jeudi 31 octobre 2024

2024-10-31 Limoux

Jean-François (Jef) nous a mené à vingt cinq par un joli parcours au départ du stade de Limoux. Quoiqu’en octobre, presque novembre, il a fait doux, chaud même par moments. Et les couleurs d’automne, magnifiques ! Tout au long de la rando je regardais sans cesse les arbres et surtout les vignes parés de leurs rouges et orange de saison. Le soleil a aidé – car sous les rayons dorés les couleurs sont encore plus vifs. Un champ de vignes, toutes alignées ou une rangée d’arbre au bord de ce champ, ou le long d’une route – magnifiques.
Nous sommes passés par des petites route et des chemins dans ce paysage. Des montées, des descentes, et même des parties plates et horizontales. 
Quelle joie
Merci Jef. Encore une sortie très réussie.
John

Sous un joli soleil automnal le S.E.L en balade dans le vignoble limouxin …
Nous sommes 26 à nous réunir au petit parking à l’extrémité du stade de l’Aiguille pour une jolie sortie du jeudi. Nous sommes au pied de la Caristie, une cote mythique pour  les gamins qui à 10/12 commencent à faire du vélo, c’est l’Alpes d’Huez.  
Nous passons prés du centre Bel air, la marche commence par une longue côte d’environs 2,500 km. Il fait très chaud pour la saison prés de 23 degrés, pour certains c’est relativement difficile. Par un joli chemin de crêtes qui domine la route d’Alaigne nous atteignons le point le plus haut de la balade à 283 mètres.  
De la vue est très belle sur le vignoble,  les villages de Malras et de Pauligne, le Pic de Brau mais il y a une légère brume sur les Pyrénées. Nous sommes au cœur du Cru Blanquette de Limoux. 
Après avoir traversé le hameau de Villedieu nous longeons pendant environs 1,500 km le ruisseau du Verdeau qui est toujours à sec. Une nouvelle petite montée avant d’atteindre le coquet village de Gaja où nous faisons une longue pause.
Il faut remonter par un chemin de vigne qui longe la D 623 en direction du sommet de la Caristie. Sur notre gauche nous avons un bois au joli nom de Garde Miel qui mérite d’être visité une prochaine fois …
Par de petits chemins parfois par les rangées de vignes nous voici prés du Domaine de Bourigeols. Une dernière pause et par Bel Air nous arrivons à nos voitures vers 17h15. 
Une jolie balade qui en appellent  d’autres du coté de Lauraguel et de Pieusse.
Jef


Photos de Jef
Photos de John

dimanche 27 octobre 2024

2024-10-27 Pradelles

En remplacement de La Caunette pour cause de mauvaise météo, et sur l’initiative de Yves, nous nous retrouvons 4 au départ du Lac de Pradelles-Cabardès.

Un voile de brume surplombe le Pic de Nore, but de notre rando, mais notre détermination reste intacte.

Après avoir longé le lac et traversé le village, nous attaquons la rude montée par le G.R. 36, passons par la Roque d’Astié et arrivons au Pic de Nore que nous apercevons par intermittence. Le vent marin amenant et repoussant les vagues de brume.

Nous reprenons notre chemin en direction du Portail de Nore pour bifurquer vers l’ouest par un sentier que nous connaissions bien, mais qui est devenu impraticable suite à la pose d’une clôture électrifiée qui nous a obligé à galérer dans la bruyère et les fougères. Comme il en faut un peu plus pour nous décourager, nous ne tardons pas à retrouver le bon sentier qui nous amène vers midi trente à un bon emplacement pour pique-niquer. Entre temps la brume s’est dispersée et c’est sous un soleil radieux que chacun de nous trouve sa place sur des souches d’arbre servant de siège.

13 h 30, nous reprenons la rando en direction du Roc de Nouret que nous atteignons, après une bonne montée, et être passés voir le menhir. Sur ce rocher, la vue à 360° est superbe.

A partir de là, il ne reste plus que de la descente en direction du Hameau des Jouys, et retour vers le lac et les voitures.

Conclusion : une excellente journée aux belles couleurs automnales. Merci à Yves.

Roger.

Photos de Roger 

jeudi 24 octobre 2024

2024-10-24 Conques

Jeudi 24 Octobre, ce sont 25 randonneuses et randonneurs qui se retrouvent sur les hauteurs de Conques pour faire un joli circuit sur le site des Capitelles.
Il fait beau, et le sentier parmi les pins, les cèdres et la garrigue parfumée, nous offre de beaux points de vue sur la plaine de l’Aude, les Pyrénées, et la Montagne Noire.
Nous cheminons d’une capitelle à l’autre par d’agréables sentiers ainsi que par une draille délimitée par des murs en pierres sèches.
17 heures, nous retrouvons les voitures après avoir longé la ferme photovoltaïque.
Merci à Guy de nous avoir guidé sur ce site toujours intéressant à parcourir.
Roger.

Donc, Conques sur Orbiel serait la capitale des Capitelles ?
Quelle jolie promenade sous un soleil presque radieux ravivant les locales couleurs automnales.
Vu le nombre de capitelles sur ce territoire, l’activité de l’époque devait être tout aussi conséquente.
Voilà un petit historique trouvé sur le site de Conques :
Après l'avènement de la Deuxième République en 1848, chacun rêvait de devenir propriétaire et les plus pauvres ne possédant rien s'attaquèrent au défrichage de la garrigue autour du village pour y planter la seule culture qui pouvait pousser dans ces terres arides : la vigne. Mais avant de planter il fallait épierrer, car au fur et à mesure que l'on labourait la terre, les pierres calcaires " montaient " à la surface et toute la famille déposait ces cailloux aux limites des parcelles.

Les paysans travaillaient des terres qui continuaient à appartenir à la commune mais des baux emphytéotiques leurs permettaient de jouir des récoltes. Ainsi ces paysans augmentaient leurs revenus en cultivant la vigne en plus de leur travail de salariés agricoles et ceci dura jusqu'à la Première Guerre Mondiale où, d'une part le phylloxéra détruisit la vigne française et d'autre part les hommes n'étaient plus là pour replanter et travailler ces parcelles.
Alors la commune reprit possession de ce qui devenait des friches et les cabanes et les murailles construites pendant de longues années devenaient ruines.

En septembre 1995 le Foyer Laïque de Conques sensible aux problèmes de l'environnement et de la protection de la garrigue s'est ému de voir disparaître un patrimoine construit par nos arrière-grands-parents au siècle dernier.

C'est donc une trentaine de personnes adhérentes du Foyer Laïque, bénévoles, qui se retrouvent une demi-journée par semaine autour des cabanes, ou Capitelles (nom que l'on retrouve le plus souvent dans le Gard).
Le but du Foyer Laïque n'est pas de restaurer toutes les Capitelles ou murailles car la garrigue Conquoise compte près d'une centaine de cabanes et des kilomètres de murailles, mais de faire connaître à tous ceux qui aiment la garrigue et qui s'inquiètent de sa dégradation, que l'existence de ces constructions dites " mineures " cache un phénomène social qui marque l'histoire rurale de la garrigue du siècle dernier à nos jours.
Christophe

Photos de Roger

Photos de Christophe

dimanche 20 octobre 2024

2024-10-20 Villeneuve le Comtal

Aujourd’hui, nous ne sommes que 8 randonneurs pour cette sortie aux collines du vent, au départ du village de Villeneuve la Comptal.

Nous démarrons en direction du Site Clément Ader par un sentier en balcon qui nous réserve de belles vues sur le village, la plaine du Lauragais et la Montagne Noire au loin. C’est sur ce site que Clément Ader faisait des études de soufflerie pour son futur avion. Après le tour d’horizon, nous reprenons notre chemin en direction de la tour de télécom que nous apercevons de temps à autre dans le lointain.

A midi, nous nous installons sur un petit sommet pour le casse-croute, avec en perspective la chaine des Pyrénées, en partie enneigée. Il fait chaud… et pas la moindre petite bise pour rafraichir l’atmosphère. Après une petite sieste pour certains, il est temps de repartir.

C’est par un sentier en dent de scie, de colline en colline, avec de splendides vues de part et d’autre, que nous atteignons le moulin à vent et le village, où nous retrouvons les voitures.

Contents de cette belle journée, nous la terminerons à Castelnaudary, pour le traditionnel pot de l’amitié.

Roger.


Photos de Roger 

dimanche 13 octobre 2024

2024-10-13 Le Soulié

Belle journée automnau-printanière, radieuse et riche en couleur pour parcourir ce bien agréable circuit divertissement varié. En mode touriste, c’a fait du bien de temps en temps.
Du Le Soulié nous l’empruntons en sens inverse dans le but d’être au bon endroit à la bonne heure pour la grande pause, là où j’ai pu siester après mon succulent repas. Finalement je ne me suis pas endormi, je me laissai bercer par le murmure du ruissellement de l’Arn enjambé par une très, très bonne planque.
« Planca » en occitan veut dire passerelle sur un ruisseau (normalement en bois selon son étymologie).
Mais ces ponts en dalles de pierre seraient d’origine préhistorique, les agrafes métalliques de leur maintien datent du XX siècle.
On en dénombre 7, La Roque, La Blanque, La fajole, La Moulière, Le Moulin de Vergougnac, La Mielouane et Le Moulinet celle que nous avons conseillée à des Parisiens en recherche d’un point d’eau pour y faire trempette. Ils sont fadas ces Parisiens et je sais de quoi je parle.
Sortis de Le Soulié, direction nord, on passe Combe puis à Pagnérié. Là plein est sur la piste qui mène au col de la Baraque (sans frite) que nous quittons juste avant par le sentier sud nous menant à Caudezaure puis Camiffarat et Le Moulinet (là où nous croisons notre groupe de très sympathiques Parisiens).
Nous suivons le circuit des planques, La Blanque, La Fajole et partiellement interrompu par le sentier des menhirs qui se termine à Ginestous.
Avant de rejoindre le Soulié Bas, nous traversons, toujours l’Arn, par la planque de La Moulière et rejoignons Le Soulié par le chemin de croix qui le surplomb en sa partie ouest.
Ce tout juste 18 kms avec ce tout juste 400m de dénivelé a été fort apprécié de toutes et tous, il suffit de voir vos sourires pour le confirmer.
J’ai eu juste un élément perturbateur néanmoins perturbaté, pas la peine d’en rajouter il se reconnaîtra aisément.
Ah si, il y a eu un autre élément perturbant voire effrayant, ce serait une vipère aspic croisée sur notre chemin.
Votre bien dévoué meneur.
Christophe

Photos de Roger, de Christophe et de Jocelyne

jeudi 10 octobre 2024

2024-10-10 Hounoux

C’est dans les collines vallonnées du Bas Razès dans les environs du petit village d’Hounoux que Jocelyne nous a faire une jolie balade.
Nous sommes, ce jeudi, 27 «sélistes» dont 3 nouveaux à commencer notre rando du jeudi sur une partie des GR 7 et GR 78 direction plein sud. Le départ à leu au pied du château d’eau du village magnifiquement ornée d’une très belle fresque.
Depuis plusieurs mois, Jocelyne a un coup de cœur pour ce village qui est traversé par 4 chemins de randonnées particulièrement bien balisés et entretenus. Celui que nous empruntons, nous conte l’histoire d’une petite goute d’eau qui peux aller soit vers la Méditerranée, soit vers l’Atlantique. Le village se trouve sur la ligne de partage des eaux. Gilles Tanneau, ancien maire d’Hounoux a été pendant plusieurs années le président du Comité de l’Aude de randonnées pédestres.
Au Moyen-âge, Hounoux était une seigneurie dépendant de la châtellenie de Montréal. En 1213, Pierre et Guillaume d'Honoso furent nommés seigneurs du domaine et lui donnèrent leur nom. Sa situation géographique dominante sur le Razès fit d'Hounoux un point stratégique.  
Véritable belvédère naturel sur les paysages de l'Aude, Hounoux offre aux randonneurs naturalistes toute la diversité de sa faune et de sa flore. A l'Ouest, les prairies de la Piège sont riches de nombreuses espèces d'orchidées et de fleurs variées. A l'Est, les falaises sableuses du village accueillent chaque été la nidification du guêpier d'Europe. Tout autour du village se trouve également  des sites intéressants concernant la géologie des lieux. 
Nous progressons sur une partie du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle, gravissons une pente dans les bois pour aboutir sue une plate forme d’où la vue est magnifique sur la Vallée du Sou, la Malepère, les Corbières et le Canigou et les majestueux Monts d’Olmes. C’est à l’occasion d’une pause.
Après quelques centaines de mètres nous parvenons à une petite bute qui nous permet d’admirer à nouveau le paysage mais le ciel est relativement couvert et nous nous pouvons apercevoir le pog de Montségur et le clocher de l’église Saint Maurice de Mirepoix. 
Un sentier sur les crêtes, un chemin caillouteux une partie de la route qui conduit à Orsans et celle qui conduit au lieu dit Ginestas, nous sommes à 2 km du village. Nous traversons le petit ruisseau de la Vixiège qui est à sec. Les eaux de ce ruisseau via l’Hers, l’Ariège et la Garonne arrivent jusqu’à l’atlantique. 
Dans les années 50/60 la Vixiège donnait son nom à un grand Moto Cross international, très renommé, qui se déroulait à Ribouisse (un tout petit village de quelques dizaines d’habitants). 
Un peu avant 17h00, nous rentrons dans le village nous passons devant une belle croix de pierre qui mériterait d’être nettoyée et restaurée.
Merci à Jocelyne pour cette agréable balade et peut être à bientôt pour d’autres sorties dans ces paysages du Bas Razès que tu aime beaucoup. 
Jef 

Pendant la rando, il y a eu une grande discussion autour d'un lieu-dit Cammas (ou Campmas, je ne sais plus).
Campmas ou capmas ou cammas vient du latin caput mansi, soit "exploitation principale". C'était à l'origine la portion centrale d'une exploitation, la plus rapprochée de la résidence ou la portion que s'était réservée le maître du sol. Ce terme est surtout utilisé dans le Lauragais et le Razès.
CludineP

Trois nouvelles personnes sont venues essayer le SEL. Nous espérons qu'ils resteront avec nous et nous leur souhaitons la bienvenue.
John

Photos de John
Photos de Jeff

dimanche 6 octobre 2024

2024-10-06 Fontfroide

Ce matin, nous sommes dix sept courageux à braver le crachin au parking  de l'Abbaye de Fontfroide. Jean, le spécialiste des Corbières, va nous mener à la redécouverte ou découverte pour certains du Massif de Fontfroide.

Nous empruntons une longue piste qui passe dans une superbe pinède de pins pour arriver jusqu'aux ruines de la Bergerie de l'Aragnon. Nous somme curieux de voir encore un bâtiment entretenu avec son toit. Après cette petite pause, nous reprenons la piste où tout à coup! nous avons la surprise de voir une laie et ses marcassins sortir du bois.

Nous quittons la piste pour grimper sur la colline pour pique niquer. C'est  un bel endroit, où malgré la brume, nous contemplons le littoral audois, l'étang de Bages, le massif des Corbières et le Minervois. Après cette courte pause, car l'humidité s'installe, Jean veut nous montrer le cimetière des voitures avec un ancien four à chaux  très bien retapé. Certains s'amusent à se photographier à l'intérieur.

Nous descendons vers la Combe Saint Jean où la ferme est encore en activité. Nous passons devant une ancienne éolienne toute rouillée et continuons sur la piste à nouveau, au détour d'un virage, va apparaître la Croix de Fontfroide qui surplombe l'Abbaye.

A l’intersection des chemins, certaines nous lâchent pour aller voir les ânes et nous, nous empruntons le sentier assez large qui monte à la Croix, sans difficulté quoique un peu chaotique. Au sommet, la vue à 360 degré est époustouflante! Nous dominons la plaine du Minervois jusqu'au contrefort de la Montagne Noire, le Massif des Corbières et toute l'architecture de l'Abbaye avec sa cour, son église et son jardin.

Un petit sentier nous mène tout droit à l'Abbaye où aujourd'hui il y a une exposition d'orchidées. Beaucoup d'acheteurs sortent avec des plantes et des fleurs de toutes les variétés.

L’Abbaye fondée en 1903, miraculeusement préservée, a conservé son église abbatiale, son cloître, sa salle capitulaire du XIIème siècle. On peut y  flâner entre la roseraie et les jardins.

Nous terminons la journée au restaurant-bar. A côté il y a le caveau de dégustation des vins.

Merci Jean pour cette belle randonnée. Malgré le temps couvert, le charme de Fontfroide fait toujours son effet. Pas de variante aujourd'hui, le dénivelé est d'un peu moins de 500m et nous avons parcouru 18km.

Cathy

Photos de Roger et d'Alain

samedi 5 octobre 2024

2024-09-24 - 10-05 Voyage Sri Lanka

Programme du voyage où toutefois les dates sont à changer pour un départ le 24 septembre.
Photos prises par les participants
Photos prises par Jef: J1 J2 J3 J4 J5 J6 J7 J8 J9 J10 J11 
Photos prises par ClaudineP
Sur PC, en cliquant sur le petit i - pour information - de la photo, on peut voir une petite description de celle-ci. 
Sur un smartphone, on peut faire glisser la photo ver sle haut pour voir cette information.

Jour 0 : voyage au long cours
Arrivée confortable à Blagnac vers 13h00. Après enregistrement, Gerald s’inquiétait déjà d’avoir perdu Jean Marie de vue. En fait, celui-ci nous attendait face à la porte d’embarquement ! De toute façon, on avait largement le temps car, bien qu’embarques à l’heure, nous avons patienté 1h30 avant de décoller, la tour de contrôle ayant perdu la liaison avec la flotte d’avions en instance de départ. Nous avons donc décollé à 18h00 au lieu de 16h25 pour Doha dans un A330 très moyennement garni. Grosse inquiétude pour Gérald car nous avions 1h30 d’escale à Doha. Les collations offertes par Quatar Airways étaient généreuses et bonnes.

À Doha, notre avion s’était bien sûr envolé, confirmant ainsi nos craintes. Mais bonne surprise, 😄, nous étions attendus au débarquement avec de nouvelles cartes pour un vol à 2h55 pour Colombo avec Oman Air sur un Airbus A330. Il ne fallait pas s’amuser sur le tarmak ni dans l’aéroport vu la dimension gigantesque de celui-ci. Arrivée à Colombo à 6h45 heure française, soit 10h15 heure locale.
Après les formalités de visa, bagages, nous sommes accueillis par notre guide Sanjaya, tout de suite adopte par les dames. Ses aides sont Pradeep au volant et Ishan aux bagages.
Nous prenons le bus pour Sigiriya avec un trajet de 3h30.
Michel

Jour 1 de l'aéroport de Colombo à l'hôtel Oak Ray Eléphant Lake
Je prends le relais de MICHEL car il s’est assoupi dans le bus ( j’ai des preuves que je mettrais sur le groupe WhatsApp !!!)
Nous avons la clim dans le bus, et pour les accro aux réseaux, nous avons la wi-fi  !!!! 
Que de palmeraies tout au long de notre trajet , vraiment magnifique.
Découverte de la conduite durant notre trajet, ça passe tout juste !! 
Repas par buffet : on découvre les épices, le café et pour certains la glace ( test des résistances de la flore intestinale !!!)
Poursuite en bus pour nous rendre à l’hôtel  ou finalement beaucoup on fermé l’œil !!!!
Accueil à l’hôtel avec un petit cocktail de bienvenue et direction la piscine.
Les chambres sont très spacieuses et confortables
Apéro et dîner ce soir impeccable 
Voilà une longue et belle journée de passée 
Au lit !
En résumé : ON EST BIEN !
Karine

J2 découverte de la Forteresse au lion, puis visite du site de Polonnartuwa en tuk tuk.
Après un copieux petit déjeuner (produits locaux, thé, café en poudre) nous visitons le site de Sigiriya.
Forteresse, classée UNESCO, elle abrite 2 résidences royales : une dans la plaine, la seconde sur le rocher du Lion. Trônes, piscines, bâtiments en double.
Nous cheminons tout au long des ruines avant de trouver les marches jusqu’au sommet. Claudine nous laisse à mi-pente. Ses genoux l’empêchent de nous suivre. Nous trouvons une esplanade où nous attendent les pattes du Lion. Nous continuons jusqu’au sommet. Panoramas a 360 sur la jungle, les lacs artificiels et les montagnes.
Nicolas, Séverine, Karine et Christophe nous rejoignent. Ensemble, nous voyons la résidence royale du haut. Dans la descente, les fresques sur le rocher sont accessibles par des escaliers en colimaçon. Femmes nues au buste généreux, taille fine, bassin large ornent les murs.
Au bus, les marchands de pacotille nous harcèlent un peu 
Repas chez l’habitant : 32 plats différents ( riz, légumes, poisson, poulet, ragoût de porc) fruits, pâtisseries et fromage blanc au miel de palme remplissent notre estomac.
La visite des temples de Polonnaruwa sera rude par 35 degrés 
Nous commençons par le musée archéologique pour nous donner une idée du site :  temples reconstitués, écriture sri lankaise et tamoul, statues hindoues et bouddhistes 
Avec des touctoucs, nous nous rendons sur le site voir les ruines des temples, vu précédemment. En chaussettes, tête nue, nous entrons à l’intérieur des sanctuaires. Claudine, épuisée par la chaleur, revient au bus.
Nous continuons par l’hôpital des moines. Nicole essaie le sarcophage des rhumatisants, oints d’huiles médicinales. Nous terminons notre visite par les Bouddha gigantesques, en méditation, couché, assis.
L’imprudence de Nicole en shiva devant les statues sacrées lui ont valu un sermon du garde. Elle a évité une amende salée.
La journée était enrichissante en découvertes historiques, espaces naturels et animales. Les singes ont permis des belles photos attendrissantes.
Marie-Helene

J3 découverte ddes Site Dambulla et du marché
Aujourd'hui  ça a super bien commencé avec la recontre fortuite avec un éléphant ( sans defense, remarquez bien,) qui prenait son petit breakfast sur le bord de la route avant de retourner dans la forêt. Le temple rupestre de Dambulla nous a dévoilé ses merveilles: une multitude de bouches debout ou couches répartis sans 5 grottes entièrement et magnifiquement décorées. 
Nous y avons aussi découvert le ficus religiosa, arbre sacré  plusieurs fois centenaire. C est alors que l En suivant une pente douce jalonnée de marchants de fruits , le Temple d'or surmonté de son enorme Boudha, cadeau du Japon paraît-il à surgi à nos yeux. Le contraste bruissant, coloré et odorant du marché a ensuite été d' autant plus saisissant.
Sans oublier de vous parler de l attaque des macaques à la sortie du temple Dambulla  et Nico s'est fait voler son casse-croûte !
Notre super Singeya nous a amenés sur le site de Medirigiriya quand un déluge inattendu s'est abattu sur nous . La visite fut d 'autant plus abrégée qu'un délicieux  massage ayurvédique attendait les plus audacieux.  Et encore une surprise nous attendait au restaurant de l hôtel  avec musiciens et gâteau de fête.  Quelle journée.
Nicole 

J4 le matin balade en pirogue et rencontres locales, déjeuner chez l'habitant, puis route vers Kandy et visite du Temple de la Dent
La journée  commence en pirogue sur un petit lac couvert de nénuphars  aux larges feuilles et aux grandes fleurs roses et mauves qui se dressent au-dessus de l'eau et accompagnés d'un  tapis flottant de petites étoiles blanches. Les oiseaux sont là par centaines, des cormorans qui étendent leurs ailes au soleil, des aigrettes, des pélicans, des ibis au grand bec noir et tous se dédoublent, comme d'ailleurs les nuages, par leur reflet dans l'eau. Le soleil tape fort mais nos pagayeurs vont cueillir de les feuilles de nénuphars dont ils font un chapeau pour chacun de nous, surmonté d'une belle fleur. Quelle belle allure nous avons ! Certains trouvent que cela fait militaire, moi je pense à  Robin des Bois. En tout cas, c'est plus efficace que nos vulgaires chapeaux de Décathlon et nous n'avons plus chaud à  la tête.
Puis ce sont des chars à  banc décorés  de fleurs et tractés par des tracteurs, un cheminement dans les rizières,  un nouveau et succulent repas en pleine campagne, avec démonstration de cuisine, de préparation  de noix de coco et de riz brun au son des "léon, léon" des paons locaux et sous le regard étonné des caméléons multicolores.
Après  une longue route, nous voici dans la végétation luxuriante qui annonce Kandy.
Là,  nous changeons de registre.Temple de la Dent de Bouddha que nous visitons au milieu de la foule des pèlerins ; l'atmosphère  est très prenante, le décor somptueux, plein  d'ors et de couleurs, d'offrandes de fleurs, de bougies... un grand moment malgré  la pluie qui fait des apparitions.
La journée  est-elle finie ? Que non ! A l'hôtel, après  un buffet toujours remarquable, voici des musiciens chanteurs et c'est Claudine B. qui entraîne  notre guide dans des danses éblouissantes que seule interrompt la pensée que demain il faut se lever aux aurores pour notre première  randonnée.
ClaudineP

J5 journée de randonnée dans l'environnement unique de Knuckles range et visite du jardin botanique de Peradenya
La journée commence très tôt pour un dimanche, après un copieux petit déjeuner. Après avoir mieux découvert l’hôtel Oak Ray Regency de Kandy où nous sommes logés pour 2 jours, nous prenons a 7h15 la route pour une demi-journée de randonnée dans les Knuckels Range. Non sans regretter de ne pas visiter la taillerie de pierres précieuses située en face de notre hôtel.

Après 20 mn de route nous sommes à pied d’œuvre dans les premières plantations de thé. Nous sommes accueillis par 3 guides qui nous présentent la randonnée et nous munissent de chaussettes de protection jusqu’aux genoux contre les sangsues.
Les Knuckels Range sont une chaîne de montagne au patrimoine exceptionnel et une biodiversité extraordinaire avec des espèces endémiques rares.
Nous cheminons toute la matinée sur des sentiers relativement  faciles au milieu des plantations de thé installées sous un couvert boisé d’acacias divers, de tulipiers du Gabon (en fleurs en cette période). Un accompagnement d’arbustes divers tels que caféiers, manguiers, goiaviers agrémente ce bel ensemble. Nos guides prennent soin de nous avec des boissons et biscuits. Nous atteignons la côte 1 070 m sous une température de 28 degrés, avec une vue magnifique et des explications intéressantes de nos guides sur la culture du thé, sa préparation, ses mélanges, ses variétés de thé  vert ou blanc….
Notre accoutrement avec les bas qui nous avait amusé au départ s’est avéré nécessaire et même insuffisant. En effet, Michel , Christophe, Marie Hélène, Maïté et Jean Marie ont fait don de leur sang à ces parasites bien intrépides pour atteindre les jambes et bras des randonneurs.
Le repas de midi , très épicé, est partagé dans une paillote de paysan.
Au final, une belle rando de 13 km et de 500 m de dénivelé, à la portée de Selistes entraînés !

En milieu d’après midi, nous visitons le jardin botanique royal de Peradeniya. Ici, le qualificatif de majestueux n’est pas usurpé, notamment pour les arbres centenaires. Après une magnifique collection d’orchidées, nous déambulons dans les allées de ce parc de 70 ha très bien entretenu pour admirer les espèces endémiques du Sri Lanka et des arbres tout aussi remarquables venus d’autres contrées : coco fesses ou coco de mer des Seychelles, bambous énormes, Ravenale ou arbre du voyageur de Madagascar, Tulipiers du Congo, Lagerstromia ….
Des centaines de macaques et oiseaux divers nous accompagnent tout au long de la visite qui se termine vers 17h.
Jean François 

J6 voyage en train en direction de Nuwara Elya puis visite d'une plantation de thé.
Nous quittons KANDY rejoindre la gare de Péradényia direction les plantations de thé sur les hauts plateaux.
Trajet de 4h et 80 km dans un très confortable train climatisé.
Des vendeurs de boissons, fruits, samosas et autres denrées vont et viennent. Échanges très sympathiques avec un groupe de chinoises.
Nous sommes en admiration devant une succession de vallons et collines verdoyantes, de champs de thés, profusion d’arbres majestueux, fleurs exotiques, hameaux et villages blottis au creux de cette végétation luxuriante et pittoresque.
Tout à coup un déluge s’abat sur le train avec un brouillard à couper au couteau, un véritable fog anglais. 
A notre arrivée à NANUOYA nous sommes accueilli par un soleil radieux, avec certes un certain retard du à des arrêts en rase campagne pour permettre les changements d’aiguillage.
Nous partons pour la visite d’une plantation de thé et son processus de transformation très complexe en fonction des qualités et variétés souhaitées,  noir, vert, blanc...
Une dégustation nous est proposée avant d’effectuer des achats à la boutique 
Ce fut une nouvelle très belle journée très enrichissante
A demain pour de nouvelles découvertes.
ClaudineB

J7 visite et achat à Ella
Notre périple continue par une randonnée matinale dans les Plaines de Horton. Nous quittons l'hôtel a 5 h 30 sans prendre le petit déjeuner et montons par petits groupes un peu endormis dans trois minibus. Arrivés sur site, nous mangeons notre repas en présence de corbeaux qui attendent leur pitance !
Sur les recommandations de notre guide, nous nous débarrassons de tout plastique qui est interdit et passons au contrôle de nos sacs à dos par les gardes du Parc.
Nous pénétrons enfin dans la réserve naturelle située sur un plateau entre 2000 et 2300 m d'altitude. Le paysage est constitué de plaines vallonnées, de forêts tropicales humides. Les nombreux rhododendrons et les fougères arborescentes nous donnent l'impression d'être dans la savane africaine !
Arrivés à la fin soudaine du plateau avec un à pic impressionnant masqué par le brouillard nous ne distinguons pas la plaine à plus de 800 mètres en contre bas ! Nous immortalisons notre passage devant une pierre marquée de l'inscription "World's end".
Au cours de la randonnée les espèces endémiques de plantes et d'animaux du parc ainsi que la cascade de Baker nous ont émerveillés ainsi que le singe Bear monkey entre aperçu. 
Nous rejoignons nos véhicules qui nous conduisent vers notre hôtel où nous attend un savoureux déjeuner élaboré avec les légumes de la région. Nous avons pu admirer les nombreux jardins potagers en terrasse tout le long de la route. Notre journée se termine par une visite de la poste de la ville de villégiature Nurawa Eliya et du marché couvert où les étals de fruits et de poissons ont ravis nos yeux et notre odorat !
 Nous regagnons notre bus en direction de Ella , notre prochaine étape.
Je profite de l'occasion pour vous  remercier tous de m'avoir intégrée dans votre groupe très sympathique.
Maïté 

J8 randonnée à UDA Diyaluma, découverte du pont des Nine arches et des cascades de Ravana et achats à Ella
Nous quittons notre hôtel Morning Dew Hôtel de Ella, bien plus tard que la veille, à 8h15, pour une randonnée dans le parc naturel de Uda Dyaluma. Le trajet d’approche de près de 2h a paru bien long pour la plupart d’entre nous.
Pour cette petite rando, nous sommes accompagnés par un guide dénommé Hafeel. Le but de cette randonnée est une cascade, la 2eme plus grande du pays selon les guides touristiques. Nous découvrons une succession de chutes et vasques où les baigneurs sont nombreux. La plupart d’entre nous, pas forcément les plus courageux, mais sans doute les plus turbulents, se baignent dans la plus belle des vasques, faisant fuir les autres randonneurs à force de bruit et de jet d’eau. Les plus anciens, comme Nicole ou Claudine B, ne sont pas en reste: Nicole aurait pu perdre ses lunettes sous la chute, Claudine, faute de chaussures de bain, a dû se faire treuiller pour sortir de la vasque ….
Nous terminons cette rando par un excellent repas local dans une paillote.
Nous reprenons la route pour Ella avec un arrêt aux chutes de Ravana, connues pour être les plus grandes du pays.
Puis notre périple nous conduit au Nine Archies Bridge, viaduc courbe de 24 m de hauteur, 98 m de long et 8 m de largeur. C’est un reste de la période coloniale anglaise du début du 20 eme siècle. Mais rien d’extraordinaire pour un des emblèmes touristiques du Sri Lanka.
Notre journée se termine par une bonne heure de shopping dans les rues d’Ella pour chiner cadeaux et cartes postales.
Michel 

J9 en route vers le sud de l'île pour terminer ce séjour en beauté au bortd d'une plage sublime à Mirissa
Aujourd'hui,  4 heures de route pour atteindre la mer. Ennuyeux ? Mais non, il suffit de regarder.
Nous partons à  travers les montagnes,  à  flanc de fortes pentes que dévalent les forêts. Nous repassons devant les chutes de Rawana. Il y a toujours des de chiens couchés le long de la route, mais pas de singes; ils doivent digérer ce que les touristes leur ont donné  hier ou qu'ils ont volé...
La forêt encore et toujours, un océan vert d’où émergent de temps en temps les fleurs dorées  des acacias ou celles flamboyantes des tulipiers.
Enfin le bas pays. La route est jalonnée de maisons, parfois regroupées en villages, parfois isolées. Leurs façades déclinent tous les tons du bleu au vert en passant par tous les turquoises, les tons du rose au mauve en passant par tous les roses indiens, et parfois du blanc. Elles sont entourées de jardins, elles sont toutes ombragées par des cocotiers, des manguiers, des bananiers et autres arbres fruitiers.
Des étals de fruits se succèdent et aussi d'autres  boutiques multi... multi tout. Et puis des écoles aux murs peints de personnages de livres d'enfant ou d'autres où  l'on voit les élèves studieux sur leurs bancs, tout de blanc vêtus.  De temps à autre un stupa tout blanc dans l'enceinte d'un petit temple.
Nous changeons d'horizon en prenant  l'autoroute.  Triste, l'autoroute ? Eh bien non. Nous fonçons au milieu des alignements de cocotiers surplombant les plantations de bananiers et des arbres qui portent la meilleure cannelle du monde. Des vaches de temps en temps, des paysans aux champs,des rizières, certaines asséchées, d'autres  inondées, des maisons noyées dans cet océan végétal.
Nous arrivons ensuite dans la ville de Matara, la grande ville avec ses magasins de luxe, ses chaînes internationales,  des temples, des immeubles officiels, un grand marché,  des boutiques de toutes sortes, du bocal de poissons rouges aux statues de Buddha de toutes tailles et de toutes couleurs, et les fortifications du temps des Portugais.
Nous sortons de la ville,  nous allons manger. Nous passons une petite  porte, et là...
Pauvres compagnons du SEL, si vous êtes fragiles du côté émotion, ne lisez pas la suite !
Passée la porte, c'est l'océan,  splendide (il fait très  beau) et sauvage avec ses vagues qui forment une rumeur immense,  des cocotiers, du sable fin, à  gauche une petite île couverte d'une végétation compacte, à  droite une anse verdoyante. Le paradis, quoi. Ajoutons une noix de coco et une paille, de quoi perdre la tête.
Après  un excellent repas, nous arrivons à l'hôtel.  Même paysage, des chambres en rez-de-chaussée qui donnent sur la piscine et sur l'océan,  une baignade dans des vagues immenses et rugissantes et une sieste sous les cocotiers.
De la montagne à  l'océan, nous avons eu en quelques heures un condensé  du Sri Lanka. Et maintenant,  dodo, bercés par le bruit de la mer, toujours recommencée.
ClaudineP

J10 détente en bord de mer
Journée de repos à l’hôtel  Paradise Beach Club de Mirissa.
Après un copieux petit déjeuner, le groupe se partage en 3:
- un groupe « snorkeling » ou, si vous préférez « randonnée palmée » ou encore «  randonnée subaquatique », composé de 8 personnes, rejoint une base sommaire en touk-touk. Sur une embarcation motorisée, nous partons à quelques petites encablures de la base et nous nous amarrons. Tous à l’eau avec palmes et tuba pour observer la faune aquatique. Jean Marie excelle en la matière, valorisant une belle expérience passée, Gérald n’utilise pas son tuba tout comme Claudine B, Nicole se régale avec son (très) jeune moniteur, Maïté et Claudine P apprécient, Michel cale rapidement et préfère remonter à bord respirer sans tuba, Jean François trouve que la faune est assez pauvre avec seulement quelques tortues et poissons et regrette que tous les coraux soient morts …
- 5 baroudeurs, Karine, Séverine, Arlette, Nicolas et Christophe, hors des sentiers de randonnées, ont décidé de partir à la recherche d’éléphants….
Après un périple en bus avec chauffeur, et nouveau guide  (à vous de deviner, qui a fait le guide!)les voilà arrivés au temple de Matara, seuls touristes au milieu de tous ces croyants.
Nous avons pu assister à une cérémonie d’offrandes en l’honneur de Bouddha accompagnée par un majestueux éléphant.
Sur le retour vers le bus, les 5 intrépides, toujours à l’affût de nouvelles expériences ont aperçus un panneau indiquant le bout du monde
Ni une ni deux, les 5 acolytes, tongs aux pieds partent dans une marche effrénée pour atteindre le « southern of Sri Lanka »
A l’arrivée, l’effort est récompensé : un magnifique phare avec une vue splendide sur l’immensité.
 - Enfin un groupe farniente de 3 personnes, je vous laisse deviner, qui préfèrent la plage de sable fin, les cocotiers et le soleil.
Nous nous retrouvons tous à l’hôtel à 13h pour rejoindre en longe côte une paillote de bord de plage proche. Le repas est ex Ceylan, certains se régalant avec du poisson et des gambas grillés, notamment Claudine B que la séance de snorkeling semblait avoir mis particulièrement en appétit….
L’après midi est libre et chacun s’occupe entre farniente et courses.
La soirée se prolonge au bar de l’hôtel avec tarot et danses au rythme de classiques, anciens et récents, de la variété française.
Le repas cloture cette avant dernière journée de notre voyage dans la bonne humeur.
Michel et Karine


J 11 découverte de la forteresse de Galle et de la vieille ville, derniers achats et dernier repas à Marongo
Nous quittons notre hôtel de Mirissa pour rejoindre Colombo et l’aéroport par la côte sud du pays.
Après quelques arrêts pour photographier les pêcheurs en barque ou sur piquet, nous faisons une halte à Galle.
Galle est à l’origine un comptoir portugais repris par les Néerlandais puis les anglais. C’est une ville fortifiée, coquette, multiculturelle, avec une touche hollandaise marquée, que l’on perçoit notamment avec les façades à colonnes des maisons.
Nous visitons la ville avec un peu de shopping avant et après déjeuner.
Nous reprenons le bus pour la banlieue de Colombo, plus exactement la ville de Negombo, pour une ultime séance de shopping et un dîner libre.
Afin de patienter pour notre vol vers Doha prévu à 4h55, nous nous installons dans un hôtel près de l’aéroport où nous partageons 5 chambres pour un petit repos et une bonne douche.
À 2h00, nous arrivons à l’aéroport pour les formalités.
Nous embarquons pour Doha en espérant qu’il n’y aura pas de retard, comme à l’aller. car nous n’aurons que 1h30 pour la correspondance pour Londres. Londres car le vol Doha Toulouse a été supprimé le 1er octobre ! Le voyage retour sera en conséquence allongé de 8 heures !
Fin de ce voyage au Sri Lanka apprécié par tous. Très dépaysant avec des rando sympa.
Michel

J12 Ultime CR:
Une arrivée à Doha avec 1/2 h d’avance qui dissipe nos craintes de rater la correspondance.
Nous embarquons dans un Boing 747 pour Londres.
Arrivée à Londres Heathrow à l’heure prévue, 13h35 heure locale.
Attente de 6 heures . On tue le temps entre shopping, lecture, tarot ….
Départ pour Toulouse à 20h15 en A319. Arrivée à Toulouse à 23h00 comme prévu.
Quelques désagréments de fin de séjour: la valise de Claudine B n’est pas arrivée à Toulouse et Jean François a perdu son téléphone dans Heathrow .
Encore merci à Gérald pour l’organisation appréciée de ce beau voyage.
Michel