dimanche 5 mars 2023

2023-03-05 Brugairolles

Nous étions quinze à Brugairolles. Jean-François nous a mené sue ce beau parcours. Le soleil brillait, il y avait un peu de vent. Il y avait de beaux paysages, de jolies vues – mais les Pyrénées restaient pudiquement voilées.

Nous avons quitté Brugairolles par le chemin de Moscou – mais nous n’y sommes pas arrivés. Très vite nous avons bifurqué vers la gauche en direction des collines de las Mounjos. Nous avons effleuré Malviès avant de monter doucement par chemins et sentiers, entre vignes et champs jusqu’au Bois.

Et là pendant une paire d’heures nous nous sommes promenés dans les bois. Ci et là des fleurs – le printemps approche (j’ai vu Véronique, Ficaires, quelques Amandiers, et plusieurs autres). Quelques vues sur la vallée large du Sou, quelques échappées plus lointaines. Tout cela au soleil.

Puis nous avons atteint une campagne qui s’appelle Miquel Noë et adossés à un petit mur nous avons cassé la croûte et puis pour certains, dont moi, une sieste bien méritée. Qu’est ce que nous avons bien dormi, allongés à même le sol, à l’abri du vent avec le soleil qui nous caressait !

Trop vite, après une demi heure, Yves nous a réveillé avec les bonbons traditionnel et, après avoir remballé le tout dans nos sacs à dos et après avoir endossés ceux-ci nous avons continué notre chemin.

Encore des petites montées et descentes et nous sommes arrivés, après une montée, au Pech de Nadiou, point culminant à 299 mètres. Nous avons cherché les Pyrénées, elles étaient belle sur la photo sur la table d’orientation. Mais elles étaient cachées. Donc nous les avons regardé sur la photo. Mais où est le Carlit quelqu’un a exclamé. Et tout le monde a donné son avis – très différent ! Heureusement que Roger était là et il nous a mis dans le droit chemin et nous montrant où ce pic se trouvait, quoiqu’il n’était pas nommé. Manquerai-je de modestie en disant que j’avais eu raison ? Non sûrement pas. Mais Françoise aussi avait bien montré ou le Carlit se cachait.

Nous avons continué notre chemin pour arriver à Cailhau. On avait beau crier, l’écho n’a pas répondu. Donc nous sommes montés au milieu du village pour aller voir l’église et la vue splendide à partir du parvis.

Il y avait là aussi un banc. Moi j’ai un principe : si la municipalité prend la peine de faire l’effort et de réaliser la dépense d’installer un banc publique pour mettre les culs passants, pour qu’ils enlèvent le poids de leurs pieds, ce serait vraiment pas poli de ne pas mettre son arrière train sur le dit banc.

Et c’est ce qu’à plusieurs nous avons fait.

Au point que les autres sont partis et nous avons du nous dépêcher pour les rattraper. Mais pas trop. En bas de l’escalier menant au parvis, il y avait une petite plaine de jeux pour enfants. Et nous avons un grand enfant qui a monté sur le glissoir et l’a descendu. Vas voir les photos pour le reconnaître.

Et de là nous sommes descendus dans la plaine pour le chemin de retour. Bien plat, bien agréable avec une petite montée avant de retrouver Brugairolles.

Jean-François nous a gentiment invité à prendre un petit verre chez lui – et ma foi, personne n’a refusé !

Et ainsi s’est terminé cette jolie rando dans le Razès. Merci à Jean-François qui nous a, encore une fois, si bien menés. Et merci pour ce verre si agréable à la fin.

Et bien venu à Tom, randonneur de Montréal, qui nous a rejoint pour la journée et que nous espérons revoir de temps en temps sur les entiers.

Photos de Jef ici

Photos de Patrick ici

Photos de John et de Catherine ici 

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