Et nous voici en été ; l’été du SEL. Pendant ces deux mois de juillet et d’août les randos sont plus douces, plus légères. On marche un peu plus lentement, on regarde plus, on bavarde plus.
Et aujourd’hui nous partons du petit lac près du village de St Martin le Vieil, que je viens d’apprendre s’appel le lac de la Sérigate. Décidément on apprend tous les jours.
Nous sommes à treize aujourd’hui par cette belle journée encore fraîche. Une photo de famille et nous partons en longeant le lac pour ensuite remonter vers les bois. Notre chemin nous mène entre les champs d’abord – et c’est pourquoi je la fais dans ce sens, la randonnée, car en fin de rando, vers midi, il aurait fait bien plus chaud. Mais même les randos d’été, légères sont préparées de façon minutieuse. Ahem !
Nous regardons au loin et les Pyrénées sont là, assez étonnamment à cette époque car normalement elles sont voilées par la brume d’été. Aujourd’hui nous reconnaissons le Bugarach, le Madres, la chaîne du Carlit et les jumeaux : St Barthélémy et Soulairac.
Puis nous nous enfonçons dans les bois pour descendre vers la Migance. Pour y arriver nous traversons la Vernassonne par une petite passerelle. Nous saluons un des habitants de la Migance qui travaille à son potager et puis nous traversons le petit hameau.
Trois cents mètre plus loin nous quittons la petite départementale par un chemin de ferme qui nous mène de retour à la Vernassonne et une autre petite passerelle. Celle-ci elle est d’un simple : juste un poteau de PTT (ou peut-être d’EDF) posé sur un appui en bêton et une rambarde de sécurité. Je la connais comme ca depuis une vingtaine d’années cette passerelle. Elle a l’air branlante, mais on y passe sans problèmes.
Et donc nous continuons direction Abbaye de Villelongue. Nous faisons une longue pause à côte du parking pour prendre notre souffle et nos forces pour le petit rampaillou promis, celui qui mène à la Jambe de l’Homme. Pourquoi ce nom ? D’où vient-il ? Je n’en sais rien. C’est comme ça.
Après le rude montée, le chemin continue à monter mais plus doucement et plus régulièrement. Arrivés en haut, une pause s’impose pour nous regrouper et reprendre notre souffle.
Et nous redescendons vers le village par une petite route. Nous traversons le village et repartons vers le lac où nos voitures nous attendent patiemment. Une personne nous quitte et c’est à douze que nous nous mettons à table. Deux tables et quatre bancs en béton, c’est tout ce qu’il nous faut.
Et donc a la setmana que ven !
John
Photos de Claude
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