Cathy
Moi (John) j'ai marché avec le groupe deux ce matin.
Après un bon pdj nois nous sommes retrouvés devant l'hôtel avec nos deux guides, Edouardo et Martha. Nous sommes tous partis ensemble à travers cette jolie ville montagnarde, avec ces rues étroites et les maisons hautes qui empêchent le soleil d'entrer. Mais les montagnes derrieres, elles, sont bien ensoleillées et belles à ravir. La ruelle devient chemin et descend jusqu'au pont sur la rivière et là, avant que les groupes se séparent, Edouardo nous parle du parc d'Ordesa et notamment du programme de protection des Gypaètes barbus. Moi je suis pour la protection de tout ce qui est barbu, Edouardo y était d'accord et les deux Michels aussi.
Ce sont des vautours qui cassent les os des animaux morts pour en extraire la moelle. Comme il y a beaucoup moins de transhumance il y a moins de troupeaux et donc moins de décès et moins de moelle. Alors le parc y jete des carcasses provenant des abattoirs et les Gypaètes prospèrent avec ce régime. Bizarre 😃
Et là les groupes se séparent. Nous regardons le groupe fort bondir en avant et en haut tandis que nous prenons un pas lent mais sûr en prenant le temps de tout regarder.
Et il y a de quoi. Nous montons en longeant la rivière Ara, tantôt près d'elle, tantôt bien au-dessus, 100m ou plus au dessus. Nous traversons des forets de conifères et aussi des forets de feuillus, toutes les deux magnifiques. Le soleil éclaire le feuillage et l'effet est splendide. La rivière en bas coule fort au début et nous passons près de 3 belles cascades que nous admirons en passant, bien sûr. Puis nous arrivons à un long plat et la rivière de tumultueuse devient placide et calme.
Après un beau chemin nous traversons la rivière pour retrouver les autres pour le pique-nique.
Ensuite, les deux groupes se rejoignent pour le chemin de retour tandis qu'avec 5 autres je prends sagement le bus.
Arrivé à l'hôtel je fais une sieste bien méritée d'une heure et demie, une bonne douche et des vêtements propres et je pars explorer la ville.
Et que vois-je, ou plutôt qui vois-je venant vers moi? Jean Jacques, qui avait fait serre fil le matin et qui maintenant bondit en avant. Je n'ai pas été assez rapide pour le prendre en photo, mais je suis prêt pour les suivants. D'abord c'est Sylvie et Véronique, puis Martine Pressoir et puis tous les autres par petits groupes, jusqu'à Régine, fatiguée mais qui tient bon jusqu'à la fin.
Un très bon début de séjour.
John
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