dimanche 3 décembre 2023

2023-12-03 Le Cirque de Viviès

Carte chance, la météo fut de la partie.
La chaleur humaine compense la fraicheur matinale mais pas que, la première toute relative grimpette de la Materrebousine nous amènera très vite à température de bon fonctionnement.
Soudain je me retourne, plus personne ?, ils se sont tous réfugiés dans la grotte. Puis en sont sortis un par un comme des ours en fin d’hibernation.
Nous arrivons sur la crête entre le plat d’Aven et le mont Mija puis traversons la forêt domaniale de Thézan. Commence une longue descente en contournant la Vente Farine par l’est puis par le sud.
On ne vous a pas roulé dans la Farine, la forte ascension annoncée est bien là et à l’heure prévue.
150 mètres de dénivelé sur à peine 600, 700 mètres. Vous y êtes tous arrivés avec une incroyable aisance. Trop forts (es).
Encore quelques pistes pour êtres à la pause repas en surplomb du tant attendu Cirque de Viviès.
Nous croisons quelques chasseurs qui nous annonce la fin de leur activité et nous libère les places des petits promontoires dominant le cirque. Supers points de vue idéals pour se restaurer. Une petite frayeur pour certains (es) de franchir un des accès, du coup nos avons fait tables à part.
De mon point de vue l’autre table était bien bruyante bousculant la sérénité des lieux. Eux avaient du vin mais pas nous.
La prochaine fois n’oublions pas nos nez rouges, à êtres dans un cirque autant y faire les clowns.
Deux choix s’offrent à nous, le retour par le petit chemin boisé dans le fond du cirque ou par les hauteurs plus adaptées aux partisans du moindre effort dont je fais corps.
Cela nous a permis, les partisans, de ce la couler douce sous le soleil au point de retrouvaille.
Enfin les dernières lignes presque droites et pas tout à fait planes nous guident, en bordant les vignobles effeuillés, vers l’arrivée.
Il me semble que nous en avons « plein les pattes » mais très heureux.
Pour ce qui me concerne « j’ai hâte de retrouver mon canapé « qui m’accueille à accoudoirs grands ouverts.
Une pensée pour Christine qui n’a pu nous rejoindre faute de mauvaises ou inexistantes indications routières de la déviation de Saint Laurent Cabrerisse.
Merci à Chantal, à vous et
A bientôt,
Christophe
Photos de Patrick et d'Anne-Marie
Photos de Chantal
Photos de Roger

1 commentaire:

  1. Carte chance, la météo fut de la partie.
    La chaleur humaine compense la fraicheur matinale mais pas que, la première toute relative grimpette de la Materrebousine nous amènera très vite à température de bon fonctionnement.
    Soudain je me retourne, plus personne ?, ils se sont tous réfugiés dans la grotte. Puis en sont sortis un par un comme des ours en fin d’hibernation.
    Nous arrivons sur la crête entre le plat d’Aven et le mont Mija puis traversons la forêt domaniale de Thézan. Commence une longue descente en contournant la Vente Farine par l’est puis par le sud.
    On ne vous a pas roulé dans la Farine, la forte ascension annoncée est bien là et à l’heure prévue.
    150 mètres de dénivelé sur à peine 600, 700 mètres. Vous y êtes tous arrivés avec une incroyable aisance. Trop forts (es).
    Encore quelques pistes pour êtres à la pause repas en surplomb du tant attendu Cirque de Viviès.
    Nous croisons quelques chasseurs qui nous annonce la fin de leur activité et nous libère les places des petits promontoires dominant le cirque. Supers points de vue idéals pour se restaurer. Une petite frayeur pour certains (es) de franchir un des accès, du coup nos avons fait tables à part.
    De mon point de vue l’autre table était bien bruyante bousculant la sérénité des lieux. Eux avaient du vin mais pas nous.
    La prochaine fois n’oublions pas nos nez rouges, à êtres dans un cirque autant y faire les clowns.
    Deux choix s’offrent à nous, le retour par le petit chemin boisé dans le fond du cirque ou par les hauteurs plus adaptées aux partisans du moindre effort dont je fais corps.
    Cela nous a permis, les partisans, de ce la couler douce sous le soleil au point de retrouvaille.
    Enfin les dernières lignes presque droites et pas tout à fait planes nous guident, en bordant les vignobles effeuillés, vers l’arrivée.
    Il me semble que nous en avons « plein les pattes » mais très heureux.
    Pour ce qui me concerne « j’ai hâte de retrouver mon canapé « qui m’accueille à accoudoirs grands ouverts.
    Une pensée pour Christine qui n’a pu nous rejoindre faute de mauvaises ou inexistantes indications routières de la déviation de Saint Laurent Cabrerisse.
    Merci à Chantal, à vous et
    A bientôt,

    Christophe

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