samedi 29 novembre 2025

Villeneuve Minervois

Encore une fois à cause de la météo, la rando a été annulée et remplacée au pied levé par une sortie à Villeneuve-Minervois, mais avancée au samedi 29 Novembre.

La journée promet d’être belle, et nous sommes 6 au départ.La boucle proposée par Yves nous amène, en passant par la chapelle Saint Mamet, au village perché de Sallèles-Cabardès, puis par un sentier en balcon, à Trassanel, ou nous décidons de pique-niquer sur l’aire près du parking. Sitôt installés, nous avons la visite d’un superbe chat siamois venu quémander quelque nourriture.

Reprise du parcours pour rejoindre le sentier de la Truffe récemment ouvert. Après quelques difficultés pour le retrouver, le balisage étant orienté dans le sens opposé, nous le suivons jusqu’à Villeneuve où nous prenons le verre de l’amitié.

Joli parcours, jalonné de superbes vues sur les Pyrénées avec une météo de rêve.

Merci Yves de nous avoir menés.

Roger.

Photos de Roger

jeudi 27 novembre 2025

2025-11-27 Rieux en Val

Un après-midi formidable pour cette jolie rando depuis Rieux en Val dans la val du Sou. Nous étions une vingtaine au départ. Nous avons rompu avec la tradition et ce n’est qu’après 800 mètres que nous avons pris la photo de famille. C’était en dessous de la Pierre Droite croix. Après la photo, Christian, notre guide pour cette rando, nous a parlé un peu de cette pierre. La "pedra dreta" en occitan est un menhir érigé sur une petite éminence rocheuse. Cette dalle en grès carcassien mesure 2 m de largeur à la base pour 2,20 m de hauteur et 0,40 m d'épaisseur. La pierre droite a été christianisé par l'adjonction d'une croix en fer à son sommet. Des fouilles sommaires, au pied du monument, ont livré des ossements humains.
Et la rando continue. Le temps était vraiment magnifique. UN très beau soleil automnal nous a éclairé ainsi que tout le paysage tout le long de cette rando. Ce n’était pas un soleil d’été qui écrase tout mais un soleil délicat mais quand même soutenu qui a donné une netteté éclatante à tout. Je l’avais déjà remarqué pendant le trajet en voiture dès que j’avais passé Monze et sur tout le val de Dagne que j’avais traversé – et ici aussi cette lumière m’a réjoui.
Nous avons traversé les champs et les vignes et puis nous avons traversé une première fois le Sou, cette rivière que nous connaissons tous plus bas quand il est au fond de la vallée, le canyon même, sur la route de Lagrasse.
Nous revenons ensuite vers Rieux en Val et nous nous arrêtons au Pont Vieux où Christian, qui a très bien préparé sa rando, nous a donné des infos sur ce pont : Le Pont Vieux, dit "pont romain", se trouve sur l'ancien chemin de Carcassonne à Lagrasse, qui existait déjà au XIIe siècle, et pourrait par conséquent remonter à cette époque. La tradition l'attribue aux Romains. L'ouvrage est en dos d'âne et se compose de trois arches d'inégales dimensions. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1926. Pour la petite histoire (et pour les historiens cinéphiles !), le Pont-Vieux de Rieux-en-Val a servi de cadre pour la scène dite “la noyade” en 1961, dans le film d’André Hunebelle “Le Miracle des loups”.
Avant de traversé le pont, Ginette nous a réjoui avec un morceau (et dans mon cas deux morceaux) d’un délicieux pain d’épice. Et nous avons profité de ce magnifique cadre qu’est ce pont pour faire encore une photo de famille.
Une fois le pont traversé, j’ai dit au revoir à mes amis car je devais rentrer sur Carcassonne. Et ainsi mon compte rendu s’arrête ici avec son auteur très satisfait de sa petite rando. Le CR sera continué par Claudine.
Merci à Christian et Ginette pour cette belle rando, les explications sur les lieux de Christian et le Pain d'épice de Ginette.
John

Je prends donc le relai… Après notre halte au beau pont médiéval qui vaut à lui seul la balade, nous traversons le village de Rieux avant de repartir sur les chemins. La vue est large sur ces terres jadis mises en valeur par les moines de l’abbaye de Lagrasse – on les imagine empruntant le pont… Le soleil d’hiver nous offre une très belle lumière, une lumière dorée qui magnifie le paysage. Les couleurs se superposent,  dans le lointain, le fauve des sarments dénudés, le doré de ceux qui ont encore leurs feuilles, le vert de l’herbe mêlé au blanc des fleurs de rouquette, parfois entre les alignements de ceps, bien souvent en témoignage de vignes arrachées, le brun des terres nues ; Même en novembre, la nature peut s’illuminer. On alterne cultures et espaces boisés et, de temps en temps, un cyprès ou un pin viennent donner un air de Méditerranée.
Nous revenons vers Rieux et bientôt, un village nous apparaît, tout doré dans le soleil du soir. C’est Serviès-en-Val, serré autour de son église et de son château. Ce château est un quadrilatère massif, flanqué de quatre tours, toujours impressionnant, qui a appartenu à la famille de Vic puis à celle de Calmès, au moins jusqu’au XIXe siècle. De loin au moins, il a l’air en bon état et nous nous interrogeons sur le propriétaire actuel… mais nul n’en sait. 
Un rampaillou nous a été annoncé sur la fin du circuit, c’est pour monter sur la colline qui surplombe le village de Rieux. Mais Régine rappelle qu’elle a prévu de fêter son arrivée dans le vaste monde des retraités. Alors, la question agite le groupe des vaillants randonneurs : rampaillou ou bulles ??? Il faut bien reconnaître que l’agitation n’a guère été longue, on n’a pas eu besoin de vote pour décréter que ce serait bulles (l’excuse ayant été que la nuit allait arriver). Donc retour aux voitures, appropriation d’une table en bout de parking et voici blanquette, jus de fruits, infusions, et délicieux gâteau aux noisettes maison qui a séduit tout le monde. Merci Régine et bienvenue au club.
Et un grand merci à Ginette et à Christian qui ont pensé et guidé ce beau circuit en Val-de-Dagne,
ClaudineP


Photos de John

samedi 22 novembre 2025

Les Collines du vent

Samedi, (au lieu de Dimanche cause : météo), 

nous nous retrouvons à 6 au départ de Villeneuve la Comptal pour la randonnée des Collines du Vent.

Il fait frais, mais avec le soleil et bien couverts, nous attaquons la montée en direction du site de Clément Ader sur lequel il faisait des essais de sustentation pour optimiser le profil des ailes de son avion « Eole ».

Nous redescendons du site, et par la ferme du Roc et le Pech des Demoiselles, nous atteignons le Pech des Carmes (301 m).

Longeant la pinède, nous passons par Ste Marie pour atteindre la tour de communication. De là, direction le château d’eau au sud depuis lequel nous avons la vue panoramique sur les Pyrénées enneigées. 
Nous continuons en ligne de crête jusqu’à un petit sommet abrité du vent, sur lequel nous décidons de faire la pause casse-croute.

Après cette pause, nous repartons en descente rejoindre la route que nous quittons bientôt pour le sentier de crête, qui de collines en vallons, nous offre de belles perspectives sur la plaine du lauragais ainsi que sur les Pyrénées, et nous ramène, par le Clot du Taureau, vers le village que nous allons contourner, afin de grimper la colline le surplombant pour avoir une vue aérienne et rejoindre les voitures en passant par le moulin rénové par les élèves du collège de Castelnaudary.

Retour à Carcassonne après le traditionnel verre de l’amitié.

Roger.

Photos de Roger

jeudi 20 novembre 2025

Malviès

Malgré le vent froid, balade du S.E.L du coté de Malviès.
Il fait relativement froid ce jeudi, nous sommes 25 «sélistes» courageux pour une petite balade d’une dizaine de kilomètres au départ de Malviès. Peut avant le départ nous avons eu une bonne averse de grésil.
Malviès est un petit village situé sur le bord du Sou et le piémont sud de la Malepère. Son nom viendrait du latin malva (les mauves). A proximité, une ferme a le nom de Malvière. C’est également une des anciennes circulades de l’an mil. Sur la commune il y a deux beaux domaines viticoles : le Château Guilhem et le Domaine de la Louvière.
Nous commençons notre cheminement par une petite route goudronnée en direction de la vallée du Sou. Après un peu plus d’un kilomètre, nous prenons à gauche par un petit chemin de terre. Au carrefour, se trouve une curieuse petite croix qui suscite quelques interrogations de par sa forme et l’inscription qui est gravée.
Le chemin est facile et la vue est très belle. Nous passons prés du Domaine de Boyer et arrivons au coquet village de Saint-Martin de Villereglan pour faire une pose devant le magnifique calvaire du village aux couleurs chatoyantes. Notre cheminement continu par une petite rue, au passage nous pouvons voir la jolie mairie du village, sa place bien aménagée, l’école du village, sa petite colonne de la paix avec ses abords.
Nous quittons le village en prenant une piste en sous bois, le long d’un petit ruisseau. Dans un premier temps ce chemin est goudronnées puis il est en terre avec quelques flaques d’eau. C’est une partie de la Route de d’Artagnan. Un chemin équestre qui va d’Auch Maastricht.
Peut après nous traversons la route qui conduit à Villarzel du Razès, prenons un chemin entre les parcelles de vignes. Vers le nord, le ciel s’est bien dégagé. La vue est très belle sur le Massif de la Malepère et le château de Villarzel.
Nous sommes dans les vignes du Domaine de la Louvière et, nous continuons notre route, en passant par une partie du circuit oenotouristique pour arriver à Notre Dame du Razès. Suite à plusieurs années avec des orages de grêle catastrophiques, une statue de la vierge a été installée sur ce mamelon qui, domine la vallée du Sou, au début des années cinquante, afin de protéger les récoltes.
Aux environs de 16h00, nous sommes au domaine où nous faisons une longue halte afin de visiter ses jardins et sa magnifique cour. Ce joli domaine est la propriété d’un industriel allemand bien connu. Hans Grohe est l’un des principaux sponsors d’une équipe cycliste du World Tour (Bora-Hans Grohe). Ses vins rouges, rosés et blancs sont parmi les meilleurs de la Malepère et l’accueil est toujours chaleureux.
Une nouvelle fois Corinne est motivée et très disponible pour nous faire visité la cave, présenter le domaine et ses vins et afin évoquer les diverses manifestations qui y sont organisées. Il est déjà tard et nous devons rejoindre nos voitures. Sur notre chemin autour de malviès nous empruntons les boulevards du Château et de la Tour et passons à un moulin à vent en cours de réhabilitation.
Jean François

PS C'est Jean-François qui a mené. Un grand merci à lui!

Photos de Jean François

mardi 18 novembre 2025

2025-11-18 Les Capitelles de Conques

Après un début d’automne bien clément, voici que le froid arrive. Froid et vent, voici ce qui nous attend sur le parking des capitelles de Conques. Bonnets, doudounes et cache-nez ont été ressortis des placards. Et pourtant, nous sommes nombreux à nous retrouver sur ce parking, nous voilà à 26.
Nous partons à la découverte des capitelles, ces cabanes de pierre sèche qui ont longtemps servi aux bergers, qui, après la disparition de l’activité pastorale, se sont plus ou moins effondrées et qui ont été relevées ces dernières années grâce à la volonté et au travail des bénévoles locaux. Guy nous conduit de cabane en cabane en commentant leur histoire, leurs caractéristiques : il y en a de rondes, il y en a de carrées, de rectangulaires, il y en a une « double », il y a les « andorranes » qui ont un chambranle de porte. Celles-ci témoignent des grands mouvements de transhumance qui amenaient les troupeaux andorrans passer l’hiver dans le bas Languedoc. On trouve même une draille pavée et bordée de grandes dalles de pierre.
Ces cabanes sont aujourd’hui nichées dans une intense végétation, d’épais buissons de kermès,  des chênes verts, des pins, des cèdres et de temps en temps des cyprès toscans. Un grand chêne a même poussé juste devant la porte d’une capitelle et on imagine l’occupant des lieux s’abriter du soleil sous son ombre… Et pourtant, le paysage du temps des bergers n’était pas celui-là. Guy nous explique que toute cette zone était cultivée, qu’il n’y avait pas d’arbres. Ceux que nous voyons ont été plantés dans les années 1980, après un grand incendie. Ils poussent vite et Guy, toujours, nous prédit que dans peu d’années, il n’y aura plus de garrigue mais une forêt. Les activités humaines se sont éteintes ici, mais nous y gagnons un très beau paysage méditerranéen.
Depuis notre départ du parking, le soleil est arrivé, l’air s’est radouci, par moment les odeurs de thym nous arrivent en vagues et nous finissons notre balade dans très bel après-midi d’automne
Merci, Jacques et Guy, de nous avoir guidés dans ce bel univers de pierres et d’arbres.

Claudine P.

Photos de Roger et de ClaudeP

dimanche 16 novembre 2025

2025-11-16 Les trois quilles

Les sites touristiques indiquent que Quillan doit son nom aux Trois Quilles… C’est le contraire qui s’est passé. Quillan est un toponyme gallo-romain et c’est ce nom qui a fait appeler « quilles » les trois sommets qui surplombent le bassin et qui offrent à cette petite ville un écrin reconnaissable de loin entre tous.
Nous voilà donc à 11 sur le parking de la gare. Il fait beau, il fait doux, le temps est idéal. Nous traversons la « promenade » et les petites places, nous franchissons l’Aude par le vieux pont avant de monter au château. Ce château qui appartenait au Moyen Âge à l’archevêque de Narbonne et dont il ne reste aujourd’hui qu’un imposant quadrilatère de murailles. De là, le panorama est déjà remarquable, sur Quillan, sur Ginoles, sur la route du col du Portel menant au pays de Sault et sur les montagnes qui les entourent  et qui offrent çà et là des couleurs d’automne au milieu du vert des résineux.
Un panorama qui va s’élargir au fur et à mesure que nous montons vers la première « quille », le pic de Vitrague. Le chemin monte au milieu des chênes, des kermès, des bruyères et des arbousiers. Et des arbousiers, il y en a ! C’est la pleine saison des fruits, ils sont là par centaines, de toutes les nuances du jaune au rouge vif, suspendus à leur branche ou formant déjà un véritable tapis coloré sous nos pieds. Bien sûr, nous en profitons au passage. Nous montons toujours et c’est de plus en plus raide. Mais voilà enfin le sommet de Vitrague. Le panorama est évidemment magnifique. Quillan d’un côté et ses montagnes, la vallée de l’Aude de l’autre et ses villages. En particulier le petit village de Laval, juste au-dessous de nous, serré autour de son église, avec un peu à l’écart le carré de cyprès de son petit cimetière. Nous continuons, la descente est aussi raide que l’a été la montée -eh oui !-, puis nous abordons la seconde « quille » et ses rochers. Des vautours nous surveillent de leur vol planant. Nous cheminons un temps sur la crête, ce qui offre toujours un panorama somptueux, avant d’entamer la raide descente sur Belvianes. Nous sommes vraiment dans le domaine des arbousiers, ils bordent notre chemin et leurs fruits illuminent la forêt. 
Et nous voici à Belvianes. Nous retrouvons l’Aude qui semble très sage. Un petit pré au bord de l’eau et c’est la pause pique-nique. Le soleil brille, il fait même chaud, la rivière (euh, le fleuve… mais il n’en a pas encore l’air) roule ses eaux, les arbres dorés et fauves s’y reflètent, le tableau est magnifique, tout va bien. C’est ce que nous dit aussi un cingle plongeur (pour les ignares -dont moi jusqu’ici- c’est un bel oiseau) qui semble marcher sur l’eau. Un peu de sieste, et il faut repartir. Nous traversons le village de Belvianes (ça monte toujours…) avant de prendre le chemin du Belvédère du Diable, le « chemin des chèvres », un beau sentier bien tracé au milieu de la forêt qui nous amène à l’entrée du défilé de la Pierre-Lys. Là, une vue magnifique sur les « murailles du diable », des à-pics fantastiques qui plongent dans les gorges, une muraille de roches blanches surgissant des buissons verts qui recouvrent  la montagne. On discerne la route, loin en contre bas. Il y a eu une abbaye à Saint-Martin-Lys au temps de Charlemagne ; il n’en reste rien de matériel mais il est émouvant de constater que le souvenir des moines est resté à travers les siècles : on dit à Saint-Martin que lorsque le vent souffle dans les gorges, on entend les moines chanter, on dit aussi que c’est eux qui ont ouvert la route. Non, c’est le curé Félix Armand qui l’a fait à la fin du XVIIIe siècle et qui a ouvert le « Trou du curé », que tous connaissent dans la région.
Retour sur Belvianes. Nous contemplons d’en bas les crêtes impressionnantes que nous avons suivies le matin, nous  traversons l’Aude sur une belle passerelle verte qui nous amène au hameau de Cavirac et à son église, puis nous prenons le chemin qui nous ramène à Quillan par la rive droite de l’Aude, par « la Forge » et son beau parc boisé transformé en île sans doute par les dérivations induites par l’activité de la forge au XIXe siècle, un beau héron nous y attend avant de s’envoler. Nous rentrons dans Quillan et nous retraversons l’Aude par le Pont Suzanne, ce pont offert en 1927 à la ville par l’industriel Jean Bourrel (Suzanne était sa fille) pour permettre aux ouvriers de rejoindre son usine de chapeaux ; plus tard, ce sera la première usine Formica. Ce qui rappelle le long passé industriel de cette petite ville qui semble aujourd’hui bien endormie.
Et voilà le parking de la gare, on se déchausse et on court vers le café d’en face où nous attendent demis et chocolats chauds.
Merci Roger pour cette très belle rando qui nous a conduits dans de magnifiques paysages baignés de la lumière d’automne.
Claudine P.

Photos de Roger 

jeudi 13 novembre 2025

Trassanel

17 randonneuses et randonneurs pour cette sortie à Trassanel.
Rando classique, mais toujours agréable.

Aujourd’hui, pas beaucoup de points de vue, le ciel étant resté couvert malgré un vent marin particulièrement violent.

Ce qui nous a permis de prendre un grand bol d’air…

Merci Yves de nous avoir menés.

Roger.

Photos de Roger

2025-11-11 St Hilaire

Mardi, pour la "Rando douce" de Saint Hilaire, nous étions 20 marcheurs guidés par Françoise Nougué
Après  les photos de groupe nous nous sommes dirigés vers Gardie par une petite route à pente douce.
A Gardie nous avons pù admirer le lavoir  du village avant d'attaquer  le retour vers Saint Hilaire.
Aux dires de chacune et chacun, les balades douces hebdomadaires semblent sollicitées, le nombre de participants le démontre.
Armand

Nous étions 20 randonneurs pour cette balade douce du mardi. Le temps était doux ,le ciel un peu voilé au début puis couvert à la fin.Nous avons quitté St Hilaire par l'ancien chemin de Gardie
Il y a là de belles vues sur les collines boisées avec au premier plan des champs de vigne aux couleurs dorées de l'automne.Nous avons traversé Gardie puis nous avons emprunté un autre chemin 
qui descend vers St Hilaire.
Nous avons fait 6km et 140m de dénivelé.
FrançoiseN
Photos d'Armand

dimanche 9 novembre 2025

Citou, la boucle de


Quelle belle journée automno-printanière dont notre source de chaleur et de lumière éclaire nos visages, heureux d’être là.

Visite du château en mode touriste pour notre petit échauffement puis belle ascension au travers des jolis sentiers partiellement murés.

Débute, par une piste forestière, la longue descension en direction de Caunes. La maison des chasseurs proche de Meyrac, le col de Bious (si si le S est à sa bonne place), surplomb de l’étroit vallon du ruisseau de Linze, ça descend encore et encore « c’est pour mieux remonter ensuite » dis je, passage à proximité de la carrière du Roy et la tant attendue grande pause pique-nique face au vignoble arborant ses splendides couleurs de saison et ce n’est pas le seul.

Vînt ensuite le retour vers Citou par les chemins escarpés bien en dessus de la vallée de l’argent double,

«L’Argent Double ??? Si tu passe par là avec un billet de 20 €uros tu repars avec un billet de 40 €uros? Est-ce possible ? »

Il y a eu une tentative de variante pour le Roc du Moussu mais c’était juste une tentative.

Quelques arrêts photos de la vallée, la chapelle saint Jean puis le village.

Enfin l’arrivée à notre point de départ, ça tombe bien, c’est là que sont nos voitures.

Je n’ai toujours pas réussi à perdre quelqu’un, une. 15 au départ 15 à l’arrivée. Fera mieux la prochaine fois.

Un ptit tour au bistrot de Caunes, le chocolat était chaud, l’ambiance aussi.

Christophe

Photos de Roger et de Christophe

mardi 4 novembre 2025

La Cavayère

Aujourd’hui, nous sommes 17 randonneuses et randonneurs pour arpenter le tour du lac de La Cavayère.

Un classique du genre, mais toujours agréable à parcourir.
D’autant plus qu’en cette période nous avons bien profité des belles couleurs automnales.

En fin de rando, Ginette et Christian nous ont fait déguster quelques excellentes friandises.
Merci à eux.

Roger.

Photos de Roger