vendredi 30 juillet 2021

2021-07-30 Refuge de Bassiès

Ce vendredi 30 Juillet, nous étions 5 au départ du parking de Massada, Au programme: les étangs et le refuge de Bassiès. Pour le soleil, c'est raté…. Ambiance « Made in Scotland » Mais ça ne refroidit pas l'ardeur des randonneurs. Après une montée sévère, nous atteignons enfin le plateau où nous longeons les étangs avant d'arriver au refuge où nous allons prendre notre repas en compagnie d'un troupeau de moutons. 
Après ce petit arrêt réparateur, il nous faut remettre sac à dos et prendre le chemin du retour. 
Arrivée aux voitures aux environs de 17 heures. 
Compte rendu de Roger et ses photos ici 

jeudi 29 juillet 2021

2021-09-29 Villeneuve Minervois

Une belle matinée, une joie rando, des compagnons sympathiques, que faut-il de plus ? Un pique-nique sous les pins d’Alep près de la chapelle de Mames. Ben voilà ;

Pas un nuage dans le ciel quand nous nous sommes rencontrés, un ciel pas vraiment bleu car il y a avait cette brume de chaleur. Un petit vent pour nous rafraîchir et nous voilà partis .Nous étions vite loin de la ville, par un petit chemin qui serpentait entre les vignes. Il remontait, nous avons tourné à droite au carrefour et nous voici dans les pinèdes. Et cela a continué comme cela toute la matinée. Des pins, de la garrigue, des vignes, tantôt à l’ombre, tantôt au soleil, toujours avec une petite brise. De jolies vues, le Pic de Nore, Sallèles plusieurs fois, Villegly et au loin les remparts de Carcassonne, la chapelle de Mamès, le moulin Benazeth et finalement le Château et l’Eglise de Villeneuve.

Une rando bien ordinaire, mais d’autant plus plaisant. Merci Guy de nous avoir si bien guidé.

Mes photos ici

Les photos de Marie-Christine ici

dimanche 25 juillet 2021

2021-07-25 Les Crêtes de Camurac

Avec le S.E.L en balade aux Crêtes de Camurac, sur une variante du GR 7 : 6 randonneuses et 5 randonneurs …

Le petit village de Camurac est la seule station de sport d’hiver du département de l’Aude. C’est aussi le point de départ de nombreuses randonnées pédestres dans ses jolies forêts et pâturage d’altitude. Le village possède plusieurs jolies fontaines. C’est devant, l’une d’elles que, nous faisons la traditionnelle photo de famille avant le départ en direction de Montaillou dés 08h30. Au bout de quelques centaines de mètres, nous changeons de département et, entrons dans l’Ariège. Sur la colline en face apparait le petit village de Montaillou.

Montaillou a une riche histoire liée au catharisme (fin du XIIIe siècle - 1320) qui a été retracée dans l'ouvrage d'histoire et d'anthropologie d'Emmanuel Le Roy Ladurie, Montaillou, village occitan de 1294 à 1324.Quelques décennies après le massacre de la forteresse de Montségur, il persiste dans le massif des Corbières ainsi qu'en Haut Foix, notamment à Montaillou, une communauté gnostique essentiellement encadrée par les Bonshommes ou Parfaits tels que Peire Authié, Raymond de Castelnau ou Philippe d'Alayrac. Les persécutions menées par l'évêque Fournier de Pamiers, futur pape Benoit XII. ont pour conséquence d'éradiquer cette poche d'hérétiques. Après maintes péripéties, une grande partie des habitants a migré en Catalogne et en Pays valencien où ils ont formé une diaspora active plus ou moins dirigée par Guillaume (Guilhem) Bélibaste. C’est dans ce petit village, qu’à été crée en 2004 la radio associative qui, couvre encore tout l’ouest des Pyrénées Radio Montaillou, aujourd’hui Pyrénées FM.

Un petit détour par les ruines du château ancien fief de Gaston Phébus. Dommage que Claudine ne soit pas là, elle nous aurait comté avec passion la vie de ce prestigieux personnage et nous attaquons une très longue côte dans les bois puis dans les herbages parsemées de belles gentianes et, comme dimanche dernier les diverses variétés de fleurs abondent. Peu avant le Col de Balagues, nous rencontrons un groupe de jeunes, garçons et filles qui démonte le poste de ravitaillement installée pour un trial. 

Nous sommes maintenant sur les crêtes en direction du Roc de Quercourt (1820 mètres), le point culminant de la rando et rencontrons de nombreux troupeaux de vaches. Yves notre spécialistes «variantes» souhaite faire un détour au pic de Sarrembarre, nous sommes cinq pour tenter d’y aller. Les autres s’installent à l’abri du vent pour la pause casse-croûte.

Après avoir franchi deux petits cols, le pic qui de loin a des airs de Fuji-Yama semble encore à de longues minutes de marche, déjà la brume descend et, après maintes discussions nous préférons renoncer et préférons rejoindre le reste de nos coéquipiers. Nous sommes peu nombreux à gouter à l’Avéze que j’avais emportée et mangeons rapidement. L’endroit que nous avons choisi est plein de trou de marmottes mais aucune ne s’est fais voir pendant le repas. Dans leurs terriers, elles doivent réconfortées en nous voyant partir.

13h30, nous reprenons la marche, un détour par le sommet du Roc de Quercourt  puis, la marche est rapide vers la Coste rouge ou se trouvent deux tables d’orientation. Déjà la vue est très bouchée et, nous ne pouvons guère observer le paysage. Nous repartons vers la station de Camurac et les pistes. Un dernier raidillon, le «gruppetto» se reforme (NDLR : excuse moi Jocelyne, j’en fais aussi parti),  avant de descendre vers la vallée au milieu des bois. Il à peine 16h00 lorsque nous rejoignons les voitures. 

Cette balade était relativement facile, tout au long de celle-ci nous avons rencontré de nombreux groupes de randonneurs et, plusieurs fois des familles avec de jeunes enfants tout heureux de randonner avec des ânes. 

Ensemble nous prenons un dernier à Quillan. Merci à Yves et Roger pour cette balade et peut être à la semaine prochaine ….  

Compte rendu de Jean-François

Photos de Jean-François ici

Photos de Jocelyne ici


jeudi 22 juillet 2021

2021-07-22 Prise d’Alzeau

Il faisait chaud à Carcassonne. Il faisait chaud à Cavanac, où nous devions aller. Mais à la Prise d’Alzeau il faisait bon sous les arbres. J’avais changé la rando à la dernière minute, (et j’espère qu’il n’y a personne qui est allé au mauvais rendez-vous – que ces personnes acceptent mes excuses).

Nous étions à quatorze au rendez-vous et nous sommes partis pour trois kilomètres sur le plat, le long de la rigole. La rigole qui tantôt coulait doucement, sans bruit et sans mouvement apparent, tantôt chantait bruyamment et montrait une surface tourbillonnante. Le chemin, et la rigole, serpente entre les arbres avec quelques jolies échappées vers l’Alzeau en bas, mais qui s’éloigne de nous au fur et à mesure que nous avançons.

Mais il était temps de quitter ce charmant cours d’eau pour grimper dans les bois. Un peu de route, un petit chemin et nous montions régulièrement mais facilement. Les arbres nous protègent du soleil, mais le laissent apercevoir entre les troncs et les feuillages. De jolies effets de lumière, surtout quand un contre-jour fait apparaître des feuilles presque transparentes puisque transpercées par les rayons du soleil.

Le chemin devient un sentier, un tout petit sentier que je dois rechercher quelques fois car il a tendance à disparaître .Pendant plus d’un kilomètre nous suivant ce petit sentier pour arriver finalement sur un chemin plus large qui nous mène au centre de vacances à Ramondens, que nous contournons. Sur ce chemin pendant un temps la forêt à changée. Au lieu des hêtres, c’était des pins, plus rectilignes et nettement moins jolis, quoiqu’ils avaient quand même leur charme.

Nous arrivons sur une petite route que nous descendons et nous apercevons le lac de la Galaube entre les arbres à notre gauche. Et finalement un petit sentier qui dévale vers l’Alzeau et sa Prise.

La rando est finie, tout le monde en est bien content. Surtout moi qui ai guidé en suivant une suggestion de SityTrail.

Mais la sortie n’est pas finie. Tout le monde recherche son pique nique et nous passons une heure ou plus très agréable à manger et papoter avant de se quitter en attendant la rando suivante.

Les photos de Marie-Christine, de GenevièveS et de John ici

Les photos de Jocelyne ici

 

dimanche 18 juillet 2021

2021-07-18 Vallée du Galbe - Pic des Mortiers

Compte rendu de Cathy

15 courageux sont présents pour échapper aux températures caniculaires de la plaine, nous avons pris de la hauteur pour aller à la rencontre de la fraicheur, dans la magnifique vallée du Galbe. Pour ce qui est de la fraicheur on ne sera pas déçus car un  vent glacial nous a décoiffés et pour ce qui est de la magnifique vallée, elle a tenu toutes ses promesses. On a récupéré au village d’Espoussouille Hélène qui a passé la nuit seule (même pas peur) au coquet refuge de la Jaceta et Régis, Martine, Sylvie Nicole et Jocelyne qui ont passé la nuit dans des hôtels et bien sûr Roger qui a pris ses quartiers pour la semaine dans cette vallée. 

On a  suivi la très bonne piste forestière depuis le parking tout en remontant le torrent du Galbe. Helene nous fait visiter son humble logis le refuge de Jaceta. On croise régulièrement de petits troupeaux de vaches qui semblent paisible mais qu’on ne doit pas déranger, Roger et Christine ont failli se faire encorner au retour en voulant forcer le passage. On est accompagné par le sifflement des marmottes qui sont cachées. Dans la vallée nous foulons un parterre fleuri de rhododendrons, de gentianes, de chardons et une sorte de petits plumets appelés linaigrette qui suffisent à rendre ce coin un paradis. Petit arrêt aux pierres écrites rupestres mais qui n’a que le nom aujourd’hui car il en reste très peu, puis montée régulière vers l’étang du diable. De ce point, la cime du  Pic Mortiers n’est pas aisée, elle se gagne pas après pas. Les 2065 du pic de Mortiers sont atteints, c’est une belle récompense car on a une vue à 360° avec tous les sommets pyrénéens (dent d’Orlu, les Peric..). Pique-nique à l’abri du vent bien mérité et on voit au loin les étangs Camporells que l’on surplombera sur le retour. Au cours de la descente on s’arrête à la stèle des deux gendarmes où on a un point de vue sur la vallée. Il est déjà 19h au gîte d’Espousouilles pour se désaltérer, certains voulaient voir la pièce de théâtre à l’hôtel Rolland mais c’est mort ! Il faut faire des choix. Mais nous sommes satisfaits, merci à Roger et à Yves pour cette belle découverte.

Compte rendu de Jean-François

Le S.E.L  en balade dans la vallée du Galbe en passant par le Pic de Mortier et les étangs des Camporells …

Pour 7 d’entre nous, rendez vous est pris dés 06h55 sur le parking de Super U à la sortie de Limoux puis, direction Espousouille. Au passage à Couiza, Christine je joints à nous.

Par la Haute vallée de l’Aude et le Col du Carcanet nous arrivons à Puyvalador dans le Capcir, le « petit Canada » catalan. Quelques minutes plus loin, sur le parking d’Espousouille nous nous retrouvons à 16 (9 randonneuses et 7 randonneurs). Il faut faire encore 20 à 30 mn en voiture sur une très mauvaise piste pour atteindre le point de départ situé peux avant la baraque de la Jacata. 

Au départ, la piste dans la forêt est très facile nous avançons rapidement ver le Pic de Mortiers. Cette vallée est réputée pour sa flore, nous ne sommes pas déçus. Tout au long du parcours c’est de vrais tapis de fleurs où abondent renoncules et boutons d’or, chardons au rouge flamboyant, de jolis lys martagon. Plus hauts vers les sommets, les rhododendrons sont déjà un peu passés et, dans les zones humides nous trouvons de belles linaigrettes (ou jonc des marais).

Le sentier devient plus difficile avec une forte pente, le vent est fort et relativement vrais nous avançons lentement vers le fond de la vallée. Parfois, nous pouvons entendre le sifflement de marmotte que nous nous pouvons voir. Certains, ont aperçu des isards … 

Vers midi, nous sommes au site de la Peïra escrita. C’est relativement décevant, pas grand-chose de particulier à voir, au milieu de graffitis qui n’ont rien de préhistoriques. Il faut en profiter pour faire une longue pause avant d’affronter la montée finale et contourner, par la droite, un important névé.

Cela devient dur pour certains, la file s’allonge. Il y a les grimpeurs à l’avant et derrière un «gruppetto» qui avance prudemment. Tous dominent le lac du Diable avant de déboucher sur la ligne de crête aux abords de la réserve d’Orlu. Ici c’est une vue à 360°, sur les magnifiques sommets des Péric, de la Dent d’Orlu. Il est déjà 13h00, tous le monde est au sommet du Mortier (2605 m), à l’abri du vent nous pouvons, enfin, prendre un casse-croute bien méritée.

Après une trentaine minutes de pause, Yves, «monsieur variantes» donne le signal du départ. La piste, très facile, descent lentement vers les Etangs de Camporells et, nous atteignons rapidement  le carrefour du Ras de la Sal. En chemin, nous avons vu un joli troupeau de chevaux. A partir de ce carrefour nous faisons un aller et retour jusqu’aux abords du premier des étangs. 15h00, il faut commencer la descente vers nos voitures, par le Forat de la Caixa. C’est très abrupt et difficile parmi les rochers et les éboulis.

Dans le fonds de la vallée nous apercevons de nombreux troupeaux de vaches et, à l’approche de la baraque de la Jaca de la Llosa, Roger, notre guide du jour, a du jouer au torero avec une vache. Ce petit incident nous a obligé de contourner le troupeau et, certains ont du traverser le torrent. Nous sommes de retour aux voitures aux environs de 18h00, l’horaire d’Yves est respecté.

Espousouille est un coquet petit village de montagne aux jolis murs de pierres avec une belle fontaine. Une halte à la petite buvette de village permet d’étancher notre soif, de faire le « point » sur cette belle journée de crapahut et sur la prochaine, de déguster une bière artisanale locale.    

Photos de Jean-François ici
Photos d'Hélène ici


jeudi 15 juillet 2021

2021-07-15 St Polycarpe

Les randos d’été c’est parfois partir à l’imprévue. Mais ce n’était pas le cas aujourd’hui. Nous étions huit au départ, et, par une heureuse coïncidence, huit à l’arrivée. Françoise a eu l’idée, je l’ai secondée un peu dans la partie technique (suivre la rando sur SityTrail sur mon portable) et voilà.

Nous nous sommes retrouvés au Parking de l’Abbaye et de l’Aqueduc à St Polycarpe, endroit que nous connaissons déjà car nous avons fait plusieurs randos ici. Pour un parking, c’et un endroit bien joli. La petite rivière en bas, l’aqueduc au fond et l’église de l’abbaye un peu cachée par les arbres.

Et voilà. La photo de famille est faite et nous partons d’un bon pas. Bon n’exagérons pas, nous partons d’un pas confortable. Nous traversons le village, tournons à gauche et d’emblée cela commence à monter. Cela n’a rien à voir avec les montées des randos de dimanche, mais quand même en moins d‘un kilomètre nous avons escaladé plus de cent mètres. Pas mal pour une rando calme du jeudi. Heureusement nous nous sommes arrêtés plusieurs fois pour admirer la vue du village de St Polycarpe et les collines autour .Et c’était une belle vue et valait bien l’arrêt.

Après avoir bien grimpé, nous sommes descendus doucement par les bois et puis les vignes jusqu’à Villar St Anselm, joli petite circulade avec église et mairie au centre. Encore une petite descente et nous revoilà partis à la montée de nouveau. Mais elle est plus facile celle-ci, quoique plus longue. C’est un compromis. Valable.

En chemin nous papotons. Chantal nous raconte qu’elle a eu la joie de voir un cerf sur la route en venant. Puis nous voyons un petit sanglier qui s’encourt devant nous. C’est Chantal qui l’a vu la première .Jamais deux sans trois dit-elle et nous cherchons le troisième. Et je l’ai trouvé, sur le chemin. Une petite biche. Oui là sur le chemin, qui crapahutait sur le chemin sur ses six pattes. Oui tu m’as bien lu, sur ses six pattes. La petite biche (Dorcus parallelipipedus) est une espèce d'insectes coléoptères de la famille des Lucanidae. Nous l’avons admiré pendant tout un temps, et Roger l’a identifié avec son portable,  avant de passer notre chemin ;

Et comme cela la rando continue par monts et par vaux, et finalement elle descend perdant toute l’altitude que nous avions gagné, pour finalement voir d’abord l’église et puis le village de St Polycarpe au fonds de sa vallée.

Et nous revoilà au parking, avec un rayon de soleil, presque le premier de la journée .

Nous avons pique-niqué à deux, Jocelyne et moi, car les autres ne l’avaient pas prévu, sur un banc avec une petite table en pierre à côté du pont, en face du village, avec l’aqueduc un peu caché par les arbres. Une belle fin d’une belle rando.

Merci Françoise de nous la proposer. Elle fut jolie, agréable, et finalement pas dure du tout.

Mes photos ici. (J’en ai pris quelques-unes avec le format « vieux » en sépia. Je ne le ferai plus. Promis :-)

dimanche 11 juillet 2021

2021-07-11 Saurat

Rando à Saurat, menée par Roger. Ascension du Mont et Roche Ronde depuis Saurat : 15 kms - D : 730 m.

Photos de MarieChristineB, RogerC et  MartineO ici
Photos de MichelD et DanielL ici
Photos de HeleneD ici

samedi 3 juillet 2021

2021-07-03 Le Villaret – Rando et Fête

Ce samedi c’était le jour de la fête annuelle de fin de saison SEL. La saison avait été tristounette, peu de randos officielles SEL suite au confinement qui limitaient le nombre de participants. L’esprit SEL avait quand même continué car beaucoup de groupes d’adhérents de SEL se sont constitués pour randonner ensemble, quoique pas sous les auspices du SEL.

Hier donc c’était la grande réunion, d’autant plus douce qu’on ne s’était pas vu depuis longtemps. Nous étions 96 à table, ce qui était formidable

Mais procédons par ordre. A neuf heures, entre trente-cinq et quarante randonneurs se sont réunis pour une rando menée par Michel. Car après tout, le SEL est un club de randonneurs et de randonnées, n’est-ce pas. Quelques photos et des photos de famille et ils sont partis. Jacques et moi nous avons papoté et puis nous sommes allés à leur rencontre au Moulin de Brousse, où ils s’étaient arrêtés pour se désaltérer et pour regarder les modèles de mécanismes de moulin construits par André et que certains avaient vu la semaine avant lors de la journée du patrimoine.

Je ne peux pas raconter plus sur cette rando, car je n’y étais pas. Mais Marie-Christine et Annick ont pris des photos qui sont dans un album indiqué plus bas.

De retour chez Jacques, nous avons attendu les arrivées des fêtards. Par deux, par trois, quelquefois seuls ils sont venus se joindre à nous. Les premiers randonneurs qui avaient pris le chemin court, puis le deuxième groupe qui avaient optés pour le circuit moyen et finalement les courageux qui ont parcourus onze kilomètres et qui avaient l’air d’être contents d’eux même et de Michel.

Et les autres sont arrivés donc pour arriver au grand complet. Les retrouvailles étaient bonnes. Que dis-je formidables. Ça papotait ferme ! Même si les bises étaient rares, merci Covid, les langues se sont déliés sans problèmes, même avant l’apéro. Qui a commencé peu après l’arrivée des Mange-Tout, le couple sympathique qui avait préparé ces bonnes bouchées et aussi le Paella. Ce fut un plaisir de voir le travail de préparation de la Paella, la cuisson des morceaux de poulet et de lapin, l’ajout des poivrons e je crois d’oignons, les crustacés, les crevettes, les scampis et bien sûr le riz.

Mais je saute un pas ou deux.

Après l’apéro, nous nous sommes réunis autour de Jacques et Paule. Maguy, notre doyenne, a fait un beau discours d’appréciation et de remerciements, suivi d’une chanson à la gloire du président chantée par l’assemblée . Et Ginette a présenté les cadeaux à Jacques, offerts non seulement les personnes présentes, mais aussi beaucoup qui ne pouvaient pas y être. Et bien sûr Jacques nous a dit combien il était surpris de recevoir ces gentils cadeaux. Mais il a surtout exprimé son plaisir de nous retrouver tous là.

Plaisir qui était partagé par nous tous.

Et nous sommes passés à table. Les files ont commencé pour se faire servir le Paella, qui était délicieux. Le vin, en trois couleurs, rouge, blanc et fifty-fifty est apparu comme par miracle, et la fête a continué de battre son plein.

Et j’ai presque oublié, comment est-ce possible, les desserts. Il y avait non seulement les choux qui faisaient partie du cadeau de Jacques, mais aussi les créations apportées par les convives.

Et finalement, peu à peu, par deux et par trois, par cinq ou pasix, nous nous sommes quittés en jurant de nous retrouver très bientôt, sur les sentiers ou aux fêtes. Tous nous étions contents de la journée, le plaisir de se revoir, de retrouver des amis qu’on n’avait pas vus depuis longtemps, de faire connaissance avec les partenaires des randonneurs, partenaires qui ne randonnent pas avec nous d’habitude.

Et une belle surprise, l’arrivée de Guy, notre sympathique chauffeur lors des séjours en car. Nous le connaissons depuis huit ou neuf ans et c’était un grand plaisir de le retrouver.

Merci Jacques et Paule pour cette très belle journée

Merci Michel pour avoir guidé la rando

Merci à tous ceux qui ont aidé ne fut-ce qu’un petit peu à la préparation de cette fête

Et merci à toutes celles et tous ceux qui sont venus.

Mes photos de la rando ici

Les photos de Marie-Christine et de MartineO ici

Mes photos de la fête ici

Quelques vidéos ici

 

jeudi 1 juillet 2021

2021-07-01 Fontiès d’Aude

Une belle journée pour cette jolie rando que j’avais trouvé sur SityTrail. Nous étions onze au départ, mais très vite deux ont déclaré forfait. Puis après trois kilomètres, j’ai dû faire de même. Gentiment Françoise et Muriel sont restées avec moi pour le raccourci vers les voitures et les autres ont continué avec Roger qui les a menés avec son brio habituel. J’avais heureusement prévu le coup et je lui avais imprimé le circuit auparavant.

Et la balade elle-même ? Très jolie. Dans les vignes et surtout les garrigues d’un pays que nous avons l’habitue de traverser en route pour Monze ou Lagrasse. Dès que nous avions quitté la ville, les cigales ont commencé à nous chanter leur chanson estivale. Et cette chanson nous a accompagné plus ou moins fort toute la matinée. Les vues étaient belles vers a Montagne Noire et le Pic de Nore derrière Trèbes dont la tour d’église dominait la ville.

Et il faisait beau. De plus en plus chaud. C’est pour cela que je suis descendu du Nord il y a plus de vingt ans.

Arrivé à Montirat, j’ai quitté le groupe avec mes deux anges gardiennes et nous sommes revenus par la route aux voitures. Une petite route et puis la départementale. Mais ce n’était pas long et il y avait peu de voitures.

Les deux dames m’ont quitté et j’ai attendu patiemment les autres. On pensait chercher un coin de pique-nique un peu plus loin, mais soudainement Monique nous a dit « Pourquoi pas ici ». Au coin de la rue, une petite placette avec un mur circulaire à l’ombre d’un grand olivier. C’était fabuleux. Ce petit mur convivial nous a bien servis. Et l’olivier nous a prêté son ombre. Cela faisait très provençal !

Merci à Roger d’avoir repris la rando pour moi

Merci à Françoise et Muriel de m’avoir ramené à bon port

Et merci aux autres d’être venus.

Et quelques photos ici