’en ai trouvé trente-quatre et je donne la liste en fin de Compte Rendu. 

A un moment donné nous sommes passés à côté d’une campagne en ruines et j’ai demandé à Claude de quoi vivait les Castansois à l’époque et il m’a répondu qu’à l’époque il n’y avait pas d’arbre et de forêt. Toute la Montagne était dédié au pâturage d’animaux, avec quelques châtaigniers pour donner de la farine. Je savais que la première guerre mondiale a changé le visage de ce pays, car les hommes sont partis à la guerre, et beaucoup n’en sont pas revenus et ceux qui sont revenus souvent ne pouvait plus travailler les campagnes. Et aussi, par manque de main d’œuvre, on trouvait du travail plus facilement en ville. Une grande épisode d’exode rurale. Mais elle avait commencé bien avant en fait. En 1836 il y avait 846 Castansois, en 1911 404, en 1921 250 et en 2019 133.

Et nous voici à la fin de notre balade, ayant traversé Quintaine et Lafargue, deux autres des cinq communes de Castans. Et là, sur le perron de l’église, Monique et Claude nous ont servis des jus de fruits rafraîchissantes, des madeleines et du pain d’épice. Un régal.

Et moi, quoique fatigué, je pétais la forme! 

Merci Monique et Claude pour votre gentillesse et pour cette si belle rando.

Photos de Roger ici

Mes photos ici - mais de très mauvaise qualité car mon objectif était sale. Je ne l'avais pas vu à temps. Mais j'ai laissé un certain nombre de mes photos car cela peut quand même être intéressant


Les fleurs de ce jour - sous toute réserve d'erreur d'identification

Ancolie Commune
Anthrisque Sauvage
Benoite Commune
Bouton d'Or
Cardamine des Prés
Chou Potager
Euphorbe (général)
Ficaire
Fraisier Commun
Fumeterre Officinale
Gaillet Croisette
Genêt à Balai
Grande Mauve
Lotier Corniculé
Lysimaque Nummulaire
Minette
Orchis Mâle
Orchis Punaise
Orchis Verdâtre
Dame de Onze Heures
Ortie Jaune
Pâquerette
Pensée Sauvage
Petite Pervenche
Pissenlit
Raiponce en Épi
Eglantier
Silène Enflé
Stellaire Holostée
Trèfle des Prés
Trèfle Rampant
Valériane Officinale
Véronique Officinale
Vesce Cultivée

mardi 10 mai 2022

2022-05-10 Ax les Thermes

Nous sommes 13 pour une jolie rando, dans 8  jolis petits villages de la Vallée d’Ax les Thermes, sous la conduite de Roger et de Nicole …

Il est un peu plus de 9 heures lorsque nous commençons notre progression en traversant Albiès, passons l’imposante mairie du village, l’église, de nombreux lavoirs et fontaines. Nous quittons les rives de l’Ariège pour remonter le ruisseau de Caychax par une jolie sente bien ombragée.

Rapidement nous arrivons à ce village. Nous sommes maintenant sur les versants sud du Massif de la Tabe, des Monts d’Olmes et du Saint Barthélémy et, nous marchons vers le troisième village : Appy. Appy est un village bien connu des randonneurs. Du village ont peu accéder à l’étang du même nom, au Col de Girabal, au Saint Barthélémy et au Soularac. 

Il fait déjà très chaud, fort heureusement nous sommes souvent dans de jolis petits chemins bordés de fleurs, bien ombragés et qui longent des torrents de montagne. La vue en direction de l’Andorre sur les massifs enneigés est très belle. Nous apercevons dans les prés d’importants troupeaux de Blondes d’Aquitaine, d’ânes et de chevaux. 

Vers midi nous parvenons à Axiat. C’est sur le territoire de cette commune que se trouvent le Saint Barthélémy et le Soularac. Comme dans tous ces petits villages il y a une magnifique église romane classée. Après avoir traversé le ruisseau d’Axiat et avoir gravi une cote relativement dure, nous nous installons pour le repas de midi dans un près.

Une heure plus tard, nous reprenons notre cheminement en direction de Lordat. Arrivé sur la place du village 5 courageux montent au château tandis que les autres se reposent près d’une fontaine. Le château de Lordat était l’un des préférés de Gaston Phébus. Il était aussi l'un des plus anciens (IXe siècle) et des plus vastes châteaux féodaux du comté de Foix. Sur le site ont été découverts des artéfacts celtiques, ainsi que des médailles qui témoignent qu'un castellum était déjà installé sur le piton à l'époque romaine. A la fin du Moyen Âge, Lordat était un chef-lieu de châtellenie qui comprenait une douzaine de villages de la vallée. Dommage que Claudine Pailhès ne soit pas là pour nous conter son histoire…

Nous continuons notre route vers le village de Vernaux par une petite route goudronnée. Il fait maintenant très chaud et il n’y a pas beaucoup d’ombre. Au détour d’un lacet nous arrivons à l’eglise Sainte Marthe. Entourée du cimetière, c’est un petit édifice paroissial élevé par les Bénédictins de l'Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse. Elle a été construite au XIIe siècle avec du tuf, pierre tendre peu résistante au temps, qui lui donne cet aspect rongé de l'extérieur. C’est certainement la plus belle église de notre circuit.

Nous descendons vers la Vallée de l’Ariège. Sur notre gauche nous voyons le village de Luzenac et son usine de talc avant de rejoindre Garanou. Les mines de talc se situent sur quatre villages : Luzenac, Lordat, Vernaux et Bestiac. Puis, par un petit sentier à nouveau ombragé nous sommes rapidement à Urs  et enfin, au dernier village de notre périple en «Terre courage» : Vèbre. Arrivés sur le parvis de son église nous rencontrons le curé de la paroisse, qui se prépare pour célébrer une cérémonie d’obsèques dans le cimetière voisin. Pendant qu’il est au cimetière l’église étant ouverte et libre, il nous propose de la visiter.

Malgré  la chaleur nous continuons et après environs 1 km nous retrouvons les berges de l’Ariège et, vers 17h00 nos voitures. Nous quittons le village, sur la RN 20 il y a des gros travaux qui nous retardent un peu. Nous prenons le verre de l’amitié dans un bar de Tarascon sur Ariège.

Merci à Roger et à Nicole pour cette jolie sortie en terre ariègeoise.  

Compte Rendu de Jean-François

Les photos de Jean-François ici

Les photos de Jocelyne ici

Les photos de Roger ici

jeudi 5 mai 2022

2022-05-05 Escueillens - Lac de la Pène

Deux boucles, deux comptes rendus, le premier par John sur la première boucle, le deuxième par Jean-François, qui a aussi mené la rando,  sur les deux.

Ah ça me manquait les randos SEL. Mais me revoici -et très heureux que cette rando soit en deux boucles ce qui m’a permis de recommencer en douceur.

Je suis déjà venu par ici avec le SEL, en 2006 et encore en 2016, mais c’était chaque fois en automne. Cette fois c’est le printemps et les fleurs sont évidemment ravissantes ; J’ai donc retrouvés de bons amis non seulement parmi les adhérents du SEL mais aussi dans les champs et les bords de route : Véronique, Pâquerette, Bouton d’Or, Pervenche, Pisse-en-Lit (je l’écris comme cela parce que cela amuse au moins une randonneuse), une Céphalanthera, probablement à feuilles étroites mais peut-être pâle, en tout cas de la famille des Orchis qui elle-même est de la famille des Orchidées, des Lamiers Jaunes, qui ressemblent par leurs feuilles à des Orties piquantes, mais qui ne piquent pas (elles de sont même pas de la même famille !).

Les chemins par où nous a mené Jean-François étaient très bucoliques, très calmes. Des vues locales sur le lac d’où nous sommes parties, une ou deux campagne, le hameau de la Pène au loin et c’est tout.

Après la première partie de la rando, qui était en huit, à plusieurs nous nous sommes arrêtés. C’était prévu. J’aurais pu continuer, j’en avais fort envie, mais la prudence l’a emporté ;

Merci Jean-François pour cette rando très pastorale.

Ce jeudi, il faisait relativement beau, nous sommes mais nous seulement 17 «sélistes» pour une balade dans les sous bois, du coté du lac de la Pène …

Parmi les marcheurs du jour plusieurs «revenants» dont notre secrétaire John qui reprennent après des problèmes de santé. Quelques membres du S.E.L ont eu des difficultés pour trouver le joli petit lac de la Pène et, c’est avec un léger retard que nous avons commencé notre balade du jeudi. Ce lieu avait été choisi pour nous permettre de voir des anodontes, de grandes moules d’eau douce que l’on peu apercevoir sur ses berges. Cela n’a pas été possible car les eaux sont, aujourd’hui, trop hautes. 

Escueillens et Saint-Just de Bélengard est un coquet village du Bas-Razès. D’après certains étymologistes,  sa terminaison en ENS serait due à l’origine wisigothe du village. En effet, non loin de là, on peu apercevoir la ligne de crêtes qui de Fanjeaux à Mirepoix en passant par Hounoux était la frontière entre les royaumes franc (au nord) et wisigoth (au sud). Cette ligne de crêtes et aussi la ligne de partage des eaux emprunté par le GR 7. 

L’église de Saint-Just, son ancienne école et mairie, son cimetière sont à quelques hectomètres. Du hameau Bélengard  il ne reste que les ruines de quelques maisons au bord d’un sentier qui part de la Cloterie. 

Nous contournons les bords du Lac et par une petite route nous parvenons à l’ancienne école de Saint-Just puis par une petite sente nous arrivons à la route de Peyrefitte du Razès que nous quittons bientôt pour continuer dans de jolis sous bois en direction de la Pouillerie. Sur le sentier de nombreuses fleurs et notamment une orchidée rare la céphalanthèra longifolia qui vit souvent en osmose avec des champignons. La fédération Aude Claire a répertorié 80 variétés d’orchidées dans le département. 

Nous terminons notre première petite boucle au lac où s’arrêtent 6 d’entre nous. Puis à 11, nous longeons le Sou en direction de sa source, contournons avec quelques difficultés un champ de colza et parvenons sur la nouvelle Voie verte qui relie le Canal du Midi à Montségur. Nous l’empruntons pendant environs 1 km et, prés du village d’Escuiellens, nous bifurquons à droite par un sentier herbeux en direction de Bellegarde du Razès.

Il fait un peu frais et au loin du coté de Carcassonne, il semble que l’orage menace. Dans les près, il y a encore de nombreuse orchidées mais souvent elles sont déjà fanées.  Nous traversons le bois du Pech de Rieu, le point culminant de la rando à 360 mètres. Une descente au milieu des genêts, une dernière montée, dans la vallée c’est le lac. Nous sommes aux voitures un peu avant 17h00 après un circuit de 10 km et 170 mètres de dénivelé.  

Photos de John et d'Armand ici

Photos de Jean-François ici

dimanche 1 mai 2022

2022-05-01 Gaël - Limousis

Randonnée GAEL du 1er mai

Chaque ler mai, des membres du SEL se donnent rendez-vous devant la grotte de Limousis pour participer aux 2 traditionnelles randonnées GAEL. Cette année nous étions une douzaine des Sentiers au départ, sans compter ceux qui n’ayant pu être là ont apporté leur contribution. 

Menés comme d’habitude par Hubert S., nous parcourons un vaste espace tapissé de cystes aux fleurs roses, de bouquets de thym, lavande aspic et beaucoup d’autres plantes et fleurs méditerranéennes avant d’entamer une descente caillouteuse et de  franchir plusieurs fois des ruisseaux. C’est ensuite le retour vers Sallèles,  Marmorières puis l’arrivée devant la grotte.

Nous nous sommes ensuite retrouvés dans le foyer de Limousis pour l’incontournable et copieux apéritif. Rien ne manquait et surtout pas l’excellent pâté de sanglier dont nous nous sommes régalés. 

Un grand merci a tous les organisateurs, à Rose-Marie et Pierre âmes de l’association, à nos guides qui chaque année nous concoctent de nouveaux circuits et à tous les fidèles.

(Il semblerait que les randonnées aient regroupé environ 80 participants sans compter les  Cyclotouristes et tous ceux qui ont participé en distanciel).

Josy.

Photos d'Armand ici


2022-05-01 Rieunette

Nous étions 10 randonneurs au départ, prés de l’Abbaye Ste Marie de Rieunette.

Après la photo traditionnelle, nous voilà partis par une montée régulière vers le sentier de crête en direction de Ladern sur Lauquet. Ce sentier qui ne cesse de monter et descendre, nous fait découvrir une multitude de fleurs printanières que nous nous efforçons d’identifier. Sur le parcours, nous rencontrons un troupeau de chèvres qui viennent aussitôt vers nous en quête, peut-être, d’une friandise ?

Pour la pause casse-croûte, nous décidons de nous arrêter au bord du Lauquet à Greffeil.

Après la pause, nous visitons la jolie église de Greffeil, puis nous attaquons la montée soutenue qui nous permet d’accéder au col et à la piste qui nous ramène à l’ abbaye de Rieunette où nous faisons une halte pour visiter l’église, et pour certains, faire quelques achats à la boutique.

Retour par Saint-Hilaire pour le traditionnel pot de l’amitié.

Merci à Martine pour nous avoir guidé tout au long de cette belle journée.

R. C.

Les photos de Roger ici

Les photos de ChantalV ici

Les photos de Jocelyne ici