Nous étions quinze à Brugairolles. Jean-François
nous a mené sue ce beau parcours. Le soleil brillait, il y avait un peu de
vent. Il y avait de beaux paysages, de jolies vues – mais les Pyrénées restaient
pudiquement voilées.
Nous avons quitté Brugairolles par le chemin
de Moscou – mais nous n’y sommes pas arrivés. Très vite nous avons bifurqué
vers la gauche en direction des collines de las Mounjos. Nous avons effleuré
Malviès avant de monter doucement par chemins et sentiers, entre vignes et
champs jusqu’au Bois.
Et là pendant une paire d’heures nous nous
sommes promenés dans les bois. Ci et là des fleurs – le printemps approche (j’ai
vu Véronique, Ficaires, quelques Amandiers, et plusieurs autres). Quelques vues
sur la vallée large du Sou, quelques échappées plus lointaines. Tout cela au
soleil.
Puis nous avons atteint une campagne qui s’appelle
Miquel Noë et adossés à un petit mur nous avons cassé la croûte et puis pour
certains, dont moi, une sieste bien méritée. Qu’est ce que nous avons bien
dormi, allongés à même le sol, à l’abri du vent avec le soleil qui nous caressait !
Trop vite, après une demi heure, Yves nous a
réveillé avec les bonbons traditionnel et, après avoir remballé le tout dans
nos sacs à dos et après avoir endossés ceux-ci nous avons continué notre chemin.
Encore des petites montées et descentes et nous
sommes arrivés, après une montée, au Pech de Nadiou, point culminant à 299
mètres. Nous avons cherché les Pyrénées, elles étaient belle sur la photo sur
la table d’orientation. Mais elles étaient cachées. Donc nous les avons regardé
sur la photo. Mais où est le Carlit quelqu’un a exclamé. Et tout le monde a
donné son avis – très différent ! Heureusement que Roger était là et il nous
a mis dans le droit chemin et nous montrant où ce pic se trouvait, quoiqu’il n’était
pas nommé. Manquerai-je de modestie en disant que j’avais eu raison ? Non sûrement
pas. Mais Françoise aussi avait bien montré ou le Carlit se cachait.
Nous avons continué notre chemin pour arriver
à Cailhau. On avait beau crier, l’écho n’a pas répondu. Donc nous sommes montés
au milieu du village pour aller voir l’église et la vue splendide à partir du
parvis.
Il y avait là aussi un banc. Moi j’ai un
principe : si la municipalité prend la peine de faire l’effort et de réaliser
la dépense d’installer un banc publique pour mettre les culs passants, pour qu’ils
enlèvent le poids de leurs pieds, ce serait vraiment pas poli de ne pas mettre
son arrière train sur le dit banc.
Et c’est ce qu’à plusieurs nous avons fait.
Au point que les autres sont partis et nous avons
du nous dépêcher pour les rattraper. Mais pas trop. En bas de l’escalier menant
au parvis, il y avait une petite plaine de jeux pour enfants. Et nous avons un grand
enfant qui a monté sur le glissoir et l’a descendu. Vas voir les photos pour le
reconnaître.
Et de là nous sommes descendus dans la plaine
pour le chemin de retour. Bien plat, bien agréable avec une petite montée avant
de retrouver Brugairolles.
Jean-François nous a gentiment invité à
prendre un petit verre chez lui – et ma foi, personne n’a refusé !
Et ainsi s’est terminé cette jolie rando dans
le Razès. Merci à Jean-François qui nous a, encore une fois, si bien menés. Et merci pour ce verre si agréable à la fin.
Et bien venu à Tom, randonneur de Montréal,
qui nous a rejoint pour la journée et que nous espérons revoir de temps en
temps sur les entiers.
Photos de Jef ici
Photos de Patrick ici
Photos de John et de Catherine ici
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